Numéro 10 - Échoué.

Bonjour Invité, te voici sur ma fiche.

Prénom Tes papiers • Nom : N'en a pas. • Prénom : Gin, ou numéro 10. • Age : 19 ans. • Orientation sexuelle : Bisexuelle, n'en sait trop rien finalement. • Race : Okami. • Comportement [Sunao/Mushoku]: Mushoku malgré lui. • Tic : Jouer avec une mèches de ses cheveux, grogner, soupirer... • Toc : Aucun connu à ce jour. • Qu'aimes-tu ? Un tas de choses. • Que détestes-tu ? Un tas de choses.

Describe your physical appearance. Grand, beau, je suis un Dieu. Ah, c'est un peu trop dire, je pense. Je ne suis pas de si grande taille que l'on pourrait le croire, cependant il est vrai que par rapport à mon âge, je suis plutôt d'une incroyable taille. Je ne citerais pas le chiffre car tout simplement je trouve que ce serait pénétré mon intimité, et ça me dérangerais fortement. Je suis aussi plutôt fin, enfin, c'est une façon de parler parce que je suis plutôt musclé. Mais attention, je ne suis pas un tank non plus, ça reste à la fois esthétique et pratique, sans que l'on me prenne pour musclor... Ce serait tout simplement très dérangeant. Je ne suis pas vraiment laid, j'ai un visage banal, un peu musclé, très masculin. Je suis une opposition à moi même puisque j'ai des traits masculins et de long cheveux... Tiens d'ailleurs, parlons en de ces très longs cheveux. S'il sont aussi longs c'est parce que je trouve ça joli. Je ne trouve pas non plus ça très féminin. Il est vrai que par habitude, un homme avec des cheveux aussi longs et doux que ceux d'une femme font tout de suite penser que : je suis un gay, un travesti. NON ! Il faut arrêter les préjuger un pue ; Blanc, ils sont de couleur blanche ces cheveux, et je ne changerais cette couleur de fabrication pour rien au monde. Ce n'est pas que j'y suis spécialement attaché, mais c'est une couleur qui me démarque un peu, c'est ma marque de fabrication si on veut ! Je trouve aussi que c'est une couleur qui me va bien, n'est-ce pas ? Passons à mes yeux maintenant... Ah, c'est important n'est-ce pas ? Ils inspire le regard, les émotions, qui l'on est quelque sorte. C'est ce que je regarde en premier pour ma part. Certains ont vraiment de beaux yeux, je suis un peu jaloux, il faut l'avouer, moi, ils sont bleu. Cependant la forme de mes yeux n'est pas comme je l'aurais désirer, et j'ai du coup l'impression que mon visage est étrange. Alors qu'il est tout à fait proportionné, c'est ce qui compte le plus après tout... Du moment que je me sens bien tout va bien ! Je pense avoir fait un peu tout le tour en ce qui concerne mon physique... Ah non ! J'oublis le plus important, du moins, l'un des sujet les plus important : le style vestimentaire. En voilà une question complexe où tout le monde y répondra différantes choses. Autant vous dire que moi, je n'ai vraiment aucun style vestimentaire. Certain dirons que je m'habille mal, d'autre que j'ai du style. Chacun son point de vu, et c'est d'ailleurs pour cela qu'il y a un tas de nombre de sorte de vêtement. Etant un vagabond, je n'ai pas beaucoup de vêtements à ma disposition, et c'est pour cela que j'enfile ce que j'ai sous la main et ne chipote pas. Si j'avais le choix ? Je n'en sais absolument pas, quelque chose qui me plairait, mais je ne saurait pas décrire ce que j'aime. Ce serait un vêtement sur lequel pour regard se poserait le premier et ne pourrait plus le quitter. Là, ce sera un vêtement que j'aime . Je vis à ce jour avec quelques tee-shirt, pas toujours très propre, mais on ne peut pas en vouloir à un vagabond qui fait de son mieux pour survivre. Ce sont bien souvent des tee-shirt un peu large, ou qui me vont pile poil, jamais trop petit, imaginez ça fait vraiment ridicule, autant rester torse nu. J'ai bien quelques jean aussi que je met ! Ça me donne alors le style de monsieur tout le monde qui se promène dans la rue. Il est vrais que si j'en avais les moyen, j'essayerais de me démarquer. Mais voilà tout, je n'aime pas voler dans les magasins, ni même fouiller dans une poubelle, alors j'étais un peu dans un gros problème ? Il m'arrivait de voler, à quel hybride rebelle cela n'est jamais arrivé ? J'aimerais bien en connaître la réponse ! Donc en principe je prenais le plus simple à voler et partait comme un voleur. Finalement, autant dire que mon visage plutôt banal et mon style vestimentaire aussi faire penser que je suis quelqu'un de banal. Mais apprenez à me connaître, et ne vous basez pas sur les apparences, apprenez à savoir qui je suis, et vous comprendrez ce que c'est d'être différant. Je suis la personne que je suis, et je pense que jamais personne ne pourra me changer. Ce que j'apprécie le plus dans mon apparence physique, ce sont bien mes cheveux. C'est réellement agréable pour moi de m'en occuper.

