R'Neko's Time
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 Nageons dans le bordel. [Liem Ahn.]

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Akeli Ynasuki
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MessageSujet: Nageons dans le bordel. [Liem Ahn.]   Nageons dans le bordel. [Liem Ahn.] Icon_minitimeSam 7 Avr - 15:24



    Adopter un hybride leçon numéro quatre : L'amené à la maison, parce qu'on a pas assez d'imagination pour l’emmener dans un coin cool.

    Blah blah blah, voilà on était sortit, j'avais remplis les papiers, j'étais pas hors la loi, les flics pourraient pas me tomber dessus ! M'en voilà rassuré ! Je commençais seulement à me demander ce que devenait la loi sur les hybrides. On commençait à prendre en considération les hybrides depuis que les maîtres chaleureux étaient venu en force, enfin.. J'en sais rien, je regarde ni la télévision ni les informations sur les panneaux sur-dimensionnés. Je m’intéressais à toute autre genre de chose, les choses que personne ne regardais, tout simplement parce que j'étais différant, moi, ce que les autres regardaient, ça m’intéressait vraiment pas, ça me saoulais même, alors je posais mon regard sur des boutiques qui n'attiraient pas l'oeil, des choses traînant sur le sol et parfois par miracle je tombais sur une ou deux pièces, que je ne prenais pas la peine de prendre d'ailleurs. Vous savez, le sol est trop bas. En plus, voilà qu'une immense flème me prenais et que je n'avais pas envie de faire à manger ce soir, j'étais pété de tune, pourquoi ne pas aller dans un fast food ou ce genre de truc ? Je paris qu'il n'y est jamais aller, dans ce genre d'endroit. C'est vrai après tout, j'ignorais son passé, peut-être que jusqu'à maintenant il avait toujours vécu dans cette cage, mais ça impliquerais le fait qu'il soit en assez mauvaise santé. Je ne suis pas médecin, ah ça non, je ne supporterais pas qu'on m'appelle ainsi, mais je savais très bien que rester dans une position aussi inconfortable pendant des années entière, en plus qu'il devait avoir déjà plus de 17 ans à mes yeux, je suppose que sa colonne vertébrale devait le faire souffrir. Il n'en était pas à ce point, je ne crois pas du moins. Ce qui est certain, c'est qu'en sortant de sa cage, le félin avait l'air de ne plus savoir marcher pendant quelques instants. Mais j'ai envie de dire, même si c'est plutôt vulgaire et que je vois déjà ces petites précieuse jurer en disant que je suis un bougre : marcher c'est comme faire l'amour, on oublis pas.

    Mais peu importe finalement, je faisais comme si j'ignorais le passé de ce garçon, même si j'imaginais bien le fait qu'il est déjà eu un maître auparavant, ce n'était pas quelque chose qui me dérangeais, après tout, les hybrides passent de maître en maître, et les maîtres eux passe de jouets en jouets. Ce n'est pas mon cas, je n'ai, jusqu'à maintenant, jamais approché un hybride de quel sorte qu'il soit. J'ai toujours adorer les chats, j'en ai d'ailleurs un chez moi, il vas et vient comme il l'entend et bien entendu est un peu sauvage. Je ne force pas la nature, et laisse entrer se vagabond quand il le veut, je le nourris parfois, il fait sa vie et sa me rassure. Ouais, ça me rassure de pas pourrir une vie de plus. Ce matou est bien souvent l'objet de mes dessins, parce que oui, je dessine. Je suis un rêveur, et d'ailleurs même pendant notre route, je regardais tout autour de moi, cherchant la perle rare qui me donnerais de l'inspiration soit pour jouer, soit pour dessiné. Beaucoup de choses intéressante, mais rien qui n'attirait vraiment mon attention, jusqu'à...

    - « Euh, maître, si je suis me le permettre je me débrouille plutôt bien la cuisine alors même si vous avez la flemme de faire à manger je peux toujours m’en occuper. Quant-à la restauration rapide c’est euh … Il marqua un temps d'arrêt, semblant réfléchir, puis continua sa phrase. C’est comme le Mac’do. »

    Je ne sais si ça s'appelais vraiment comme ça, mais son timbre de voix semblait différant, je ne côtoyais pas beaucoup de monde alors je n'en savais rien, dans tout les cas, même si je l'avais remarquer un peu avant, il semblait avoir une voix de gosse... Ce n'est qu'un avis personnel, et c'est sur ce coup là que je me sentis comme qui dirait « vieux », ah! Ça fait mal ça. Bouah finalement peu importe. C'est en me tournant d'avec un petit sourire je hocha la tête pour lui confirmer la chose. Les fast food, moi j'aimais bien, c'était mauvais pour ma ligne mais on a une jeunesse qu'une fois : et je suis jeune ! On continua de marcher un bon moment pendant que je réfléchissais à une mélodie, parce que sa voix m'avait vaguement inspiré. Il savait faire à manger ? Dans ce cas ça changeais toute la donne, nous n'aurions qu'à aller à la maison et il se débrouillerais dans ma porcherie. Quoi que ce n'est pas tant le bazars que cela, c'est le bordel en apparence, quelques affaires qui traînent, mais mon appartement est loin d'être sale, je suis quelqu'un qui ne supporte pas vraiment la saleté. Ecoutez ça, on dirais une gonzesse... Finalement tout en continuant de marcher, je me demandais qu'est-ce qu'on ferais en rentrant. Sa voix m'interpella une nouvelle fois.

    « Je me suis présenté tout à l’heure mais vous, vous ne m’avez rien dit sur vous … Puis-je au moins savoir votre nom ? Et aussi … Pourquoi m’avoir choisit moi ? C'est en marquant une pose qu'il reprit de plus belle. Enfin non ce n’est pas important ça ! Je … je vous remercie quand même de m’avoir sortit de là ! »

    Je m'arrêta net. Il posait trop de question à la fois, et je soupira longuement. Il semblait faire en genre de courbette ou j'en sais trop rien. Je devais être trop rebelle pour prendre en compte les actes de noblesse. Je le regarda, il n'avait pas l'air à l'aise et ce n'était pas une si mauvaise chose que cela, il savait au moins à qui il avait à faire. Je lui ébouriffa les cheveux, puisque j’étais un homme plutôt tactile. Voilà, on va me prendre pour un pédophile maintenant ! Qu'est-ce que vont penser les gens qui nous regarde. Ah! Imaginez qu'il le prennent pour mon fils... Impossible, regardez il a des oreilles et une queue, c'est un hybrides je suis un humain et... JE SUIS JEUUUUUUUUNE ! Ah non mais sérieux... Je le fis se redresser. J'étais supérieur à lui, mais j'avais des limites. Je réfléchissais à ce que je pouvais bien lui répondre, mais dans ma tête, ce fut plus rapide que je ne le pensais.

    « Hum, Akeli. Pourquoi t'avoir choisis toi ? Hum, tout simplement parce que tu es à moitié chat et que t'as l'air dormeur, ça me foutra au moins un minimum la paix. »

    Je fini cette phrase sur un petit sourire qui voulait tout dire. C'était un peu ironique, j'espérais ne pas l’irriter aussi rapidement, car sinon il allait vivre l'enfer avec moi qui avait tendance à rabaisser les autres. Finalement c'est en lui tirant un peu le bras que je le fis reprendre la route. Ma maison n'était pas très loin, en faite, elle était à la gare. J'aurais très bien pu prendre un bus ou quoi que ce soit, mais, on était serrer dedans et j'avais peur de perdre mon jouet à l'intérieur, si vous saviez le nombre de voyou que j'ai vu à l'intérieur ! Remarquez, je suis pas mal dans mon genre... Pour gagner l'argent, faut en voler la moitié. C'est une fois arrivé devant une maison blanche, plutôt banale que je sortis les clefs de ma poche, j'avais pour habitude de fermer, c'était un quartier qui était un peu mal fréquenté, on sait jamais, je voulais pas trouver ma fortune saquagée. C'est en ouvrant que je pu faire découvrir aux yeux du chaton a demeure. Elle était simple mais ne manquait pas de décoration, des tas de dessin de si et là. Des dessins surtout de chat, parce que c'était apparemment ce qui m'inspirais le plus, mais ça n'était pas tout. (www.) Des portraits aussi d'inconnu, de personnes sortent de mon imagination, que j'avais reproduit sur papier. Sinon, des meubles plutôt simple soit blanc ou noir, un grand sofa blanc, une grande télé noir... Voilà mon antre petit Liem.
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Liem Anh
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MessageSujet: Re: Nageons dans le bordel. [Liem Ahn.]   Nageons dans le bordel. [Liem Ahn.] Icon_minitimeDim 15 Avr - 12:43



Une masse de dessins !



