Une histoire de Piaf ▬ White.

Bonjour Invité, te voici sur ma fiche.

White Tes papiers • Nom : En change à chaque fois qu'on lui demande. • Prénom : White. Plus original, tu meurs. • Âge : 26 ans. • Orientation sexuelle : Naturellement charmeur avec tout ce qui bouge, et qui est à son goût. Bisexuel, donc. • Race : Piaf de type Colombe. So viril, isn't it ? • Comportement [Sunao/Mushoku]: Mushoku. Mais s'est fait attraper récemment comme un couillon, et enfermer dans une cage d'Animalerie. Une obscure histoire de chat, d'arbre, et de balle de tennis. • Tic : Sourit bien trop souvent pour être honnête. Se décoiffe trois cents fois par jour. Pose fréquemment un doigt sur ses lèvres closes, quand il réfléchit. • Toc : Se jette sur des sucreries dès qu'il ressent la moindre petite notion de stress. • Qu'aimes-tu ? Les bonbons, les peluches, le bain moussant à la Lavande, chantonner sous la douche... • Que détestes-tu ? Plein de choses. Mais surtout les chats. Ses ennemis personnels ad vitam eternam.

Describe your physical appearance. « Méfiant, le stagiaire s'approche de la cage. Il n'a jamais été très à l'aise avec les bestioles, et même si celle-là dort, droguée jusqu'à la moelle, il n'est pas rassuré. Pourquoi faut que la première approche soit toujours pour sa pomme, hein ? Et si jamais c'était un hybride du genre Tigre et qu'il sortait ses crocs pour...Ah. Une plume. Toussotements. Bon, d'accord, c'est visiblement pas un truc dangereux. Mais ça aurait pu. D'abord. Interloqué, malgré sa trouille encore bien présente, l'humain pénètre dans la prison de fortune, et ramasse la plume. Blanche, délicate, mais surtout vachement grande. Prudemment, il repose la plume au sol, et observe plus attentivement le spécimen. Aucun signe d'hybridation extérieur visible. Il allait falloir le foutre à poil pour être sûr de son type. L'humain tremblote un instant, se demande (encore une fois) pourquoi, Grands Dieux, ce genre de choses lui tombe toujours dessus, puis s'approche. Il contourne la forme endormie, sur la pointe des pieds, avant de se pencher en avant. C'est un mâle. Pas de doutes là-dessus. Son visage possède des traits vachement fins, et des cils qui feraient pâlir d'envie sa frangine, mais c'est bel et bien un homme. La forme des épaules, peut-être ? Le stagiaire recule d'un pas ou deux. Hum. Penche la tête sur le côté, se tord un peu sur la gauche, relève les yeux, les rabaisse, et fronce les sourcils. Il ne voit absolument pas où ce piaf peut planquer ses ailes. C'est vrai quoi, les vêtements laissent deviner un peu tout. Le corps est grand, même si globalement fin, et possède de longs doigts, des jambes limites interminables, ainsi qu'une peau presque aussi blanche que sa chevelure. Sacrée touffe d'ailleurs. Il a jamais vu un tel bordel capillaire, à croire que cet hybride le fait exprès. Ou qu'il se conduit comme un excité chez le coiffeur. Mais quoi qu'il en soit, c'est pas son problème. Son problème à lui, là, c'est de trouver sa race. Et visiblement, pas moyen de couper court à la séance de déshabillage. Mer-deuh. Bon, au moins, si ça continuait, il allait avoir une description super complète du produit. Hahah. Ouais. Bon, encore un p'tit coup d’œil ? Histoire de compléter ? Il a déjà perdu assez de temps comme ça, alors une minute ou deux de plus, ça ne devrait pas poser de problèmes, non ? Fort de cette pensée, l'humain se rapproche, remarque une étrange marque tribale, en dessous de l’œil gauche, tique un instant, puis se redresse. Un tatouage ? Sûrement une sorte de marque laissée par un précédent maître. Il hoche la tête et note ça dans sa fiche. Grattage