Je répond présent. ~

Fiche de Akeli Ynasuki - Welcome ~.

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Hey vous ! Les mains en l'air, où sont vos papiers ? AVATAR : Fukuwa - Nico Nico Singer Akeli Ynasuki Bonjour belle partie, on me surnomme Red, j'ai actuellement 26 ans et devinez quoi.. Chaque année le 22 mars je prend un an de plus ! Si c'est pas génial ça... Je suis un homme et je suis attiré(e) par les hommes et les femmes. Mon métier est Editeur , mais je pratique beaucoup la musique et la peinte à côté de cela. Et je suis un maître plutôt odieux Enchanté de faire votre connaissance ~

Huuum... Mais qui es-tu au juste ? Appelez moi toxico, fumeur, crétin, chieur, emmerdeur, bouffon, con, stupide, débile, gamin, pathétique, fou, pervers, fumeur, PD. Dites ce que vous voulez, je ne prend pas en compte les mensonges des autres. Je suis le mieux placer pour savoir qui je suis, et vous saviez qui je suis ? Akeli Ynasuki, je ne suis ni plus ni moins que la personne que l'on m'a laisser être. Cette personne que mes parents ont dû supporter dans de dures labeurs, voilà le résultat de leurs créations si imparfaite. Premièrement, je n'écoute que ce qu'il me plait. Malgré mon apparence de bad boy, je suis plutôt naïf, et réaliste à la fois. Je suis une contradiction à moi même. Une chose si complexe. Je suis plutôt extraverti, en présence d'humain, je me gêne pas pour dire ce que je pense, ce que j'ai envie de dire, et c'est sûrement pas quelqu'un qui m'en empêchera. Si vous voulez mon avis, on s'évites pas mal d'embrouilles avec soi même en disant ce que l'on pense. Si j'ai des remords ? Pas le moins du monde, je suis content de mon parcourt, je n'en ai pas honte. Je suis une personne normale après tout. J'aime rire et faire rire mon entourage, en principe je suis toujours de bonne humeur. Bon d'accord, il est vrai que parfois je me met à grogner pour un rien, pour une frite de travers, un chien qui gêne mon chemin, ce genre de conneries, et bon, en principe ça en fait ricaner plus d'un. Si je me bas ? Oui, beaucoup, même trop... Voilà tout, j'ai mes potes à moi, mais mes premiers rapport avec les gens sont... Enflammés, oui, j'ai tendance à frapper sur les inconnu qui osent s'approcher de ma magnifique personne. J'ai des façons d'agir qui parfois surprennent les autres. Je suis pas un type dis si normal que cela. Je veux dire, il m'arrive de piquer des coups de speed comme ça, puis être adorable le coup d'après, vous l'aurez compris, je suis extrêmement bipolaire, mais je le vis plutôt bien en fin de compte. Qui serais-je sans parler de la grande question sur les.. Hybrides.. Vous savez là, ces choses ignobles avec leurs oreilles et leur queue, tellement qu'on dirait des jouets en plastique. Ces personnes qui me dégoûtent tout simplement parce qu'il ne sont pas fait par la nature elle même, vous voyez, je suis croyant, et je vois derrière cela une chose malsaine. Certes ça n'est pas vraiment de leur faute, mais peu importe, ce sera à eux de prendre les coups sans bronché. Ils sont débiles quand même ! Regardez les avec leurs bouille d'enfant et cet air si craquant. Jamais je ne me laisserais avoir par ces si... Hum, en faite, je crois que je vais me faire avoir. Pourquoi je les méprisent tant ? C'est simple. Selon moi, ce sont une race supérieur. Dans ce cas, pourquoi est-ce que je me montre aussi méchant avec eux ? Pour me mettre en situation de force. Après tout c'est vrai, ils sont à la fois humain et ont les capacités d'un animal, ils ont par conséquent l'avantage... Je trouve cela injuste. L'humain a crée son auto-destruction. Mais quel orateur serais-je si je ne parlais pas de ma musique, ah ! Quel imbécile. Alors voilà, je suis un homme très impliqué dans toutes les formes d'art, le dessin, la musique, l'écriture, tout ce genre de chose. Ça me donne ce petit côté mystérieux. Lorsque je peint, dessine, joue quelques accords, impossible de me parler, je suis emmener dans une autre dimension que j'appelle mon monde. Je plane, et c'est une seconde drogue. Si on compte le tabac comme drogue bien sûr. Peut-être qu'avec ça j'ai la côte avec les femmes. Détrompé vous, j'envoie balader les femmes. Et pour que je tombe amoureux, il va en falloir du boulot mesdames. « Bonjour, je suis fou, je vais bien. »