On raconte que le chat est l’incarnation même de la liberté. Je parle du chat, chat pas du chat hybride. Car le chat, chat lui il peut partir ou bon lui semble et surtout ou il veut sans pour autant avoir besoin d’être constamment surveillé par un être humain. L’homme ici pour lui n’est que l’être qui lui donne à bouffer et lui offre un toit pour dormir mais le lendemain, ce chat véritable repart libre comme l’air. Le chat, chat est un parasite pour l’humain qui ne peut pas se passer de trouver cet être mignon car il est petit, doux et qu’il miaule. Les vrais chats peuvent très bien vivre sans humain et je dois vous avouer une chose, parfois j’aurais aimé être un vrai chat et non un être mi-humain mi-animal. Moi ? Je fais quoi de différent par rapport à ces êtres-là ? Que je sache je dors beaucoup comme eux, je miaule, je me frotte, je fais mes griffes comme eux. Mais moi, je marche aussi et je parle, je réfléchis. Et ce sont ces trois choses là qui font de moi un être soumis à l’homme alors que les vrais chats eux, sont libres. Vous vous êtes jamais dit que la vie des chats était belle ? Manger, dormir, jouer, dormir, dormir, manger ? Et bien je me dis la même chose. C’est cette pensée là qui me donne envie de me comporter comme un être libre et de me rebeller contre l’homme. Mais je ne peux pas, je ne sais pas, et je reste planté là, la tête basse face à cet homme qui se croit supérieur. Pourquoi la vie est-elle ainsi avec nous franchement ? Mais je pense que le plus horrible chez moi, c’est que je sais que même en voulant être libre je ne pourrais jamais l’être car je suis trop dépendant d’un maître. J’ai besoin d’affection moi, j’ai besoin qu’on s’occupe de moi et j’ai besoin de manger. La route vers la liberté, ce n’est pas l’humain en réalité qui me la bloque, c’est moi mon propre obstacle.

Je lui avais parlé mais il avait continué de marcher sans daigner me répondre. Etait-il imbu de sa personne ou réfléchissait-il à la réponse à donner, à ma seconde série de question il s’arrêta net et je peux dire que moi aussi je m’étais figé. Avais-je dis une chose qu’il ne fallait pas ? Une chose qui l’avait irritée pour qu’il se stoppe ainsi ? J’étais assez mal à l’aise oui, il me fixait tandis que moi je regardais le sol. Je voyais l’ombre de sa main s’approcher vers la tête et pour une raison étrange, j’avais peur car je pensais comme un idiot qu’il allait me frapper. Pourtant non, sa main s’abattit tendrement sur ma tête pour m’ébouriffer les cheveux dans tous les sens. Il remettait ça tient, il devait les aimer mes cheveux ça devait-être la troisième fois de la journée qu’il me le faisait. L’instant d’après il me redressa la tête face à ses yeux pour me répondre, enfin. Il me releva enfin le mystère de son prénom il se nommait Akeli et sans le montrer je me mis a « beuger » sur ce nom : je devais le nommer comment maintenant ? Simplement Akeli ? Ou master Akeli ? Non, ça ne sonnait pas bien. Akeli-sama ? J’avais l’impression de parler à un dieu en disant ça. Finalement, peut-être que savoir son prénom ne me servira pas mais bon, c’était toujours bien de le savoir non ? Il m’avait choisit car je dormais beaucoup et que je lui foutrais la paix apparemment. Le saviez-vous qu’un chat dort en moyenne de 15 à 18 heures par jour ? Le chat est un être qui passe plus de temps à dormir que vivre et il faut savoir que j’ai hérité de ce don. J’espère avoir un lit rien qu’à moi dans sa maison !

En parlant de maison, Akeli s’était arrêté devant une bâtisse blanche. Il habitait là ? Déjà, on ne sera pas dans un appartenant et tant mieux, je préfère largement les maisons car on peut toujours faire le boucan qu’on veut sans devoir se soucier de ses voisins de palier. Mon maître était vraiment tactile en y repensant, une me caresse la tête et me tire pas le bras, il semblait pressé de rentrer chez lui avait sa nouvelle possession. Les alentours de la maison en revanche ne m’inspiraient aucune confiance. J’ai déjà été agressé par le passé, bien que cela ne m’ait jamais traumatisé car je devais me montrer heureux d’être toujours en vie, j’avais quand même peur de sortir seul dans ce quartier. Inconsciemment, j’avais porté ma main autour de ce bandage qui cachait une partie de mon cou mais immédiatement j’avais abaissé mon bras. Des clés dans la serrure et finalement la porte d’entrée de la baraque s’ouvrit face à mes yeux et il faut dire que je fus surpris. Je m’attendais à diverse intérieur de maison mais jamais j’aurais imaginé un instant que celui qui venait de m’acheter était un fanatique du dessin. Retirant mes chaussures au pied de la maison, j’ai toujours détesté les chaussures, je m’étais écarté un peu de mon maître pour regarder et toucher des yeux ces multitudes d’œuvres d’arts qui reposaient dans cette maison. Des chats, mes semblables, il y en avait beaucoup et s’était merveilleusement bien dessinés. Mon maître semblait être un artiste, un vrai. Je me sentis fier d’un coup d’avoir un tel maître.

« Whaaa, tu dessines vachement bien ! »

Ne croyez surtout pas que le tutoiement était une erreur de ma part non, j’avais délibérément choisis ce pronom pour le nommer afin de voir sa réaction. Je me devais de me renseigner sur les façons d’agir de mon maître et suite à ce « tutoiement » que certain humain pourrait prendre comme une insulte à la hauteur de leur rang. J’avais peut-être fait une erreur, mais comme le dit un bon vieux proverbe de je-ne-sais-plus-qui : on n’apprend que de ses erreurs. Il y avait un point positif dans cette maison, le ménage était souvent fait malgré la masse considérable de planches de dessins éparpillées un peu partout. Un dessin dans les mains d’une jeune fille je m’étais retourné de nouveau vers mon maître un sourire aux lèvres ne voulant pas trop le blesser dans ce que j’allais dire.

« C’est pas mal le bordel quand même ici. » ça c’était dit. « Si vous voulez après le déjeuné je pourrais m’accorder un temps pour ranger tout cela ! » En y repensant, il semblait avoir oublié son idée de restauration rapide au profil de mes compétences culinaires. J’avais reposé le dessin à l’endroit ou je l’avais prit pour me rapprocher de mon nouveau maître et m’incliner devant lui comme j’avais vu faire d’autres hybrides dans une des émissions de télévision que j’apercevait tantôt de ma cage. « Pouvez-vous m’indiquer la cuisine ? » J’étais repassé dans le vouvoiement bien décidé à m’amuser avec les deux pronoms « tu » et « vous ».




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Akeli Ynasuki
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MessageSujet: Re: Nageons dans le bordel. [Liem Ahn.]   Nageons dans le bordel. [Liem Ahn.] Icon_minitimeDim 15 Avr - 20:19



    Adopter un hybride leçon numéro cinq : Le familiarisé avec son nouvel élément de vie.

    J'étais peut-être un garçon un peu trop tactile. Mais à ce stade, je m'en fichais pas mal. J'avais en ma possession un petit matou adorable, je ne pouvais rêvé mieux, à vrai dire, il m'apporterais une présence chez moi, et je m'y sentirais bien évidemment moins seul. La solitude, c'est moche. J'en venais à me demander pourquoi la compagnie des neko ne me dérangeais pas. Peut-être étais-ce parce que j'adorais les chats, et que ces personnes s'avéraient être à moitié chat, c'était un petit plus, et ça ne me dérangeais pas tant que cela. J'essayais d'analysé au maximum pour ne pas faire d'erreur avec moi même. Faire des erreurs sur soit même, voilà quelque chose de totalement idiot. Bref, je l'avais ramené chez moi, pour la simple et bonne raison qu'il savait cuisiné, je voulais savoir s'il cuisinait bien ou non, ça me permettrais de savoir si je commanderais aussi souvent à manger qu'avant, ou si je laisserais ce petit artiste des fourneaux confectionné mes dîners. Peut-être ajouterait-il un peu de folie dans ma vie qui se montrait être si banale. Je n'en savais rien et ce n'est que le futur qui m'indiqueras un peu plus en détail la chose. Je ne voulais pas trop espérer non plus, la seule présence que j'avais vraiment accepté, c'était celle de cette femme, qui, sept ans plus tard hante encore mon esprit. C'était nouveau pour moi, tout ça. Il fallait pourtant que je m'adapte, je n'allais pas rester à me morfondre sur un amour perdu, je voulais avancer et rencontrer de nouvelles personnes. Je savais que Liem allait me convenir. Peut-être pas d'un point de vu amoureux, non, il était encore trop tôt pour jeté de tels hypothèse, mais dans un point de vu plutôt amical, pas tellement une relation maître-hybride, parce que je ne savais pas y faire avec les hybrides, je les aimaient pas vraiment, et Liem était une exception, c'était un chat. Je sais que cette ville regorge de petit neko tout mignon, mais... Il a du charme, un charme incroyable. Ce n'est pas tout les neko qui ont ce charme là. Lui, je voulais le dessiné, sous toutes les coutures, parce qu'il était d'une un animal que j'adorais, mais avait aussi de magnifiques traits de visage, un magnifique corps, même si je n'étais pas encore aller vérifié plus en détail la chose.
    On était arrivé dans ma maison, et je laissais entre-voir ma créativité. Tout mes dessin éparpiller un peu partout. J'aurais pu ranger un peu quand même... Mais après tout, je suis un artiste et les artistes c'est un peu tête en l'air et ça laisse ton bazar de partout. On ne peut pas m'en vouloir. S'il était là le petit Liem, c'est parce qu'il m'aiderait à ranger tout ça et me nourrirais, même si logiquement ça aurait été l'inverse. Je cherchais juste un peu de vie dans ma maison, un compagnon jeu, et s'il pouvait mettre utile, ce serait d'autant plus intéressant.