intensif du menton. Puis, réflexionnage intérieur tout aussi intense. Hélas, pas grand-chose d'autre à remarquer. Vu le fin duvet des avant-bras, la couleur blanche des cheveux est naturelle. Les reflets violets qu'il aperçoit de temps en temps par contre, doivent être l’œuvre d'une teinture. Et ses oreilles sont percées. Mais ça, il l'a déjà marqué. ▬ Bon...Quand faut y aller, faut y aller, hein ? Après avoir un peu dégluti, et s'être juré que la prochaine fois, ce serait sa collègue qui s'en chargerait, le stagiaire passe à l'attaque. D'un coup vif, un peu brut, il attrape le t-shirt et le soulève brusquement, histoire de ne laisser aucune chance à sa proie. Enfin, disons, à son propre cerveau de se dérober. Oh, la vache. C'est qu'il est musclé, le bestiau ! Certes, on est très loin du torse d'un Viking barbare du Nord, mais quand même. C'est pas le genre de muscles qu'on obtient en glandouillant sur son canapé. C'est fin, mais présent. Sec. Et sûrement très efficace. Étrange. Mais bon, après tout, les propriétaires ont bien le droit de vouloir un serviteur en forme et plaisant à regarder. Wait. Il venait de penser quoi, là ? Brrr. Fallait qu'il s'active un peu, sinon, il ne donnait pas cher de son cerveau. La main qui dérape légèrement sur son support d'écriture, l'adolescent note ses observations, arguant que ça plaira sûrement à la clientèle, puis, priant pour que la drogue agisse encore, retourne le spécimen. ▬ Bordel. Il n'aime pas vraiment les animaux, et ne possède aucune sympathie particulière pour les hybrides, mais ça...Ça, c'était moche. Il secoue la tête. Non. C'est moche. Une telle barbarie. Même sur un être inférieur. C'est ignoble. Avec un regard peiné, il contemple l'aile droite qui s'est dépliée sur le côté, et revient sur celle de gauche. Enfin, sur l'endroit où aurait dû se trouver l'aile de gauche. Point de grande aile couverte de plumes somptueuses et immaculées comme sur l'autre omoplate, juste une cicatrice. Énorme. Visible. Douloureusement laide. Et qui ne date visiblement pas d'hier. L'humain frissonne. Fort. Puis il croise une paire d'yeux améthyste, et ne songe même pas à fuir. Il baisse simplement la tête, complète son rapport, et s'en va. »

Praise For Mentally Speaking ! « Grognement. Petit reniflement. Retroussage de nez. ▬ Ouep, t'avais raison, c'est un beau spécimen. Mais son aile manquante, là...Ça va pas le faire. ▬ Mais il est beau, tu viens toi-même de le dire. Cela ne suffit pas ? ▬ Mouais. Il est tout sauf laid, c'est sûr, mais ça reste une espèce d'éclopé. Et qui voudrait d'un éclopé ? Pis d'ailleurs, on ne sait même pas ce que c'est, là, ton machin. ▬ C'est pas "mon" machin. Retour dans la cage, même pas une heure après la première visite. Sauf que cette fois, l'hybride est parfaitement éveillé, les écoute, et sourit. Le stagiaire ne sait pas ce qui est le plus inquiétant parmi les trois points. Peut-être tout. Peut-être juste son sourire. Ou ses yeux violets, qui ont l'air de suivre le moindre de ses mouvements. Certes, l'humain admet qu'il doit être plus agréable à observer que l'adulte bedonnant et presque chauve qui l'accompagne actuellement, mais quand même. Cela reste flippant. Pis ce sourire, là, il ne sait pas pourquoi, mais il a l'impression que ça cache un truc pas clair. Soit ça, soit c'est un niais total. Mais, encore une fois, il a comme l'impression que ce n'est pas ça. ▬ Un zigoto même pas capable de faire correctement un boulot aussi simple que celui-là n'a rien à dire, p'tit gars. ▬ Je ne suis pas petit. Réplique qui fut complètement lâchée dans le vent, hélas, vu que ce qui lui tient lieu de