Praise For Mentally Speaking ! «  je ne m’auto-psychanalyserai pas , non seulement parce que je n’en ai pas l’envie, mais aussi parce que ça donnerait probablement du fil à retordre à un psychologue, alors imaginez pour moi-même. N'est-il pas compliquer de décrire quelqu'un dans ce qui concerne sa façon de pensé ? C'est un sujet beaucoup trop vaste et qui laisserais à ses écrivain qui on soif d'écrire, un long discours. Essayons de couper court alors. Pour commencer, parlons du caractère, c'est ce à quoi on pense en premier n'est-ce pas ? Alors c'est très simple... Je suis complexe. Comme la plupart du monde qui m'entoure, je suis quelqu'un d’extrêmement complexes qui cache milles et une merveilles et ébauches. Gentil aux premiers abords, ce ne sont que les premières impressions. En moi ce caches une personne plutôt sombre, que je ne montre que très peu. En effet, je préfère sourire à la vie que j'ai. Ce n'est pas tout le monde qui réussis à s'enfuir d'un laboratoire, bien qu'on dirait que ce soit vaguement à la mode, mais peu importe, là n'est pas tellement la question, puisque la caméra est posée sur moi. Je peux en effet paraître gentil, et je le suis sûrement, peu de personnes en doutes, mais il m'arrive, comme tout être humain possédant un cœur ou plutôt un esprit de me montrer méchant. Comment, mais quel injustice ! Ah, écriez-vous autant que vous le voulez, même un être gentil à ses limites. Même quelqu'un qui acceptera de penser plus au bonheur d'une personne qu'à soit même, oui, même ces personnes là peuvent se montrer égoïste. Ce monde n'est pas tout blanc, ni même tout noir. Il faut de tout pour crée un monde, et pour crée un monde, on a besoin du numéro 10, récemment appeler Gin pour on ne sait quel raison. Je n'ai jamais été tout blanc moi non plus. Si vous voulez tout savoir, je plus plus un être à blâmé qu'un être à reconnaître. J'ai fais du mal, je me suis fais mal, finalement, tout le monde à souffert dans l'histoire mais peu importe, la vie suit son court sans qu'on se demande comment va passer le futur. Je suis dans cet optique de vie, parce que j'ai la capacité de ne pense qu'à ce que j'ai envie de penser. J'entends que ce qu'il me plaît d'entendre, et raconte ce que les autres veulent bien écouter. Encore faudrait-il qu'on m'écoute. Puisque la plupart du temps, je suis seul. Parce que je suis autonome, je n'ai besoin de personne pour vivre. La solitude, c'est quelque chose de pas toujours très drôle... Je me fais des blagues à moi même et ça ressemble parfois à de la schizophrène. Allons, je suis encore jeune, il faut que je profite de cette innocence que j'ai encore, de ces jeu d'enfants, parce qu'ils ne sont pas réservés qu'aux enfants. Je suis un adulte maintenant, mais je n'ai pas eu le temps de vivre comme tout être normalement constitué, moi, j'ai été enfermé, et depuis, je déteste ça. M'approcher ? C'est simple, mais me voler ma liberté, alors ça jamais ! À moins qu'on me propose un nid douillet où bien entendu raignera une présence qui me sera douce et rassurante, peut-être qu'à ce moment là je pourrais ne plus être libre. Je souhaite juste pour le futur avoir un jour une famille à moi, qu'elle soit faite par le sang ou par le cœur, je m'en moque. Je suis quelqu'un de très sentimentale contrairement à ce que l'on daigne penser. Je refuse l'autorité, je m'explique. Depuis ma fuite, il est hors de question que l'on me donne un ordre, je suis un être humain au même titre que tout le monde, que personne ne vienne me forcer à faire quelque chose, ou même que donner quelque chose à faire d'une façon un peu trop brusque. Je me vexe facilement, mais revient rapidement à la charge. J'obtiens toujours ce que je veux, je dois avoir l'air d'un enfant gâté, c'est sûrement ce que j'aurais été si j'avais été élevé dans une bonne famille ! Je suis né comme les autres après tout. Je ne vois pas pourquoi est-ce que des oreilles et une queue ferais de