    « Whaaa, tu dessines vachement bien ! »

    C'est ce qu'il s’empressa de me dire après avoir regarder doucement les lieux. Est-ce qu'il allait être perdu dans mon monde ? Dans tout les cas, sa réflexion me fit sourire. Ce n'est pas tout les jours que l'on complimente mon art, en même temps, peu de personnes en sont témoins. Peut-être pour la simple et bonne raison que je veux garder ça cacher, cacher une partie de mon identité pour que les gens apprennent peu à peu de moi. Je n'aimerais pas rencontrer quelqu'un qui sache déjà tout sur moi, ce ne serait pas amusant et ça ne mènerais à rien. Non, les relations ainsi sont saines et mènent à de bonne choses. Je l'espère du moins. Je continuerais de dessiné, même si l'on venait à me critiquer, puisque je sais que j'ai les capacités et que je ne suis pas mauvais dessinateur, ça me permet aussi de me vider la tête, d'être la personne que je suis actuellement, et c'est ainsi que je pourrais vraiment être heureux et oublier mon passé, même si je ne le regrette pas.

    « C’est pas mal le bordel quand même ici. Si vous voulez après le déjeuné je pourrais m’accorder un temps pour ranger tout cela ! »

    Ranger ? Et bien en voilà de bonne idées. Bon d'accord, je n'aimais pas trop l'idée qu'on touches à mes dessins, puisque j'y avais passer beaucoup de temps dessus et que j'avais peur qu'on les abîmes. Mais Liem semblait être quelqu'un d'assez doux, et ça m'étonnerais qu'il s'amuse à déchirer des œuvres qu'il aime. Finalement, c'est en haussant les épaules que je lui répondis. J'étais peu attentif parce que j'avais remarquer qu'il m'avait tutoyer la première fois, puis vouvoyer la seconde fois. Étrange façon de fonctionné. Je ne sais s'il me testais ou s'il ne savait tout simplement pas comment se comporter. Je passa outre, je ne cherchais pas à ce que l'on me vouvoie de toute façon, parce que je ne trouvais pas ça tellement supérieur. Le vouvoiement pour moi, c'est quelque chose d'étranges, une marque de respect peut-être, mais je ne l'utilisais jamais pour ma part. C'est comme si je parlais à plusieurs personnes à la fois, n'est-ce pas quelque chose de stupide ?

    « Pouvez-vous m’indiquer la cuisine ? »

    Sans plus attendre, je hocha la tête et lui indiqua du doigt la salle qu'il avait demander, elle ne se trouvait nul autre endroit qu'à ma droite. Il s'était peut-être assurer que le vouvoiement était une bonne solution. Je m'installa sans plus attendre sur le sofa, après avoir bien entendu quitter mes chaussures. Je ne sais pas exactement pourquoi est-ce qu'il voulait aller dans la cuisine, ah, suis-je idiot, pour faire le diner ! Je le suivais alors doucement, puisque logiquement il allait dans la cuisine et m'assit sur la table. Puisque oui, je préférais m'installer sur la table que sur une chaise qui était bien évidemment prévus à cet effet, mais qui s'en soucis ? Je balançais alors les jambes dans le vide, puisque celle-ci était aller haute, c'était en faite un genre de bar. Je le regardais longuement, cherchant sous quel angle je pourrais bien le dessiné, et surtout s'il accepterais d'être mon modèle . Bien sûr ce ne serait pas le seul, il faut de tout dans ce monde, mais, il serait un modèle très intéressant. J'en revenais à la question qu'il devait se poser. Tutoiement ou vouvoiement ?

    « Tu peux me tutoyer, je n'ai que vingt-six ans. »

    Je lui afficha un petit sourire, au moins la question serait claire et il saurait comment il devait se comporter, n'étais-ce pas cela que je devais lui montrer ?
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Liem Anh
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MessageSujet: Re: Nageons dans le bordel. [Liem Ahn.]   Nageons dans le bordel. [Liem Ahn.] Icon_minitimeDim 15 Avr - 22:08



Non mais vive les quiches !


j'avoue, j'ai pas suivit cette recette mais bon chut hein é_e


Le doigt D’Akeli se leva et pointa une salle qui voulait surement dire « go, la cuisine est là-bas ». Mais avant que je prenne le soin de me diriger vers cette partie de la pièce pour lui cuisiner un petit plat, il se prit le luxe de m’informer que je n’avais plus à jouer avec les deux pronoms puisqu’il trancha pour que je le tutoie. J’étais content de son choix simplement car je trouve que le vouvoiement met trop de distance avec l’autre. Le vouvoiement indique la différence de statut social entre les deux interlocuteurs alors que le tutoiement, lui, les range dans la même case. Finalement, j’avais fini par remarqué que je mettais trompé sur un point à l’égard de mon nouveau maître, il ne semblait pas si imbu de sa personne. Juste peut-être une personne qui avait du mal à exprimer ses besoins. Pendant que lui s’asseyait sur la table, le sofa ne devait pas lui convenir trop mou peut-être, moi j’allais dans la cuisine. Mon maître ne m’avait pas dit ce qu’il voulait que je cuisine et tant mieux, j’allais pouvoir être libre de cuisiner ce que je voulais et puis s’il n’aimait pas je n’aurais qu’à lui dire que ce n’est pas de ma faute mais de la sienne puisqu’il ne m’avait pas renseigné sur ces gouts.

La cuisine, il s’agissait plutôt de ce qu’on appelait une cuisine à l’américaine. Mon ancien maître m’avait expliqué le concept, c’était en résumé une cuisine dans le salon plutôt que salon et cuisine dans deux pièces séparées. Celle-ci était assez simple et moderne et respectait le design du reste de la pièce. Les meubles étaient d’un blanc brillant tandis que le plan de travail lui était d’un noir métallisé. Face à une cuisine qui semblait si propre, probablement à cause du blanc, je ne savais pas trop par quoi commencer de peur de la salir. Finalement, j’avais opté en premier temps par m’approprier sans demander l’autorisation le tablier de cuisine qui trainait accroché au frigo. J’avais l’impression de me transformer en la femme qui faisait le repas pour son bon petit mari qui revenait d’une journée éprouvante du travail … Mais le mieux dans une cuisine, c’était que y’a de la bouffe et il se trouvait quand que j’avais faim. Dans l’animalerie je n’étais pas mal nourris non, mais disons qu’il n’y en avait jamais assez pour mon estomac.

Cette cuisine-là je ne la connaissais pas encore mais j’allais bientôt la connaitre. Et pour cela je me mis d’abord à la fouiller de fond en comble ouvrant les tiroirs et les placards pour en analyser leurs contenus. Une fois l’inspection finie et heureux de me rappeler ou se trouvait les poêles et les casseroles je m’étais attaqué au contenu du frigo. Une pâte feuilletée, des œufs, de la crème fraiche, des lardons, du fromage, du lait … Vous savez ce que moi j’en fais de ces ingrédients ? J’en fais un plat français oui. J’ignorais si mon maître connaissait les plats des autres pays de l’occident mais moi, en voyant ça j’avais vraiment envie de faire une quiche lorraine. Content de moi et étalant les ingrédients sur le plats de travail avec une multitude de condiments je commençais mon ouvrage avec un sourire satisfait aux lèvres. Dans un récipient j’avais dosé simplement les aliments en rajoutant dans les normes du sel et du poivre. Si mon maître faisait de l’art en dessinant, moi j’en faisais en cuisinant.

Ma pâte feuilletée tranquillement déposée dans un plat à tarte, j’avais versé la mixture de lardons, œufs, crème fraiche et lait dessus. Secouant un peu le tout pour homogénéiser. Dans un coin de la cuisine se trouvait un four, élément indispensable de cette dernière. Il est vrai qu’avant de préparer mon petit plat je n’avais pas fait attention au four et à son fonctionnement. Mais le logo de sa marque sur la porte me fit rappeler le four de mon ancien maître. Il avait le même modèle il me semblait. Ce genre de four n’ont aucun bouton juste une porte et une sécurité, il marchait simplement à la voix enfin si s’était bien le même modèle…

« Préchauffage du four à 210 degré Celsius ! »

Je devais avoir l’air d’un idiot qui m’excitait devant son four mais la technologie humaine m’avait toujours impressionnée. Je fus soulagé de remarquer que je ne m’étais pas affiché pour rien quand le four se mit en marche. Avant on m’avait dit que le préchauffage d’un four durait dix minutes mais je savais qu’avec ce modèle il en faudra moins de trois. J’avais profité de ce lapse de temps pour saupoudrer ma pâte avec le fromage que j’avais râpé auparavant. Le mur émit un sifflement qu’il fallait traduire en « c’est bon température atteinte » j’avais donc ouvert le four pour en glisser son plat faisant particulièrement attention à ne pas me bruler, je n’avais pas trouvé ou était rangées les maniques pour le four… Heureusement, j’étais assez habile pour ces choses là.

« Cuisson durant 20 minutes, température 210 degré Celsius ! »

J’étais vraiment fier d’avoir accomplit ma première tâche sans avoir eu besoin de demander sans cesse des conseils à mon maître. Je n’avais pas prit énormément de temps pour la préparation, peut-être une dizaine de minutes ? Gardant le tablier contre moi, je trouvais ça classe allez savoir pourquoi, je reviens en direction de mon maître pour me planter en garde à vous face à lui, les oreilles dressées et la queue haute souriant comme un imbécile heureux.

« Le diner sera prêt dans un quart d’heure monsieur Akeli ! » J’avais faim et l’idée de manger bientôt me mettait particulièrement de bonne humeur. Je suis ce qu’on pourrait qualifier d’estomac sur pattes. Même si mon petit plat ne sera prêt que dans un quart d’heure je m’en léchais déjà les babines.