Ah ? Et à quoi ressembles-tu Hey, je vois vos petits yeux vicieux m'analyser ! Ça va pas ?! Ah, je suis juste un homme normal, je ne suis pas spécialement beau, je ne suis pas non plus horrible à en faire pleurer une petite fille. Bon, je vous l'accorde, j'ai un style vestimentaire qui n'est pas du goût de tout le monde, mais je vous assure ne jamais avoir effrayer un enfant. Non, j'aime trop les enfants pour cela. Mon visage ? C'est simple, il est la plupart du temps caché, bien qu'il m'arrive lors des grandes chaleurs de le retirer, histoire de ne pas suffoquer. Je vous assure que lorsque vous portez un masque l'hivers, il vous tien chaud et du coup vous êtres réellement bien ! Pour en revenir à ce qui constitue mon visage. J'ai un nez, une bouche, des oreilles, des yeux dans les teintes marrons, mais vous savez quoi, je pense ne rien vous apprendre de nouveau, c'est une chose des plus banales selon moi. Bref, des cheveux toujours en bataille, comme disait Midori : C'est la troisième guerre mondiale dans tes cheveux ! Je crois qu'à l'époque elle avait raison, et le gamin que je suis à garder ces cheveux un peu fou qui ont tendance à n'obéir à personne, pas même à la gravité. Pour en venir à mon style vestimentaire. Il est des plus simples, je vous assure. Un tee-shirt, une veste, et le travail est fait ! Ah... Mais il y a au delà des fringues, parce que oui, je garde des bandage vers le cou et les poignets. Étrange n'est-il pas ? C'est tout simplement pour cacher des cicatrice ( dont vous comprendrez l’existence si vous lisez attentivement tout mes rps, peut-être que je pondrais la raison à ce moment là ~), je n'aime pas spécialement qu'on les fixe en ce demande ce qui a bien pu m'arrivé. Le plus étrange dans tout cela, je dirais que c'est le fait que je porte un masque. C'est un style comme ça, que j'ai commencer à adopter il y a quelques années lorsque pour rire, on m'avait offert ce genre de masque à gaz, que j'ai très vite adopter ! On peu aussi parler des particularité physiques que j'ai. Eh oui, je me suis modifié, quel vilain que je suis. À vrai dire, ce n'est qu'un simple tatouage à la hanche gauche, qui remonte légèrement sur le ventre. C'est un papillon, c'est en quelque sorte pour faire ressortir ma sensibilité créative, puisque ce tatouage, c'est moi qui l'ai imaginé et dessiner de ma propre main. Maintenant arrêtez de me fixer et retournez vaquer à vos occupations ! « Bonjour, je suis un Dieu, j'le vis bien. »