moi, quelque chose de différant. Dans la vie de tout les jours, je suis plutôt quelqu'un de calme et responsable, je m'auto-gère et c'est déjà pas mal je pense. J'aime pas les prises de tête et en principe, je préfère fuir plutôt que de voir les problèmes en face. Par exemple. Une dispute éclate, qu'est-ce que je fais ? Je hausse la voix ? Non, surtout pas, ça avancerais de trop la dispute. Non non, je parle encore plus doucement. Sachez que c'est une façon de faire très fréquente qui dans le meilleur des cas calme votre interlocuteur, ou au contraire l'énerve encore plus. Dans les deux cas, je cherche une seule chose : la fuite. Je n'aime pas que l'on me blâme, que ce soit pour quelque chose que j'ai fais, ou non. C'est pourquoi j'ai souvent une approche difficile avec le monde, et ne sais jamais comment vraiment réagir. Je suis plutôt peureux du monde finalement. Je suis juste contient de ma force physique et sait que je peux me défendre à tout moment. Mais qu'en est-il de ma façon de penser, de ma fragilité intérieur , Ça, peu de personne n'y prêtent attention. Pour la simple et bonne raison que c'est quelque chose à cerné, surtout sur une personne complexe sur moi. On pourait dire que je suis pervers, mais je préfèrerais seulement dire que j'aime les bonnes choses, et par conséquent les sport de chambre... Mais dis comme ça, c'est un peu plus élégant. Parce que oui, j'aime l'élégance ! Les mots crus ne sont pas les bienvenu dans mes oreilles et je les aient, depuis longtemps banni de mon vocabulaire. Comment ça je fais mon précieux ? Non, il m'arrive vraiment de dire des choses blessantes, seulement, je n'emploies pas de mot moche. Imaginez, quelque chose de moche sortir de ma bouche, ce serait une imperfection de ma part. Une autre chose à savoir. Je suis plutôt franc, un peu trop même. J'ai tendance ainsi à blesser les autres. C'est sûrement un point de plus qui dérange mon accès à la population.» « »

Your history is mine. Des discours et encore des discours. Voilà, ils brayent leurs projet, jurant que c'est le meilleur. Une dispositif dans le but de rendre les hybrides à l'obéissance ultime, le paradi sur terre pour ces psychopathe qui aiment faire du mal à ces petites bêtes innocentes, ou encore pour monsieur tout le monde qui ne demande que de l'obéissance. Au départ, c'est un projet qui est plein d'ambition et qui dans le font ne semble pas si mauvais qu'il en a l'air. Implanté à cette obéissance ultime une intelligence hors-norme et une résistance physique plus développé et vous avez à peu près, le cadre du projet « lamenta ». C'est en réalité plus complexe que cela, mais qui s'y intéresse vraiment ? Un projet crée pour l'armé dans le but d'être de bons soldats. L'idée semblait bonne, mais est-ce qu'il savaient que certains hybrides, si l'on peu encore les appeler ainsi, allaient complètement bugués et finir dans une animalerie comme un vulgaire toutou. Donné à un enfant sage, une machine à tuer. Mettez dans les bras d'une jeune fille une bombe à retardement, le résultat sera le même. Ce n'est qu'une question de temps. Sinon, le discours tien la route, et tout le monde s'y laisse avoir. Laissez moi vous résumé cela dans un peu plus de détail. Ce projet, aussi fou soit il, frôle la perfection et si jamais, il venait à d’aboutir, la façon de vivre des hybrides seraient révolues, et ainsi, de simples objets prendraient place dans la maison de chacun, une idée vraiment alléchante, plus besoin de dressage, tout est fait à l'avance. Imaginez la simple tâche que ça laisserais à son acheteur. Il pourrait ainsi choisir dans un catalogue le type d'hybride qu'il voudrait, physiquement et mentalement, ce serait une vraie révolution. Je ne sais pas si vous êtes au courant, mais avec la médecine, il est possible de faire la même chose que les bébés. Une femme serait donc dans la capacité de choisir à quoi ressemblerait son bébé. Mais, n'est-ce pas une acte de barbarie ? Ah, bien sûr, c'est moins barbare sur les hybrides qui sont nés pour être ainsi, nous sommes tous d'accord ! Comment ce présente le n°10. L'un des premiers projets, rien ne le prédestinais à être une réussite. C'était une cellule, posé dans une boite bizarre qu'on créa dans le but du projet lamenta. On savait très bien que cette chose allait sûrement échouer, puisque ce n'était que le début, mais il servirais au moins à changer les problèmes visible sur celui-ci. C'était alors un genre d'avant cobaye, un truc sur lequel on allait faire des tests. Il était à l'époque qu'une pauvre cellule sans vraiment d'avenir, si ce n'est être analysé chaque jours, et envoyer un peu plus tard dans une animalerie dans le but d'être vendu à un bon prix, qui reviendrais à ce projet pour crée ensuite un autre projet encore plus performant que ce numéro 10 qui devrait avoir quelques bug. Ils ne savaient juste pas lesquels. Ils ont donc développé la chose dans l'espoir infime qu'il fonctionne comme le plan le voulait. Les débuts. Parce que vous croyez vraiment que le bug allait ce montrer tout ce suite ? Ahah. Bande d'impatient. Le sujet, se révélait être un pur succès dans les premières années. Ce n'est pas le genre d’espérance qui montre immédiatement des résultats conséquent. Non, laisser le loup se développé, laissez lui comprendre la situation, et peut-être, je dis bien peut-être qu'un jour, vous remarquerez des bugs, mais, tout ceci est une autre histoire qui ne vous concerne pas à ce stade de lecture. C'était un petit louveteau qui marchait déjà debout depuis sa plus petite forme, des choses intéressantes, mais toujours rien pour prouver que le projet lamenta était un succès, surtout que ce n'était que l'un des premiers qui montraient de bons fonctionnement. Les autres avaient le don de montrer quelques problèmes, comme des fuites qui n'arrangèrent pas notre cher et tendre créateur. Les bénéfices vous laissez tomber. De toute façon, il paraît qu'on est payer par l'armée, mais à ce stade de vie, je ne commençais qu'à m'en rendre compte. C'est ça, l'intelligence artificielle. On m’apprenait à parler, à marcher, à me conduire correctement, comme tout bon enfant aurait eu le droit de savoir. Sauf que j'étais en avance, trop en avance, et c'était bien trop beau pour être vrai pour ces satanés scientifique. Je commençais à penser, et avoir un réel mental. On raconte même qu'en bon robot j'ai une bonne mémoire, la mémoire ultime comme la plupart des sujets qui me suivront auront le droit d'avoir. La suite. Rien de grave apparemment, je me suis devellopé comme il le fallait et tout le monde est heureux, ils sont allées fêter ça tous ensemble. Des sourires, je crois que c'est la première fois que je vois ça, non en faite, ça n'est pas la première fois, mais ça n'était pas des sourires qui étaient comme ça, à vrai dire, c'était des sourires étranges qui ne m'inspiraient pas confiance. Le genre de sourire qu'ils me faisaient quand il fallait faire une prise de sang. Je me laissais faire sans broncher, puisqu'après tout s'était mon rôle et que j'avais la capacité de résister à ce genre de petite douleurs, ça ne me procurait qu'un petit chatouillement. Je n'étais pas assez idiot pour couiné, pour montrer un quelconque signe de douleur, ou de comment dire... D'humanité. Dans ma cellule, j'entendais rien, je voyais juste des gens d’agités, je savais pas vraiment ce que s'était, mais j'en avais entendu parler entre les soigneurs. « Alors, c'est pour quand ce petit ? » « Pour bientôt, je suis content ! » C'était ça donc, être content ? Grâce à ma mémoire et ma logique naturelle, j'avais bien entendu compris ce que cela voulait dire, j'avais compris que ce soigneur allait avoir un enfant, il était content, et c'est sûrement pour ça qu'il était aussi attentionné avec moi. On avait pourtant demander à ce qu'ils soient neutre, mais l'humanité est tel qu'il y a toujours d'arrières sentiments, même