« J’espère que je ne t’ai pas trop fait patienter, je ne connaissais pas encore ta cuisine il m’a fallut un petit temps pour m’y adapter ! Enfin, pas non plus trop je pense. La prochaine fois j’essaierais de faire plus court promis ! » Mon regard finit par se détourner vers la masse de dessins qui continuait de fleurir dans la maison. Je m’étais rappelé d’un coup de l’initiative que j’avais formulé avant de préparer le repas de ranger tout cela. Remontant des manches inexistantes je m’étais lancé dans le tri des dessins en souriant à mon maître.

« Je peux les ranger par thème et par ordre croissant des dates si tu veux ! Ça t’aidera à te retrouver non ? » Le premier dessin que je pris dans ma main était celui d’un magnifique chat et j’étais totalement sublimé par la beauté du chat et surtout la finesse du trait. « Ou tu trouves tes modèles ? C’est vraiment beau ! » Le tri des dessins allaient surement me prendre un temps fou si je devais les admirer un par un. J’étais assis en tailleur, mes cheveux rejetés vers l’arrière et ma queue serpentant sur le sol. Sur mes jambes trainaient des dessins que j’avais prit au hasard et que j’analysais, non, que j’admirais.





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Akeli Ynasuki
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MessageSujet: Re: Nageons dans le bordel. [Liem Ahn.]   Nageons dans le bordel. [Liem Ahn.] Icon_minitimeMer 18 Avr - 21:55



    Adopter un hybride leçon numéro cinq : Essayer de communiquer.

    Nous étions rentrés, tout deux à ma demeure qui allait aussi devenir la sienne. Je l'avais surpris à me complimenter sur ma façon de dessiné et c'est ce qui me fit le plus grand bien. Jusqu'ici on ne m'avait jamais vraiment complimenter, puisque je n'invitais que rarement à la maison, vu mon bazars. Je n'avais donc que mon avis à moi, et il était plutôt moyen, même si j'étais fier de quelques œuvres. J'avais tout de même l'impression de passer pour quelqu'un de trop sûr de soit et finalement je ne me disais rien pour ne pas paraître être une mauvaise personne. Finalement c'est avec joie que je remarqua qu'il voulait se rendre dans la cuisine, lieu où se passait la préparation du dîner. J'avais un peu faim, il faut pas se le caché. Une fois que j’eus indiquer la salle à mon nouveau jouet, il partit aussi tôt en direction de celle-ci, sûrement pour préparer ce que nous allions manger ce soir. J'avais un peu peur à vrai dire, parce que je ne savais pas comment réagir s'il faisait quelque chose de mauvais. Est-ce que je devrais lui envoyer ça dans la face directement ? Je ne voudrais pas voir ses larmes couler, non, ça ne m'amuserais pas. Voir ce petit chaton pleurer ça me briserais le cœur pour être sincère. Je m'étais donc mis sur le sofa, fixant l'écran noir qui était en face de moi. Pourquoi ? J'en sais rien, j'avais pas l'inspiration de l'allumé, c'était qu'une boite à raconter des conneries à mes yeux. J’hésitai un long moment avant de prendre ou non la télécommande et finalement, je ne la toucha même pas du regard. Je me tourna un peu pour regarder mon hybride qui fouillait dans le frigo, sûrement en quête d'une bonne recette à me faire, je n'en savais rien encore. Je fis un léger blocage sur ce jeune homme. Je savais déjà quand je l'avais acheté à quel point il avait du charisme, mais là, je me disais que j'avais seulement eu incroyablement de chance pour tomber sur un aussi joli neko. Il avait de long cheveux, je me voyais déjà jouer avec, et faire des petites tresses, parce que j'avais l'habitude d'en faire à ma grande sœur quand nous étions petits. Est-ce que j'avais perdu la main ? Je le saurais bien vite. Il avait des oreilles incroyablement mignonnes, tellement que j'avais envie de jouer avec, les mordillés, tirer un peu dessus, j'étais finalement un gros gamin dans ma tête qui ne pensait qu'à s’amuser. En pensant à d’amusé... Est-ce que j'avais l'intention de jouer avec le corps du jeune homme ? J'avais entendu beaucoup parler d'humains qui achetaient des hybrides pour les satisfaire sexuellement, et de ce point là, j'étais plutôt partagé. Jusqu'ici je n'ai aimé que des femmes et j'étais certains, à l'heure actuelle, que j'aimais toujours les femmes. Alors est-ce que j'irais toucher cet hybride juste pour me soulager ? Je ne pense pas être cet homme qui couche juste dans le but de ce soulager. Non, je pense que j'ai vraiment besoin de sentiments. Et c'est avec ce genre de clichés que je me sens comme une gonzesse. Pourtant je suis un homme plutôt viril hein ! Je vois pas pourquoi je me fais ce genre d'idée... Il commençait à faire je ne sais quoi avec les ingrédients. Il faut dire aussi que je n'avais pas l'habitude de cuisiné et que la plupart du temps j'allais dans des restaurations rapide ou je prenais des pizza. Autant dire que niveau bouffe, je mangeais toujours la même chose et j'étais curieux de voir ce qu'il allait me confectionné. Je détonna un instant mon attention pour la posé sur mon tas de dessin. Est-ce qu'ils les aimaient vraiment ou est-ce que c'était pour faire bonne figure ? Je les regarda longuement, d'un air dubitatif.

    « Préchauffage du four à 210 degré Celsius !  »

    C'est fou, j'en avais presque oublier que mon fou marchait à la voix. J'y prêta pas plus d'attention que cela, puisque j'étais concentré sur mes dessins, me demandant si je faisais une erreur quelque part, si mes dessins avait des défauts. Peut-être faudrait-il que je demande un avis à un professionnel. J'avais pas vraiment envie d'en parler, parce que ça faisait trop le mec qui se la pète parce qu'il dessine bien, et finalement, je voudrais pas qu'on me poignarde dans le dos en balançant à tout le monde que je suis la saloperie qui pète plus haut que son cul alors que ses dessins sont médiocres. J'avais ce perpétuel besoin d'aller dans les extrêmes afin de prendre un choix. Je préférais faire confiance à ce gamin -car oui c'était un gamin pour moi- et ne pas en demander davantage.

    « Cuisson durant 20 minutes, température 210 degré Celsius ! »

    Je souriais, je devinais même malgré ma mauvaise connaissance en matière de cuisine, que d'ici vingt minute ce serait près. Je tourna alors mon regarde une fois de plus sur l'objet d'un tas de question. Je ne pensais pas que le fait d'avoir un hybride, chat en plus, me ferais me remettre autant en cause. En fin de compte je remarqua qu'il portait un tablier qui traînait là depuis un moment, puisque ça fait déjà longtemps que je n'avais pas préparer de plat, et encore moins avec un tablier. Ça lui allait plutôt bien, et ça jouait un peu sur ses traits, ça lui donnait un côté féminin, s'en était presque mignon, non en faite, ça ne l'était pas presque, ça l'était complètement. Tellement que j'avais envie de le croquer.


    « Le dîner sera prêt dans un quart d’heure monsieur Akeli ! »

    C'est avec une sourire que je lui répondis, à vrai dire, je ne pouvais pas répondre quelque chose en particulier, alors peut-être qu'une sourire communiquait plus que des paroles. Il avait le sourire au lèvre lui aussi, on voyait qu'il était de bonne humeur. Peut-être avait-il faim ou encore, peut-être qu'il était fier de lui. Finalement, il y avait un tas de possibilité pour qu'il ait ce sourire, mais je préférais ne pas trop me poser de question vu que je m'en étais, à mon goût, déjà beaucoup posées. Mais bon... On ne change pas un homme comme ça.

    « J’espère que je ne t’ai pas trop fait patienter, je ne connaissais pas encore ta cuisine il m’a fallut un petit temps pour m’y adapter ! Enfin, pas non plus trop je pense. La prochaine fois j’essaierais de faire plus court promis ! »

    C'était mignon, bordel, qu'est-ce que je le trouvais mignon. Adorable... J'en perd mes mots. Je le regardais presque avec de l'admiration, et je ne sais pourquoi, à ce moment j'avais ce besoin de le serrer dans mes bras, peut-être tout simplement parce que depuis quelques années déjà, je n'avais pas eu une tendre présence dans mes bras, et ce jeune homme, il me semblait tendre, incroyablement tendre.

    « Je peux les ranger par thème et par ordre croissant des dates si tu veux ! Ça t’aidera à te retrouver non ? » 

    Je le regarde l'espace d'un instant. L'idée était plutôt bonne et je pensais peut-être que tout foutre en tas reviendrais au même, mais c'est vrai que dit comme ça, mon atelier serait beaucoup plus claire et retrouvé un dessin qui m'a plut serait évidemment plus pratique à retrouvé. Belle idée, en faite, je devais être trop mal organisé pour y avoir penser avant. Je m'approcha alors de lui et lui ébouriffa les cheveux.

    « Ça pourrais m'aider en effet, bonne idée. »

    Je le surpris à regarder un de mes dessins, il semblait avoir un petit côté rêveur, voir même emmerveillé, et c'était encore une fois horriblement mignon, tellement qu'une fois encore, se passa ma main dans ses cheveux, d'une manière un peu plus tendre peut-être, mais tout de même. Il devait se dire que j'allais lui bondir dessus, en faite, j'avais juste besoin d'un minimum d'affection et d'attention, j'étais pire qu'un gamin je crois.