Je veux une biographie, de suite. Je n'ai pas été un être pur, à ça, non. Je vais vous compter l'histoire de ce garçon que j'étais, cette furie, jeune, insouciante, qui a profiter de sa vie autant qu'il en avait envie. Tout commence un beau 22 mars où au sein d'une famille déjà constituée d'un grand garçon, Shio. Il avait à cette époque là 5 ans, et il semblait très heureux d’accueillir chez lui une nouvelle recrue. La fille, là bas au fond, dans le noir, c'est Midori, notre aînée, elle n'est pas très causante, elle n'est pas la plus belle des femmes, mais à mes yeux, elle est une personne tout ce qu'il y a de plus formidable. Un teint pâle, des yeux d'un bleu océan, un corps fin, un visage doux et rugueux à la fois, ce regard bienveillant et sévère à la fois. Une femme exceptionnelle, elle avait 12 ans, mais n'aimait pas discuter, ni même s'amusée. Non, elle préférait des choses plus ludiques, la peinture, le dessin, la musique, le piano. Ah! Le piano, Dieu qu'elle jouait bien. Pour en revenir à Shio c'était une pile électrique, toujours à me prendre par la main pour me montrer ces idées aussi farfelues soient elles. On riaient bien, et parfois Midori nous laissait entendre son rire cristallin, si pur, si doux. Une mélodie, mon modèle disons, mon idéal féminin. Elle laissait voir à qui le voulait vraiment, son sourire, si laborieux à obtenir. Je ne pense pas qu'à cet âge là, on puisse parler d'être amoureux, je ne pense pas que j'étais amoureux d'elle, juste qu'elle me paraissait parfaite, s'était ma seconde mère. En parlant de mère, tiens, voilà mes parents qui rentre tard du travail, comme d'habitude, on saute tout deux sur eux, un immense sourire aux lèvres. Maman va préparer à manger, papa quand à lui va discuter avec Midori, jouant un peu de piano que mon frère et moi, prenions plaisir à écouter sur le fauteuil non loin d'ici. On rit aux jeu de mots stupide de mon père, et finalement papa sort fumer une cigarette avec maman pendant que le repas cuit. On massacre le piano à coup de fausses notes, et Midori elle, ne trouve qu'à rire et nous encourager à faire des bêtises. En revenant, maman et papa avaient tout deux à la main un instrument de musique, papa tenait un étuis de guitare, maman quand à elle, tenait ce qui ressemblait à un violon. J'eu droit à la guitare, Shio au violon. On était pas une famille très riche, mais on avait le droit à nos petits plaisirs. On s'offrait de temps à autres des toiles pour peindre ou un tas d'autres choses encore, une vie de rêve.Certes, nous n'étions pas très riche, mais qui s'en inquiète ? On était heureux. J'ai commencer à aller à l'école, et voilà, je commençais à voir du monde, je m'amusais, je riais, je jouais, enfin bref, je travaillais un peu aussi. J'avais un meilleur ami, Milan, on jouait bien même si on se disputait parce que je jouais mieux de la guitare que lui ! Mais bon, on s'entendais bien dans l'ensemble. Une bonne primaire donc. C'est au collège que l'histoire ce corse. Milan part à l'étranger avec ses parents, et discuter avec lui c'est rare. Il commence à me manquer, mais je trouve des amis qui me permettent de l'oublier. Je rencontre des filles aussi, avec qui je ferais quelques bouts de chemin, taquiné par mon frère, et encouragé par mes parents, le belle vie. Je sortais de plus en plus, et personne ne semblait être contre ça, je sortais en boite, j'allais à des soirées. Tout le monde croyais que j'étais le timide dans le coin sur la chaise. C'est ce que j'étais au début, mais prenant bien vite l'habitude de ce genre d'ambiance, je dansais, riais, me mettais aux niveaux des autres. Lors d'une soirée bien arrosé, j'avoue avoir un peu abusé de ma copine actuelle, mais elle ne semblait pas s'en plaindre, et la vie continuait voilà tout. Et puisque toutes les bonnes choses ont une fin, elle a finit par partir avec un autre. Mes potes ont tout fait pour me remonter le moral, mais j'avais légèrement l'appétit couper depuis quelques temps. Tout le monde était au courant, mais qu'est-ce qu'ils y pouvaient au juste ? Lors d'une soirée encore, on m'a proposer de jouer un peu de la guitare, puisqu'il ne faut pas oublier que tout ce temps, j'ai jouer de toutes sortes d'instruments, j'ai peins, j'avais beaucoup de passions. J'ai former un petit groupe, j'allais de mieux en mieux. Lors de cette même soirée, un peu fatigué par le concert un ami m'a proposer de la drogue. J'ai pas fais le rapprochement, j'ai accepter parce que s'étais cool, c'était rock'n'roll mais surtout, ça faisais de bien. Au début, s'étais des doses minimes, mais bien vite on se rend compte qu'on est dépendant, et je pouvais juste plus me passer de mon joint. Bien vite, on savait que Akeli, s'était un putain de drogué mega cool. J'avais la côte, j'étais plutôt populaire même. Mes parents n'avaient rien contre cela et m'acceptais comme j'étais, même si s'était dur à croire, mon frère lui s'en foutait pas mal, il était devenu geek et il n'y avait d'importance que pour son ordinateur, ma sœur était partie depuis belle lurette. Je suis partie en live, plusieurs fois il a fallut que les flics m'arrêtent et me foute en désevrage, j'étais devenu l'Akeli que je suis maintenant, cette personne qui avoue ne pas avoir prit toujours le bon chemin, mais maintenant voilà, je suis heureux. Dans ces fêtes où j'étais totalement défoncé, un ami, plutôt proche, profitait de la situation, et je ne peux nier qu'il s'est passer des choses entre nous. Drogué, alcoolique, commet des viols, se bat, bisexuelle. Personne n'y comprenais plus rien, moi non plus d'ailleurs. Bien vite, ne comprenant plus rien à la situation, mes parents ont contacter un psychiatre. Rien de grave apparemment, il fallait juste que j'arrête la drogue parce que ça me nuis. J'ai préféré partir, vivre ici, loin de mes parents pour ne pas leurs nuire. J'ai emménager, et je pensais crever dans mon bordel, mais finalement, mes parents passaient souvent, mon frère aussi, Midori aussi, j'étais entouré, et bref, j'ai songé à passer à la cigarette et sortir de ces affaires de drogue. Au jour d'aujourd'hui, je ne me drogue plus, je fume, du tabac seulement. Dans ce cas, tout le monde se demande, en quoi est-ce que je suis un maître odieux ? J'ai de très bonne relations humaines avec tout le monde ? Ah, pas avec les hybrides. Je peux pas me voir cette sous race, ces êtres si inutiles, ces personnes bonnes à jouer les paillassons, à vrai dire, les dociles sont ceux qui me dégoûtent le plus, je pourrais parler des heures de ces sales bestioles, mais parler de ces choses ainsi n'est pas la bonne solution. Pour ne pas être seul, je pense m'entourer de leur compagnie, de m'en servir d'objet comme bon me semble et leur rappeler leur place. Enfin bref, tout ceci est à suivre si bien entendu Invité tu es intéressé par la suite de mon histoire. « Bonjour, j'ai eu une vie, et j'en suis heureux. »

Saleté ! En plus tu te caches derrière un écran.. Lâche ! Hey ! Moi je m'appelle ~ mais bon, je préfère qu'on m'appelle Pikachu o/. Comment j'ai trouver le forum ? C'est pourtant simple ! J'ai trouvé le forum par les admins. Je trouve ce forum juste génial. Je serais présent 10 / 10. Je suiiiiiis fou ! Le code est Code validé by la minouchette ~. Sorry pour la présentation baclée ~ « Ah ah ah ! Je suis Anonymus ! »