refoulés. J'avais bien vite compris que j'étais la cause de tant d'agitation, je ne faisais pas grand chose à faire dire. Je suivais ce que l'on me disais de faire, et le reste du temps, je dormais pour ne pas me faire réprimander, pourtant, on m'en voulait d'être trop fainéant. Qu'est-ce qu'il voulait de plus ? Je faisais tout ce qu'ils voulaient, je n'avais pas besoin de prendre des initiatives non plus ? Je faisais de mon mieux, puisque c'est ainsi que j'avais été crée. Je ne devais pas réfléchir, juste être la machine qu'ils voulaient que je soit, et ça aussi, je l'avais bien rapidement compris. En soit, ce n'est pas quelque chose qui me dérangeais parce que j'avais compris à quoi je servais et à quoi je servirais toute ma vie. Journal de bord d'Akira Korun. Ce ne sont à ce jour, que des marques de cet humain qui devait avoir un enfant d'ici peu, il s'occupait de moi, j'avais de la chance, s'était le meilleur soigneur qui pouvait m'être donné. Il n'avait pourtant aucune notion d'organisation et son journal n'était ni daté, ni même très profond. Cependant, cela suffisait à son supérieur et il arrivait à s'y retrouvé, allons bon... Le n°10 s'avère être à ce jour, une grande réussite, peut-être la première et j'espère, pas la dernière. Il obéit et fait exactement ce qu'on lui demande de faire. Il ne fait pas de choses inutiles et faire seulement ce dont on a besoin. Il est certain qu'il ne prendra pas d'initiatives qu'elles soient bonnes ou mauvaises, mais ça permettra au moins de ne pas causer de problèmes. Pauvre fou, je ne sais s'il pensait ce qu'il disait. Mais j'allais être mis à l'armée et il était important donc pour moi de me battre, bien vite, on m'avait apprit l'art du combat, mais jamais, au grand jamais on ne m'avait mit au contact d'autres « hybrides», seulement en présence d'humains qui devaient se montrés le plus neutre possible. Enfin on appelle ça neutre, mais je crois que dans l'équipe qui devait s'occuper de mon fonctionnement, il n'y avait que des imbéciles. Je veux dire, lui là, l'imbécile heureux qui essaye de me faire sourire. Cette connasse en plastique qui essaye de me faire des avances, ce patron complètement taré qui n'hésite pas à me frapper, tellement que je dois prendre les coups sans bronché. Quel équipe de malade! Il a une bonne capacité physique, vraiment, il sait maintenant à peu près ce battre, c'est une brâve bête qui comprends rapidement ce qu'on lui envoie, il enregistre et nu besoin de le répété ! Je suppose qu'il a une bonne mémoire aussi, ça n'était pas prévu, mais il s'avère être un petit plus, peut-être que le n°10 sera remplit encore de bonnes surprises. Il était définitivement idiot, je crois qu'il était vraiment, mais alors complètement idiot. Je veux dire, un scientifique n'est pas censé être neutre, pourquoi donc mettre soin point de vu dans son journal de bord, croyez-vous que c'est à cause de sa future fille ? Je n'en sais trop rien, mais je crains qu'il ne se fasse rapidement renvoyé pour non respect des règles données. Mais ça, ce n'est pas mon problème. Une bonne mémoire, une bonne réflexion, une bonne capacité physique. C'est sûr, le numéro 10 est une réussite. Je ne peux m'avancer un peu plus car il n'en ai qu'à la moitié de son évolution, en effet il n'a à ce jour que 10 ans, et il m'est impossible de savoir s'il est défaillant ou non, dans tout les cas, il suit le bon cours. Ça n'était qu'une question de temps, il se rendrait bien vite compte de la bêtise qu'il a débiter et ce remettrais sur le droit chemin, j'avais du charme, j'étais vraiment une bonne expérience, mais il ne fallait pas pousser le bouchon trop loin. Le docteur Akira fut, après n'avoir laisser que quelques rapports, renvoyer du projet lamenta. Il aurait à ce que j'ai crus entendre, attendris les bêtes et auraient rendues cette histoire plus compliqué qu'elle ne l'était à la base. Enfin quelqu'un de raisonnable qui se rendait compte de la bêtise