    « Où tu trouves tes modèles ? C’est vraiment beau ! »

    J'en aurais rougis si je n'étais pas un adulte qui se devait d'être un minimum... Comment dire ? Adulte. Je le regarda alors doucement, puis m'installa plus convenablement à ses cotés. Je le regarde pendant un instant, remarquant sa façon de se tenir, il était en tailleur, et ça lui donnait une belle silhouette en faite. Je jeta un coup d'oeil au dessin alors, essayant de réfléchir à où j'avais pris le modèle de ce chat. Retirant ma main des cheveux brun du jeune homme, je me décida enfin à lui répondre.

    « Hum, la plupart ce sont des chats qui traînes dans le coin, des chats vagabonds le plus souvent. »

    Je regarda un peu plus longuement le dessin. Je me souvenais enfin d'où venait ce chat, je ne l'avais vu qu'une fois et cela il y a très longtemps. Surpris de me rendre compte de cela, je regarda la date, puis sourit légèrement, presque d 'un air amusé . Je lui pris doucement le dessin et me mis dans une position similaire à celle du demi-chat. Je l'observa un peu plus en détail.

    « Arg, celui-ci a pleins de défauts, c'est l'un de mes premiers. C'était mon chat quand j'étais enfant, ma sœur l'avait ramené pour mon anniversaire. Mais je n'arrive plus à me rappeler comment je l'avais surnommé. »

    Je lui rendis finalement le dessin avec un petit sourire qui désormais ne quittais pas mon visage, puis me releva doucement dans un petit soupire d’épuisement. Je me mis sur le sofa, puis pris quelques papiers qui provenais de mon travail, étant sur la table basse. Je les éparpilla un peu. J'avais encore du travail ce soir, mais je n'étais pas tellement inspiré pour corrigé les fautes des auteurs. Tant pis, je pris mon stylo rouge feutré et commença à regarder les planches à dessin, dans l'espoir de pouvoir changer quelques petites choses afin qu'il soit parfait. Je repéra quelques fautes, mais rien de bien grave, cet auteur était vraiment géniale. Puis je commençais à me poser des questions quant aux goût du petit matou.

    « Dis moi, tu aimes quel genre de livre ? Parce que tu sais je suis éditeur et par conséquent j'ai un tas de livre à ma disposition, s'il y en a un que tu veux lire... Tu peux m'en parler tu sais. »

    C'était un petit pas pour me rapproché de lui, parce que je ne savais pas exactement me conduire avec lui. S'il n'aimais pas ça, on aurait qu'à parler d'autre chose, c'était juste pour lui en faire part, histoire de me montrer un minimum sympathique.
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MessageSujet: Re: Nageons dans le bordel. [Liem Ahn.]   Nageons dans le bordel. [Liem Ahn.] Icon_minitimeMar 24 Avr - 15:00



Un dessin, une nostalgie



Les dessins qui tombaient entre mes mains, je les savourais du regard avant de les placer sur une pile en fonction des thèmes. Mais depuis un long moment, mes yeux étaient arrêtés sur un de ses dessins. Normalement je prenais un dessin, l’analysais une ou deux minutes et par la suite le posait sur sa pile. Pourtant ce dessin-là était particulier pour moi. Peut-être car je le trouvais différent des autres. La plume semblait un peu plus hésitante que les précédents dessins que j’avais rangés comme si Akeli-sama se « cherchait » quand il l’avait dessiné. En le regardant, je m’amusais à chercher les différences avec les autres dessins, les choses étranges. Soudain, le dessin quitta mes mains sans que je comprenne pourquoi, j’étais tellement dans ma bulle en le regardant que j’en avais oublié presque la présence de mon autre à mes cotés. Le dessin, il venait de le prendre pour le regarder aussi. Il venait de me dire juste avant que ces modèles étaient des chatons qui vagabondant par-ci par-là, intérieurement je m’étais demandé si moi aussi j’étais un de ses chatons qu’il dessinerait un jour. Mon maître semblait particulièrement apprécier les chats car je ne pense pas qu’une personne détestant les chats pourrait en dessiner autant. D’un coté, j’étais assez rassuré, il ne me fera probablement rien. Il observait le dessin longuement et à vrai dire moi j’en profitais pour le fixer de mes grands yeux rouges. On aurait presque dit qu’Akeli partait dans un rêve enfantin en regardant le dessin, il semblait totalement perdu dans son dessin. Mon maître m’intriguait vraiment car j’étais dans l’incapacité constante de le cerner. Avec un sourire discret aux lèvres, il sourit face à se dessin avant de me le remettre dans les bras. Lui et moi on était proche, il s’était assit près de moi. Il ne semblait pas avoir trop de distance entre lui et moi. On était deux êtres assit l’un à coté de l’autre contemplant des dessins ensembles.

D’après ce que j’en avais compris de ce dessin après de mon maître ce soit exprimé, il s’agissait d’un de ses chats et aussi de l’un de ses premiers dessins. Il avait dit qu’il y avait pleins de défauts dessus mais pour moi, je trouvais que ces défauts donnaient un air encore plus réel au dessin. Alors comme ça il avait une sœur ? Moi j’étais fils unique d’une famille qui n’avait probablement jamais souhaitée ma venue. Tandis que mon maître alla s’assoir dans son sofa moi je restais immobile fixant toujours le dessin perdu à mon tour dans mes pensées. C’est seulement après que mon maître parla une nouvelle fois que je sortis de mes réflexions.

« Dis moi, tu aimes quel genre de livre ? Parce que tu sais je suis éditeur et par conséquent j'ai un tas de livre à ma disposition, s'il y en a un que tu veux lire... Tu peux m'en parler tu sais. »

Le dessin encore dans les mains je réfléchissais maintenant à ce que j’allais lui répondre. Je savais lire car mon précédant maître avait eut l’intelligence de m’instruire un minimum surement car c’est toujours plus agréable de parler à une personne instruire qu’à un analphabète, mais disons que la lecture n’avait jamais été au centre de mes occupations auparavant. Des livres oui, j’en avais lu mais j’avais quand même des difficultés de compréhension. A vrai dire je pense que les bouquins que j’ai du le plus lire étaient ceux des recettes de cuisines. Oui j’étais un peu comme un chaton cordon-bleu. Dans la même phrase Akeli m’avait aussi parlé d’autre chose, disant qu’il était éditeur. J’en déduisis rapidement qu’il devait s’agir de son métier mais j’ignorais en quoi cela consistais. Je n’avais pas encore assez d’expérience de la vie humaine pour la comprendre.

« J’ai appris à lire très tard, ma mère ne m’a jamais appris à lire car je pense qu’elle ne savait pas lire. C’est mon ancien maître qui m’a éduqué un peu mais je n’avais pas trop accès à sa bibliothèque. Les seules choses que je pouvais lire moi c’était les recettes de cuisines donc c’est pas vraiment de la grande lecteur. Mais une fois à la télé j’ai vu une publicité d’un roman parlant de vaisseaux spatiaux et ça avait l’air super ! Mais j’ai oublié le nom du livre par contre. Et toi, tu aimes quoi comme livre ? »

Je souriais encore face à lui en fermant les yeux et remontant mes oreilles. C’était un tic de chat je n’y pouvais rien. Malgré ce que j’ai vécu dans le passé j’étais ce qu’on pouvait qualifier de crétin heureux. J’aime sourire car je sais que voir une personne sourire ça réchauffe les cœurs même les plus endurcit. Je ne connaissais encore rien de mon maitre mais j’allais faire en sorte de combler cela. Déjà, j’étais content de savoir que je pouvais le tutoyer mais aussi le regarder sans devoir baisser les oreilles. Ouais baisser les oreilles pour regarder un humain ! C’est un copain neko qui m’avait parlé de cela lorsque j’étais encore en cage, il n’avait pas eu de chances en maître, il était tombé sur un sale mec je me souviendrais toujours qu’à ce neko, il lui manquait une oreille car son ancien maître n’avait rien trouvé de mieux que de la lui couper. Mais moi, je ne pense pas qu’Akeli me coupera une oreille je me trompe peut-être mais j’ai l’impression qu’il les aime bien mes deux attributs de chat sur le sommet de ma tête. Je les remuais souvent à vrai dire. Détournant un peu le regard, je m’étais remis à l’œuvre de ranger les dessins. Avec un petit regret de quitter ce dessin qui beau en le posant sur un pile correspondant à son thème, je pris un autre dessin et continua ma tâche. Ce n’est qu’après avoir rangé deux autres dessins que je réalisais une chose. J’en ronronnais de plaisir. Oui, j’étais vraiment heureux de rendre service à mon nouveau maître en rangeant ses dessins mais aussi en les admirant. Mais je faisais quand même en sorte de la cacher car j’avais toujours un peu peur de la réaction du maître. Je sais que mon ancien maître lui n’aimait pas que lorsque je ronronnais simplement car ça le gênait, ça faisait du bruit, c’était chiant. Il disait qu’il n’aimait pas avoir un moteur à la place d’un chat. Je n’ai jamais vriament su si je devais prendre cela avec humour ou non.