supérieur, ne l'écoute déjà plus, et observe de bas en haut le sujet même de leur discussion. De nouveau, le dit supérieur renifle avec une élégance indéniable, puis sourit, moqueur. ▬ Vu que t'as pas été foutu de trouver, demandons directement à la source. Alors coco, t'es quel genre de piaf ? ▬ Une colombe. Silence. Très long silence. Puis, enfin, une réaction : ▬ Tu te fous de ma gueule ? ▬ Pas du tout. Et toujours ce sourire. Mais il ne semble pas mentir. Le plus jeune le fait remarquer à son comparse, qui se contente de renifler de nouveau, et de noter l'information sur sa fiche. ▬ Au pire, on s'en fout. S'il se vend pas rapidos, on ira faire des exam's. Ou on s'en débarrassera. Le stagiaire grimace furtivement, mais ne dit rien, et finit par suivre son supérieur hors de la pièce. Une poignée de minutes plus tard, quand White fut sûr de plus entendre le bruit de leurs pas dans le couloir, il se permet de bailler un peu, de masser l'arrête de son nez, puis d'aller faire un grand facepalm avec le mur en guise de main. » White, c'est...un truc assez indéfinissable. Souvent expansif, voire carrément théâtral par moment. Comme quand son paquet de bonbons se retrouve vide. Mais ça, on est d'accord, c'est réellement la fin du monde. Ou quand il s'arme d'un parapluie et part dans un intense duel avec un matou de gouttière. Mais ça aussi, et nous sommes toujours d'accord, c'est une question de vie ou de mort. Les félins, c'est un peu sa Némésis personnelle. Et surtout les chats, car, avouons-le, c'est le type de machins poilus et bouffeurs d'innocents volatiles qu'on croise le plus. Et il n'aurait rien contre eux en fait, si ces derniers ne voyaient pas en lui l’ultime poulet. Un piaf aussi gros, c'est juste pas dieu permis, quoi. Une vraie invitation. Du moins, on le suppose, vu la manière dont ils ne se retiennent absolument pas pour sauter sur sa personne, toutes griffes dehors. Merci gènes de Colombe et instinct naturel. Parfois, son héritage génétique s'affole tellement, qu'au lieu de guerroyer comme un brave, il ne peut pas s'empêcher de fuir prestement. Et de grimper aux arbres. Ça par contre, c'est une réaction humaine. Enfin. Il semblerait. En tout cas, ça fait pas très machin à plumes, et surtout, c'est assez con, car un chat, ça grimpe aux arbres, mais bon. Son corps réagit souvent avant son cerveau, et personne n'a dit que quand on flippe sévère, on est forcément très logique, hein. Pis, la logique et White, c'est une grande histoire. Compliquée. Et absurde, bien souvent, aux yeux du monde extérieur. En plus, si on rajoute son humour (very personnel), par dessus, ben ça fait un sacré combo, mes cocos. Mais ça, vous aurez bien l'occasion de le constater. Plus tard. Ce qu'il faut savoir surtout, c'est que si White semble louche, et de fait, n'a pas trop l'air de le contredire, c'est que le terme "louche" peut avoir beaucoup de définitions. Il y a louche et louche. Et il y a White et White. Certes, White est, et restera toujours White. Mais, il faut prendre cet hybride un peu comme un gâteau. Il n'y a pas que la décoration, ni les premières couches qui existent, le reste est aussi présent, et, en l’occurrence, le reste est assez surprenant. Brièvement, on peut sentir qu'il y a anguille sous roche, quand on voit une lueur particulière traverser ses iris, ou quand on le voit marcher, plus félin qu'innocent oiseau, ou simplement en captant sur son visage une expression...prédatrice ? But, quand cela arrive, le retournement de situation, de personnalité, ou simplement de ton, restera toujours aussi glaçant. Et laissera comme l'impression que la proie, elle est plus tout à fait la bonne, là. L'être humain est complexe. Il n'y a pas de raisons pour que l'hybride ne le soit pas. Et croire que les gènes animales décident tout, est une erreur tout à fait charmante. ♥ « »