humaine. Journal de bord de Megumi Hatsu. Voilà quelqu'un qui se trouvait être plus organisée, mais le fait que ce soit une femme qui s'occupe de moi, ne m'inspirait pas tellement confiance. En faite, ce n'est pas du point de vu qu'elle aurait pu succombé à mes charmes qui disons le, n'est pas moindre. Puisque j'ai crus comprendre qu'elle aimait plutôt les femmes. Mais c'est seulement qu'elle ne semblait pas bien futfut' et je ne sais si c'était l'emploie qui lui convenait le plus. Le 2 juillet 2043 - Le sujet numéro 10 c'est bien déroulé jusqu'à présent, que ce soit d'un point de vu physique comme mental. Il s'est plutôt stabilisé malgré le faire qu'il soit vieux d'une douzaine d'années. Il ne présente aujourd'hui, aucun bug visible. Le 2 août 2043 – Aucun trouble visible non plus, seulement une aptitude plus développée au combat et on émet l'hypothèse que l'expérience numéro 10 ait une défaillance au niveau de l'audition, c'est une erreur qui devrait être rectifiée d'ici peu. Le 1 janvier 2044 – Tout fonctionne correctement, la défaillance à été depuis peu corriger et l'obéissance du sujet n'a jamais été aussi bonne. L'hypothèse fut donc validée et aucun problème n'est visible à ce jour. J'étais considéré à ce jour comme un lamenta qui avait correctement fonctionné, ce qu'ils ne savaient pas, ce que je me foutais de leurs gueule, mais alors complètement. J'étais un bug, oui, un énorme bug. Pourquoi ? J’obéissais simplement dans le but qu'ils croyent tous que j'étais un hybride qui fonctionnais correctement, et ainsi, je pourrais être envoyer à l'armée et m'enfuir gentiment sans qu'on ne vienne me déranger. Le 5 juin 2044 – Numéro 10 semble développée une passion cachée pour le camouflage. Il cherche à se cacher de ses soigneurs et semble montrer quelques signes de désobéissance. Le 18 novembre 2045 – Cette fois c'est sûr, le numéro 10 est défaillant, il n'obéit plus et se montre insupportable avec ceux qui l'observent. Il ne montre aucun signe de bonne volonté et grogne aux moindres mots de ses soigneurs. Le 5 mai 2046 – Le sujet numéro 10 sera envoyer d'ici quelques jours dans une animalerie, à cause de bug, que nous n'avons pu résoudre, même par la force. En effet, il n'avaient pas compris cette bande d'idiots que s'ils créaient des réadutres plus puissantes qu'eux, ils devraient donc logiquement avoir le dessus, quel bande d'idiots. La connerie humaine je vous dis. Ils voulaient m'envoyer dans une animalerie ? Au diable les petites filles qui joueraient avec mes somptueux cheveux, je voulais être libre ! J'allais organisé mon évasion. La fugue. C'était un soir, un soir comme les autres pour tout dire. Les soigneurs étaient parties chez eux rejoindre leurs belles familles. Une famille ? Moi aussi j'en avais une, mais on ne voulais pas me la faire rencontré. Oui, tout ces sujets lamenta étaient mes frère et sœurs, je n'y pouvais rien, s'était ainsi et je voudrais les chérir comme jamais personne ne l'a fait ; Parce que je savais que nous n'étions pas complètement des objets, je sais que je ne suis pas la personne la mieux placée pour cela, peu importe. Je ne voulais pas qu'il vivent le même enfer que moi, je disparaîtrais, et je savais très bien que le projet allait avoir lui aussi un bug, depuis déjà quelque temps, le directeur du projet trimait pour que l'argent de l'armée lui revienne, bien qu'il arrive à chaque fois à les faire revenir, il y arriverais un moment, où il ne serait plus possible de financer le projet. Je savais que ça allait buguer, et je serais alors en capacité de délivrer mes frères de leur cage dans les animaleries, puisque logiquement ils seront tous ensembles. Bref, je savais comment j'allais faire mon compte. J'allais disparaître en cette nuit, j'allais charmer les gardes. Quoi ? Tout les coups sont permis ! J'étais donc partis de ma place habituel. Comme le budget était élevé à l'époque, ma cellule était plutôt grande. J'avais simuler une crise, je