C’est en allant chercher un dessin un peu plus lin que je sentis une chose me serrer à la taille et c’est à ce moment-là que je vis le tablier autour de ma taille. C’est dingue comment cette chose m’efféminait. A vrai dire aussi, j’ai passé une partie de mon enfance avant ma vente à un maître entouré de ma mère et de ma grand-mère, c’est donc un peu dans un milieu de fille que j’ai grandi. Je n’ai pas un corps d’athlète, je ne suis pas grand comme géant vert non. Je suis un petit chat profitant de sa finesse pour augmenter son agilité. Ce tablier me serrant, je m’étais levé pour le retirer. Après une rapide bataille avec le nœud arrière qui refusait de céder, j’avais retiré la chose. En étant debout, j’en avais profité pour m’étirer un bon coup. En faisant un pas pour me diriger vers la cuisine pour ranger le tablier à sa place mon pied faillit s’écraser sur un dessin qui trainait par terre. A vrai dire, des dessins qui étaient parterre il y en avait plus d’un. J’en avais peut-être rangé le quart. Ce dessin évidemment attira de nouveau mon attention que j’en avais même oublié un instant mon attention d’aller à la cuisine pour ranger le tablier et en profiter pour jeter un œil à la quiche. En ramassant le dessin et en le regardant d’un coup mon sourire partit un instant et mes oreillers se recollaient à mon crane, elles qui avaient l’habitude d’être toujours dressées.

Ce dessin était un peu différent des autres sur le thème puisqu’il ne s’agissait pas d’un chat mais d’une jeune femme. Pourtant bien sur, il fallut que ce ne soit pas n’importe qu’elle femme. Même s’il s’agissait d’une humaine je reconnaissais en ses traits des similitudes avec le visage de ma maman. Oui, ma maman. Si maman était proche de moi elle reconnaitrait elle aussi que ce dessin lui ressemblait. En le regardant, je me perdais dans des sentiments de nostalgies, des souvenirs de mon passé avec elle. Elle me manque oui, je sais qu’elle est vivante quelque part dans le Vietnam, elle me manque. Intérieurement je luttais contre moi-même en regardant le dessin pour le pas en pleurer, je ne voulais pas pleurer devant mon maître non, je ne voulais pas lui montrer ma faiblesse mais quand même, ce dessin me chamboulait. Je le serrais tellement entre mes mains en le regardant que autours de moi les choses étaient floues. Le tablier de cuisine que je voulais ramener à sa place tomba de mon bras pour devenir un tapis sur le sol. Lentement, un nouveau sourire se dessina sur mes lèvres et mes oreilles retrouvèrent leur place.

« On dirait ma mère... »

Je fis demi-tour et rangea le dessin dans sa pile avec un sourire encore nostalgique aux lèvres. J’ignorais si mes yeux étaient encore plus rouges à cause des larmes qui avaient faillit couler, mais adressant un sourire à mon maître j’avais hoché la tête.

« Je pense que le dîner va être prêt ! »



Dernière édition par Liem Anh le Sam 12 Mai - 15:59, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Nageons dans le bordel. [Liem Ahn.]   Nageons dans le bordel. [Liem Ahn.] Icon_minitimeJeu 26 Avr - 19:16



    Adopter un hybride leçon numéro six : Faire plus ample connaissance.

    Qui aurait pu penser un jour, que le gamin arrogant que je suis pourrais s'entendre avec cet enfant ? J'avais grandis, j'étais un peu plus mature, mais mon côté artiste me déformais, tout simplement parce que l'avis sur les artistes est partager. Mature, ou immature ? Lorsque l'on voit un homme dessiner, on a plus tendance à ce dire que cet homme est sérieux et mature. Quand on regarde l’œuvre, on trouve cela immature, et surtout mes dessins. Je n'avais pas eu une enfance compliquée, non, j'avais eu l'enfance idéale même. C'est seulement que ma passion pour les chats avait toujours été là, qu'ils se laissaient parfois dessiné. Cette espèce sauvage qui décidait elle même si elle voulait être mon modèle ou non. Certain plutôt peureux restait assez long, d'autre plus coquin approchait pour se frotter à ce gamin adulte que je suis. En principe, les chats de mon quartier se laisse facilement dessiné, ils ne sont pas peureux et ont prit l'habitude du train qui passe, de ce bruit agaçant. Les moyens financiers pour vivre ailleurs, je les avaient, mais cette maisonnette ici, ou personne ne venait me convenait parfaitement. La boule de poil scrutait mes œuvres, et moi je le regardais d'un air innocent, me remémorant des dessins que j'avais presque oublier tellement il y avait un bordel artistique ici. Ça n'était pas si mauvais que ça à vrai dire, mais le petit devait avoir besoin de rangement, et ça m'aiderais sûrement à m'améliorer. Je retrouva un dessin de mon premier petit chat, celui que ma sœur m'avait offert sur un coup de tête, c'est à ce moment là que j'ai commencer à adorer nos amis aux petites oreilles mignonnes. Je ne pensais pas que cela ferait la même chose sur un petit neko. Il m'inspirait, et j'avais envie de le dessiné, j'avais un peu plus de motivation. Disons que ce genre d'art à toujours été là pour enchanté ma vie qui n'a pas toujours été rose, cette vie qui c'est montrée bien souvent sombre et complexe, mais je ne regrette rien et assume les actes antérieurs. Mais bon, c'est bien beau tout cela, mais j'ai du travail ! Je m'installa alors et me mit au boulot à contre cœur, ce n'est que plus tard que j’eus une idée. Moi, j'étais passionné par les livres, la musique et tout cela, mais je ne savais pas trop ce que lui il aimait. Ça peu paraître idiot, mais il m’intéressait. C'est tout naturellement que je lui demanda ce qu'il pensait des livres et tout cela, c'est quand même quelque chose d'important. Et c'est tout naturellement qu'il me répondit.

    « J’ai appris à lire très tard, ma mère ne m’a jamais appris à lire car je pense qu’elle ne savait pas lire. C’est mon ancien maître qui m’a éduqué un peu mais je n’avais pas trop accès à sa bibliothèque. Les seules choses que je pouvais lire moi c’était les recettes de cuisines donc c’est pas vraiment de la grande lecteur. Mais une fois à la télé j’ai vu une publicité d’un roman parlant de vaisseaux spatiaux et ça avait l’air super ! Mais j’ai oublié le nom du livre par contre. Et toi, tu aimes quoi comme livre ? »

    Il agitait ses oreilles d'un air mignon, je trouvais ça craquant. Donc j'étais fixé, il avait bien eu un maître avant moi. Comme quoi un question innocente peu nous ouvrir bien des portes. Les recettes de cuisine ? Ah, la nourriture devrait vraiment l’intéresser. Dommage, ça n'était pas mon fort et à vrai dire j'ai très rarement éditer des livre de cuisine, pour la simple et bonne raison que je n'y connais absolument rien. Malgré cela, j'ai travailler très dur dessus, comme tout les ouvrages don je m'occupe. J'avais fais beaucoup de recherche, avait chercher à lire entre les lignes, mais malheureusement, il n'y a rien qui cache un double sens certain dans les recette, c'est simplement des faits sans pensées derrière. Peut-être que je pourrais toute fois lui en trouver dans notre immense bibliothèque d'entreprise. Je l'amènerais avec moi un jour, peut-être qu'il y trouvera son bonheur. Je commençais à avoir plein d'endroit à visiter en tête. Je ne suis pas quelqu'un qui sortait beaucoup, parce que je n'avais personne de bonne compagnie pour m'y accompagner, mais maintenant, ça n'est plus le cas et je pense bien m'entendre avec ce garçon. Profitons temps qu'il fait beau. Nous n'aurions cas aller faire un tour vers la plage, manger une glace, courir dans le parc, faire un tour dans la grande roue, faire un tour par les boutiques de musiques ou autres choses fort sympathique. Passer par les restaurants pour découvrir de nouvelles saveurs, aller au cinéma regarder un film et manger du pop-corn, faire un tour au bar dans le pire des cas. Tout était vraiment bon à faire, et il me tardait de montrer tout cela à monsieur le chaton. Je me résigna finalement à répondre à sa question.

    « J'aime tout type de livre à vrai dire, mais surtout les romans et les choses où l'auteur est vraiment impliqué, quitte à donné son avis. Je t'en montrerais un jour peut-être. Si t'as la foi, tu pourrais aussi faire un tour dans notre grand bibliothèque de la boite, je pense que ça ne posera pas de problème. »

    C'est dans un sourire qu'il s’éclipsa dans la cuisine, sûrement pour surveiller le dîner. Ce serait tout de même dommage que ça prennes feu alors que mon ventre commençait à emmètre des petits bruits amusants, il réclamait l'idiot. J'attendais patiemment en entourant les fautes du scénario de mes auteurs, il s'agissait ici des plans d'un shojo. Et oui, même un homme peu regarder un shojo, sans pour autant être efféminé. Je ne suis pas la masculinité incarnée, mais je ne ressemble vraiment pas à une fille. C'est en soupirant que je vérifia si j'avais pas trop bâclé mon travail. Je pris mon ordinateur portable, fidèle ami qui m'avait sortit de bien des galère. J'allais alors voir certaines commentaire des vierges en chaleur qui attendaient la suite du manga pour s'extasier dessus ou... Faire je ne sais quoi encore. Bref. Entre le langage bizarre des jeunes filles de notre époque, les commentaires constructifs, j'ai réussis à terminé mon travail. C'est tout content qu'en prenant mon téléphone portable j’envoyai un message à l'auteur pour lui dire que le travail était terminé, que j'enverrais tout cela d'ici demain. Elle n'habitait pas bien loin, je le lui poserais demain en partant pour le travail ou en y rentrant, selon ma motivation. Je me leva finalement, rangeant un peu mon bazars dans une pochette avec soin, veillant à ne pas abîmé la base de travail de ma cliente, puis rangea tout ceci dans mon sac. Un sac qui ressemblait beaucoup à celui des lycéens d'ailleurs, tout à fait normal, puisque c'était celui que j'utilisais au lycée il y a déjà quelques années. Mon parton ne m'en voulais pas de ne pas me montrer très professionnel, puisqu'il fallait d'abord que les auteurs se sentent proche de nous, et que les imprimeurs (mega chiant entre nous... ) qui nous prenaient nous les éditeurs, pour des moins que rien. Du moins, dans ma boîte.