Your history is mine. « Assis sur le bord de la petite terrasse, les pieds de l'enfant battaient l'air, effleurant parfois les brins d'herbe du jardin. Il faisait nuit, il faisait chaud, le mois d'août tirerait bientôt sa révérence, et l’Été se finirait. Mais ce n'était pas triste, non. Il faisait bon, et le vent soufflait doucement, agitant ses boucles rousses de temps en temps, comme la caresse d'une Maman. Puis, il n'était pas seul. Il avait de la compagnie. Et sans même se retourner, il sentait son père s'activer derrière son dos, à l'intérieur, dans son bureau. Les criquets se disputaient la quiétude du soir avec la plume de l'homme, créant une mélodie agréable, reposante, aux oreilles de son fils, qui ne pouvait s'empêcher de sourire. Il était bien, assis tout simplement là, les yeux tournés vers les étoiles, avec son nouvel ami. Par contre...Son nouvel ami, lui, ne souriait pas. Se dandinant sur place, le petit garçon hésita, puis, baissant la tête et contemplant ses chaussures, murmura : ▬ White ? Un papillon de nuit voleta juste devant leur nez, faisant sursauter l'enfant, qui, poussant un cri et reculant brusquement, faillit tomber de son perchoir. Une main jaillit alors de l'obscurité, puis, sans réelle douceur, mais ni méchanceté, bloqua sa chute, avant de réinstaller le plus jeune correctement. Ce dernier en profita pour regarder celui qui venait de l'aider. Il ne lui avait pas répondu avec sa voix, pourtant, il l'avait entendu. Il le savait. Avec son geste. C'était bizarre. Mais le petit comprenait. White ne parlait pas beaucoup, mais ce n'était pas sa faute. Le rouquin leva les yeux, fixant l'épaule bandée. Il tendit la main, timidement, puis se ravisa, et, laissant son bras suspendu en l'air, demanda, d'une voix fluette : ▬ Ça fait mal ? L'adolescent aux cheveux blancs ferma ses paupières, remua ses doigts dans le vide, puis répondit, finalement : ▬ Oui. ▬ Oh... Nouveau silence. L'enfant reprit sa position initiale, mains sur le bois de la terrasse, regard fixé sur le ciel nocturne. ▬ Et...Ça fera mal encore longtemps ? Pour la première fois de la soirée, l'hybride ailé le regarda. Et, pour la première fois depuis son arrivée chez eux, lui sourit. ▬ Non. Le sourire que lui rendit l'enfant fut si resplendissant, qu'il ne put s'empêcher de tendre la main, et de caresser les boucles rousses. Avec douceur. Comme le vent. ♦ ♦ ♦ ♦ Le pied se posa, lentement, sur le parquet de bois, priant pour que la planche ne grince pas. Un léger couinement se fit pourtant entendre, malgré les précautions, et la silhouette se figea. Plusieurs minutes s'écoulèrent, et ne voyant personne venir à sa rencontre, l'ombre se détendit un instant, avant de reprendre sa progression. Elle était proche du but. Elle savait. Après ce coin, elle verrait la porte d'entrée. Et ce serait fini. ▬ White. La voix avait vibré, traversant les ténèbres comme un couteau, et arrêtant net l'adolescent dans son mouvement. Il tourna la tête, observa le nouveau venu, puis avec un petit soupir, reposa son pied au sol. ▬ Il va t'en vouloir, tu sais. Pas de réponses. ▬ Et...Tu vas lui manquer, surtout. Léger tressaillement. White secoua la tête doucement, et avec un micro sourire, laissa filtrer d'une voix neutre : ▬ Un mort-vivant ne manque à personne. L'adulte se décolla du mur avec un soupir, et se plaça en face de l'adolescent. ▬ Tu n'es plus un mort-vivant, White. Tu as changé, depuis ton