    « Je pense que le dîner va être prêt ! »

    Il semblait étrange, heureux ou malheureux, en faite j'arrivais pas vraiment à comprendre, et c'était plutôt intéressant. Ça m’apprendrais sûrement des choses, et ça, c'était intéressant. J'avais soif d'apprendre, même d'un gamin, parce que l'on est pas tous parfais niveau connaissance, et que tout ceci n'est pas distribué également. C'est avec un sourire que je lui répondis. J'étais vraiment content, et mon ventre semblait l'être aussi, si bien qu'il grogna un petit cou. Je lui fit chut avec l'index avec un petit sourire. Je suis un type vraiment très simple, et je n'essaye pas vraiment de me démarquer des autres, puis qu'être normal de nos jours, c'est vraiment original. Je ramassa quelques dessins qui traînait, plutôt ressent, puis les rangea sur mon bureau qui était un peu plus loin. C'est en revenant sur le sofa que je remis un peu mes mèches rebelles en place.

    « Dis moi Liem, tu regardais la télévision chez ton ancien maître ? »

    Je voulais en savoir un peu plus sur lui. Histoire de ne pas être complètement à la ramasse. La plupart des autres maîtres n'en ont que faire, surtout quand ils déteste les hybrides, mais là, je voyais plus Liem comme un pote, plutôt que comme mon hybrides. Bon, il ne fallait pas oublier qu'il devrait quand même répondre à mes ordres, mais voilà, il était tout de même plutôt libre, et j'espère au moins qu'il n'aurait pas l'audace de me dire qu'il n'avait pas assez de liberté. C'est en tapotant la place à côté de moi que je lui indiqua qu'il pouvait s'y installer.
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Liem Anh
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MessageSujet: Re: Nageons dans le bordel. [Liem Ahn.]   Nageons dans le bordel. [Liem Ahn.] Icon_minitimeMer 2 Mai - 19:35



Une petite place chaude sur le sofa ?



Ce moment de nostalgie m’avait pas mal perturbé, j’en étais tellement perturbé que je m’étais trouvé dans l’incapacité de formuler une réponse à mon maître. Lui qui pourtant m’avait proposé des choses qui m’enchantaient vraiment ! Dans le de visiter une grande bibliothèque. Une bibliothèque, je sais que c’est un endroit qui regroupe des centaines de livres de styles différents, d’époques différentes, d’histoires différentes que rien qu’entendre ce mot me mettait dans un était proche d’excitations, d’envies ! Oui, je trouvais sa proposition de visite de ce lieu vraiment intéressante et j’étais vraiment content qu’il me dise ça, on aurait presque dit qu’il désirait diminuer la distance entre lui et moi ce qui me réchauffait vraiment le cœur. Je lui aurais bien répondu immédiatement pour lui dire que j’étais entièrement d’accord mais mes yeux se posèrent sur le four et la quiche dedans qui ne semblait plus apprécier la chaleur du four. Etant donné que je n’avais vraiment pas envie de rater mon premier plat ici, j’ouvris le four et j’en oublia ma réponse à Akeli.

Ainsi donc j’étais de retour dans cette cuisine moderne ou j’avais prit connaissance des lieux vingt minutes auparavant. Cherchant les maniques dans un tiroir pour éviter de me brûler je fus assez emmerdé de ne pas les trouver. Ce fut uniquement avec un torchon peu épais je sortis du four la quiche bien chaude et dorée. Manquant de me brûler de fois et me brulant à la dernière, j’avais déposé le plat sur un plat de travail et refermé le four derrière. Fouillant sans gêne dans un tiroir je sortis un couteau pour analyser ma tarte. Vous connaissez tous la technique hein ? Pointe le couteau au milieu de ta tarte et sur une extrémité, s’il ressort légèrement humide du premier endroit et sec sur les bords, alors bravo tu as réussi ta quiche ! Seulement, en saisissant le couteau dans ma main, cette arme blanche responsable de nombreux crime, je m’étais figé un moment me rappelant une discussion avec un camarade d’animalerie…

C’était un usagi vraiment sympathique avec lequel j’avais parlé il y a deux mois lorsqu’ont devaient prendre nos bains habituels. La plupart du temps dans une discussion entre hybride, les deux parlent principalement de leur maître et pourquoi cela ? Simplement car il s’agit de la seule chose qu’on connaisse et que l’autre comprenne. Ainsi donc nous parlions ensemble de notre passé et notamment sur le pourquoi du comment on s’était retrouvé ici en animalerie, lâchés par notre maitre. Lui il m’avait raconté qu’un jour sa maîtresse lui avait demandé de lui couper les cheveux alors naturellement il était partit chercher une paire de ciseaux. Seulement voilà, en voyant l’ustensile dans ses mains, sa maitresse prit peur. Après l’avoir battu l’accusant de vouloir la tuer, il s’était retrouvé dans un camp de dressage pour ensuite être transférer dans cette animalerie. Après avoir entendu cette histoire, j’en étais sidéré de la bêtise humaine. Voilà pourquoi avec mon couteau dans la main j’hésitais. Akeli dans un moment de paranoïa profonde comme seuls les humains ont, pourrait penser qu’avec mon couteau j’allais lui bondir dessus pour lui tailler la gorge. Pourtant, en le regardant au loin plonger dans son travail, j’en avais déduit qu’il ne pourrait pas voir l’arme.

Un peu rassuré, je saisis fermement le couteau et analysa la cuisson de ma quiche pour finalement en conclure que c’était juste divinement réussi. J’en étais vraiment content. J’étais fier, je me sentais important d’avoir mené au succès ma première réalisation ici. J’en avais retrouvé le sourire et oublié ma nostalgie d’auparavant. Heureux, j’avais repris le couteau en main et lentement j’avais coupé six parts de ce plat de taille quasiment identique. Je m’étais retrouvé de nouveau à fouiller dans la cuisine pour trouver un plateau que mes yeux s’arrêtèrent rapidement sur le tablier que je m’étais dit que je devais ranger et que je ne l’avais pas fait. Laissant tomber la quiche et maudissant ma mémoire, j’avais accroché le vieux tablier à l’endroit où je l’avais trouvé. L’instant d’après je continuais ma quête du plateau. Une fois trouvé, je sortis une assiette, des couverts, une serviette, et un verre avec une bouteille d’eau. Je plaça le tout sur le plateau en mettant un morceau de quiche au centre de l’assiette, sur la droite du plateau les couverts rangés par ordre de taille et sur la serviette pliée en diagonale et coincée sous l’assiette. Le verre et l’eau reposaient sur la gauche du plateau.

J’étais content de ma petite présentation, je voulais donner bonne image. Image du serveur dans un restaurant qui apportait le menu à son client. Vous remarquerez surement que je n’ai préparé aucune assiette pour moi. En effet, j’adore manger mais par politesse envers mon maître je me devais de le servir avant moi et de me servir après lui. C’était dans mon fonctionnement des choses ou plutôt une habitude que j’avais acquise avec mon ancien maître. En parlant de d’ancien maître voilà justement que mon nouveau maître s’intéressa à lui puisqu’il me demandait si je regardais la télé chez mon ex-maître. J’étais encore dans la cuisine à ce moment-là que je ne pu lui répondre immédiatement une nouvelle fois mais c’est en apportant le plateau et le posa sur la table devant lui et prenant place sur la canapé, puisqu’il me laissait la place, que je m’étais dit que j’allais parler avec lui, se connaitre mieux. Mes yeux étaient captivés par le morceau de quiche devant moi, qui n’était pas pour moi puisque ma part était restée en cuisine.

Plaçant discrètement ma main sur mon ventre pour étouffer ses plaintes, j’avais adressé un grand sourire à mon maître. J’étais un peu tendu d’être si proche de lui que la première fois que ma bouche s’ouvrit pour lui parler, aucuns sons n’en sortis. C’est uniquement à la deuxième tentative qu’un son ridicule et inidentifiable en sortit. Toussant un peu et me raclant la gorge, j’étais enfin en mesure d’aligner des mots.

« Ton repas est prêt Akeli-sama » je continuais avec le tutoiement simplement car ça ne semblait vraiment pas le gêner. « Je n’ai pas eu l’occasion de te répondre avant, mais ce serait vraiment avec plaisir que je puisse visiter une de tes bibliothèques ! Il doit y avoir pleiiiiins de livres non ? » Finalement, je m’emballais dans mes propos. Moi qui auparavant me trouvais tendu d’être si proche de lui, je me détendis finalement très vite. « La télé ! ça ma toujours passionné mais disons que non j’en avais pas vraiment accès. Il était plutôt du genre à s’écraser devant sa télé en me laissant à faire toutes les taches ménagères. C’était comme ça que ça marchait chez lui et ce n’était pas si horrible ! Il avait des humeurs parfois mais je l’aimais bien quand même car je pouvais vivre … chez mon père ce n’était vraiment pas pareil ! Mais, dits moi toi, tu n’as pas de famille ? Je n’ai vu aucunes photos dans ta maison !» J’étais curieux je dois bien l’avouer. Curieux et aimant parler, la langue bien pendante. J’espérais juste qu’il ne trouve pas cela lassant chiant car moi je voulais vraiment le connaitre un peu plus ! J’avais une impression d’espoir avec lui, comme-ci il pouvait naitre entre nous deux autres choses qu’une relation de maître/esclavage ! J’ignorais si j’étais pas un peu optimiste mais bon, il fallait bien espérer dans la vie non ?

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Akeli Ynasuki
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MessageSujet: Re: Nageons dans le bordel. [Liem Ahn.]   Nageons dans le bordel. [Liem Ahn.] Icon_minitimeSam 16 Juin - 19:52



    Adopter un hybride leçon numéro sept : Devenir niais ? Jamais !

    J'ai beau chercher, tout me ramène à un « pourquoi ? » Il semblerait que ce soit une chose assez simple. Parce que j'en ai ressentis le besoin. Quitte à en assumer les conséquences, je m'occuperais de ce petit neko. J'en ferais le modèle du siècle d'un si célèbre dessinateur. Ça, ce n'est tout ce que je pouvais espérer. En bref, il était retourner à la cuisine pour préparer la fin du dîner qu'il avait concoctée. À vrai dire, je ne suis pas quelqu'un de très compliqué niveau bouffe, je mange de tout, et surtout des plats tout prêt et de la restauration rapide. Beaucoup seraient offusqués et ce diraient que j'ai énormément de chance de ne pas devenir énorme après avoir manger autant de saloperies. Mais la vie est faites ainsi et c'est bien pour des choses comme celles-ci qu'on ne peu pas tous être égaux. Je vais partir dans un débat personnelle, mais si vous saviez à quel point des choses me passe à la tête pendant que je travail, des choses qui n'ont pas vraiment de sens entre elles. Je pensais à toutes ces femmes qui veulent la liberté. Et c'est en lisant le shojo sur lequel je devais travaillé, que mes pensés se sont développés. Tout d'abords, elles veulent l'égalité des sexes. Seulement à moins d'avoir quelque chose entre les jambes, ce n'est pas quelque chose de techniquement possible, je me trompe ? Soit, elles parlent de l'aspect psychologique et de la façon dont on les traites. Heureusement pour elles qu'elles ne sont pas traitées comme des hommes, si vous saviez la vie dure qu'elles auraient. Il faut retenir, que les hommes ne pensent pas la même chose que les femmes. Soit, voilà pourquoi les femmes aiment les shojo, les hommes, les shonen. Mais, je n’oublie pas les exceptions. Si nous continuons ainsi, à vouloir leur donné cette égalité dont elles rêvent tant, c'est nous qui finiront battus par leurs liberté. Non seulement on sera obligé de leur donné nos avantages, mais en plus de cela... Elles veulent gardez les leurs. Finalement, avec ces pensés j'ai difficilement réussis à me mettre au travail, mais bon, mes idées sont farfelues.

    Quoi qu'il en soit, maintenant j'ai terminé ! Et il semblerait que le neko ne soit pas en mauvaise position non plus, puisque j'avais entendu la fermeture du four, puis un début de pas. Je savais vraiment pas comment réagir à ses côtés, c'est une chose étrange n'est-ce pas ? Je ne côtoie pas beaucoup de monde, et je n'aurais jamais pu penser qu'un jour j'inviterais qui que ce soit à vivre chez moi, comme ça pour ses beaux yeux. Je fus déçu de moi même, mais en voyant ce petit Liem s'approcher, plus aucun regret, je devais avoir oublier à quel point il a un visage agréable à scruté. Mais aussi, que je sentais ce besoin de chaleur que j'avais quand je côtoyais des gens que j'appréciais. Je ne suis pas quelqu'un de très affectueux, je dirais plutôt tactile... Je vous vois déjà chercher les double sens de ma phrase. Bref ! Il j’approchais d'un air plutôt neutre, puis il posa l'assiette devant moi avant de d’installé sur le canapé à mes côtés. Je tourna le regard vers lui. Il n'y avait qu'un assiette, et j'ai d'abord supposé qu'il n'avait pas fin, mais un petit gargouillement le trahis, il le fit taire mais j'avais compris. Sûrement qu'il avait peur de manger en même temps que moi, ou qu'il voyait ça comme un manque de respect, j'en sais trop rien.

    « Ton repas est prêt Akeli-sama. Je n’ai pas eu l’occasion de te répondre avant, mais ce serait vraiment avec plaisir que je puisse visiter une de tes bibliothèques ! Il doit y avoir pleiiiiins de livres non ? »

    Je souris bizarrement, un signe de joie en faite, mais ça n'était pas très visible, j'ai des mimiques étranges. Je hochais doucement la tête pour appuyer ses propos. Et bien, une bibliothèque, il y a évidemment beaucoup de livres, c'est le but il me semble. Je ne sais pas vraiment s'il trouverait son bonheur là bas, on ne produit pas beaucoup de livre de cuisine, mais il y a vraiment des livres intéressants, et beaucoup de mangas en tout genre aussi. Plus je le regardais, plus j'avais envie de faire un portrait de lui. Je ne savais pas encore comment est-ce que je pourrais lui annoncé cela, ça semblait déplacé. Ce n'est pas vraiment un traitement de faveur, j'aurais fais pareil avec tout le monde, parce que je ne supporte pas le manque de respect ! Non, ça c'est pour faire joli, en faite, je manque de respect à tout le monde. Mais je ne peux pas être aussi méchant avec un aussi gentil visage. Mon esprit d'artiste me met des barrières, mais je pense que pour cette fois-ci, c'est une bonne chose.

    « La télé ! ça ma toujours passionné mais disons que non j’en avais pas vraiment accès. Il était plutôt du genre à s’écraser devant sa télé en me laissant à faire toutes les taches ménagères. C’était comme ça que ça marchait chez lui et ce n’était pas si horrible ! Il avait des humeurs parfois mais je l’aimais bien quand même car je pouvais vivre … chez mon père ce n’était vraiment pas pareil ! Mais, dits moi toi, tu n’as pas de famille ? Je n’ai vu aucunes photos dans ta maison ! »

    Je cligna rapidement des yeux en le regardant. Ma famille ? BAM manges toi ce flashback dans ta face Akeli. Les années avec la drogues, le départ de Midori. Finalement on comprend assez vite le therme famille, mais n'est-ce pas une question un peu trop gênante pour moi ? J'ai eu la famille parfaite, mais ça englobe aussi mon sale comportement que j'ai eu vis à vis d'eux et les problèmes que j'ai causés, je me sens plutôt mal par rapport à eux, te c'est d'ailleurs pour ça qu'on a un peu perdu contact. Ils ont toujours été là, et c'est pour ça que je veux m'en éloigné, et pourrir dans mon coin, me débrouillé par moi même et ne plus à avoir à compter sur les autres. Un peu plus tard un sourire ce dessina sur mon visage, et un léger soupire, comme du soulagement ou de la bonne humeur. Je lui ébouriffa une fois de lui les cheveux. Un geste tactile qui ne voulait pas non plus rien dire. C'était un peu pour montrer ma supériorité, mais à ce point là, c'était juste parce que je le trouvais adorable.

    « J’essaye de perdre contact avec ma famille, parce que j'ai fais des erreurs. »

    C'est tout ce que je pu répondre clairement, parce que de toute façon je n'avais pas vraiment envie d'en dévoilé plus, n'est-ce pas plus cool de laisser cette apparence ? Un genre de type mystérieux, ça attire forcément, si si, c'est tout réfléchis mes amis. J'ai beau sembler gentil, je n'en suis pas moins manipulateur. Je veux juste l'incité à s’intéresser un peu plus à moi, tout en lui foutant une barrière. Un parfait scénario de boy's love. Je suis un génie. Peu après je tourna mon regard vers la quiche, puis avec un sourire je pris l'assiette dans ma main et à l'aide d'un couvert prévu à cet effet, je commençais à manger, d'un air plutôt dégueulasse, faut l'avouer. C'est tout en me léchant le bord de la lèvre, parce que je ne savais visiblement pas manger correctement, que je me tourna d'un coup vers Liem, j'aurais quand même pu lui demande ce qu'il comptait manger quant à lui ! Je déglutis, et fini par rattrapé mon erreur.

    « Euuuh, mais toi tu ne manges pas ? Je veux dire, j'ai pas besoin de grandes marques de respect, je veux seulement de l'obéissance... »

    Voilà que je me met à jouer les gentils. Bref, je souris encore une fois et tendis avec ma fourchette un bout de nourriture pour l'approché de la bouche de l'intéresser. Et avec un sourire niais je le regardais, comme s'il n'était qu'un enfant et que je le faisais manger, n'est-ce pas une situation embarrassante pour lui ? Ah, c'est un neko, il n'y verra que du feu. D'un air amusé, je sortis l'habituel blabla dans ce genre de situation : « Fait « aaaaah » ! » Puis j’éclatai de rire, non, s'en était un peu trop pour moi, je n'étais pas ce genre de type niais.
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