arrivée. Et tu le sais. Son interlocuteur garda de nouveau les lèvres closes, se contentant de le fixer en silence. Celui qui s'était occupé de lui pendant de longues semaines laissa, en retour, échapper un nouveau soupir. Il faisait nuit noire, mais l'hybride ailé devinait son expression. Une expression fatiguée. Pas déçue, pas en colère, juste fatiguée. Il ne lui en voulait pas. Il aurait pu, pourtant. Pour plein de raisons. Tellement. Oui, tellement, que ça en donnait mal à la tête. Mais ce duo Père-Fils d'hybrides écureuils avait un cœur en or. N'importe qui d'autre l'aurait laissé mourir. N'importe qui. Parce qu'il y avait des risques. Tellement de risques. Et d'arguments, tous aussi valables. Mais non. Eux, ils l'avaient aidé. Juste comme ça. Sans se poser de questions. White entrouvrit les lèvres, mais fut stoppé net par une main. ▬ Ne dit rien. Je sais. Tu dois partir quand même. Léger hochement de tête. ▬ Et...Tu lui as quand même dit au revoir ? Nouvel acquiescement. Oui. Il s'était glissé dans la chambre du petit hybride, tout à l'heure, et lui avait caressé les cheveux, une dernière fois, dans son sommeil. L'adulte l'observa encore un moment, puis se gratta la nuque et eut un petit sourire. ▬ Bon. Je suppose qu'on peut rien y faire. Allez, file, gosse indigne, avant que je ne change d'avis et ne botte ton p'tit cul nacré jusqu'à ton plumard. Micro-tressautement des lèvres, infime révérence, puis disparition dans la nuit. Comme un courant d'air. ♦ ♦ ♦ ♦ Welcome in Present, baby. Après une fougueuse et intense présentation avec le mur de sa nouvelle demeure, White recula finalement, retirant sa tête de la surface de son nouveau copain. Qu'il appellerait Robert, tiens. Y a pas de raisons, même les murs, surtout un aussi patient que celui-ci, avaient le droit à un prénom. Bref, après un petit salut à Robert, le jeune homme retourna s’asseoir en tailleur. Ni trop loin des barreaux, ni trop près de la paroi de béton. Parce que, même s'il n'avait rien contre Robert, ce dernier aurait bien eu besoin d'un bain. Et ce, depuis un petit bout de temps, vu les traces indistinctes qu'on pouvait admirer, çà et là. L'hybride se balança un moment sur son fessier, les genoux repliés contre son torse, tentant d'imaginer la tronche des acheteurs s'ils voyaient l'arrière-boutique. Ce fut donc, avec un léger sourire, qu'il salua l'ouverture grinçante de la porte, puis l'apparition du charmant petit stagiaire. Petit stagiaire qu'il suivit ensuite docilement jusqu'au cœur de l’Animalerie, c'est-à-dire la salle où étaient exposés et vendus les hybrides, sans, bien sûr, omettre au passage de faire un signe d’au revoir à Robert. Parce qu'il était poli. Et qu'ils ne se reverraient peut-être pas. » « »

Ouais fait gaffe je vais sortir le fouet. Bonne idée surtout qu'il faut que je fouette Hasae qui est partit dans le trip de prêter mon divin corps à qui le voudrais bien. Mais je dis non, non non et encore non. Pour ce qui est de ton rang, comme je suis un admin PARFAIT qui fait son travail sans le bâclé *tousse*. Je vais te ce pas jolie colombe de confectionner tout ceci ~
Bon remarque d'un côté Hasae n'a pas tord puisque s'il t'offre mon corps c'est parce qu'il sait très bien que voilà, je vais te voler le tien. *Bouche les oreilles de Liem* C'pas des histoires pour les enfants ça !
Bon autrement, mise à part de GROS HORS-SUJET ! Je te souhaite la bienvenu parmi nous. J'aime bien ta façon d'écrire. Parce que oui j'ai lu, si si, j'vous assure ! Et c'est sans me forcé d'ailleurs, c'est une très belle façon de décrire les choses. Sur ce, bon RP et amuses toi bien dans ce clan de fou-fou.