crachais du sang à terre, du sang que je m'étais efforcé de faire couler moi même. Coup de théâtre n'est-ce pas ? Je suis un bon comédien, après tout, je m'étais gardé depuis des années. Le soldat qui gardait ma porte à accourut, heureusement, comme je savais très bien me débrouillé niveau combat, merci mon créateur, j'ai mis à terre ce jeune homme et me suis enfuis. Les système d'alarme, je vous dis pas le bazar ! Peut-être que j'aurais dû tenir le coup, mais voilà, j'avais trop envie de partir et de sentir l'air libre. Je courais dans les couloirs et tout les soldats s'étaient mit ensemble dans l'espoir de l’attrapé. Sauf que voilà, un loup, c'est agile, et je les aient bien vite évité, ou bien jetés contre un mur. Ma fugue était une réussite, qu'est-ce que j'allais bien pouvoir faire, maintenant que j'étais libre ? J'étais sortie du grand laboratoire, heureusement que ma mémoire me permettais de savoir exactement lequel chemin prendre. Un jour, un scientifique avait fait tomber un plan, une fraction de seconde avait permis à mon esprit de connaître tout les recoins. J'étais donc sortis et m'étais réfugier derrière un arbre, où étant donné qu'il faisait nuit, personne ne me trouva. Personne ? Non, ce ne fut pas de tout repos, ma longue chevelure avait interpeller l'un des plus malin et la course poursuite se refit de plus belle. Ils avaient même appelés les hélicoptères, j'étais plutôt fier. Ils ne pouvaient pas se permettre de me perdre, j'étais une bonne source d'argent, vous rendez-vous compte ? Je m'étais réfugier dans une maison pour la nuit, et avait trouver logement sous le lit d'un enfant. Le lendemain matin, me retrouvant endormis sous son duvet, il caressa ma tête. Je n'avais à l'époque que 16 ans. Il avait un large sourire et s'écriait dans toute la maison. « Maman, papa ! Y a un monsieur endormis dans mon lit ! » J'ouvris les yeux, cela faisait longtemps que je n'avais pas dormis aussi bien, dans un lit confortable, dans une maison qui m'avait l'air tout à fait agréable. Lorsque les parents accoururent, eux aussi, ils avaient un tendre sourire. On aurait dit que j'étais un genre de miracle, mais s'était bien trop étrange pour que je le sois vraiment. Le garçon me caressait toujours les cheveux, pendant que je somnolais encore à moitié. « Dis, dis, dis ! Tu t'appelles comment ? » « Numéro 10. » Ce fut la seule réponse que je pu donné à ce brave petit, il fit une moue un peu boudeuse, et peu sûr d'elle. Il alla dans ce qui semblait s’appeler cuisine en compagnie de ses parents, ils me tenait par la main et avait toujours cette joie de vivre dans son regard, qui m'avait impressionné, au laboratoire, c'était pas vraiment comme ça, mais flûte ! Je n'étais plus dans ce foutu laboratoire, qu'on me foute la paix ! Ils y mangèrent quelques céréales et un peu de lait, pendant que le petit, continuais de jouer avec mes oreilles, un large sourire. Je ne comprenais pas vraiment comment ils pouvaient être rassurés, alors qu'ils avaient un autre être vivant dans cette maison, ils ne savaient ni si j'étais dangereux, ni si j'étais un sale lépreux qui leur donnerais diverses maladies. C'est la premières fois je crois, de puis longtemps que je me sentis aimé, et que je compris le mot «famille». Je décida de rester longuement ici, parce que je m'y sentais chez moi, et que rien ne me forçais à partir. Ils m'aimaient tous, et je m'étais même surpris à sourire, et jouer, m'amuser, être un adolescent comme les autres. On s'était bien entendu avec ce petit garçon, on dormait ensemble même. Les parents trouvaient ça mignon, moi, je trouvais ça moins mignon quand je surprenais cette petite chose du haut de ses 14 ans, me voler de tendre baisers. Bien vite ce fut quelque chose qui remonta jusqu'aux parents et, ne supportant pas la situation, me chassèrent de chez eux. J'avais eu la belle vie, j'étais tomber amoureux, et me voilà au point de départ. Il paraît qu'au labo' ils ont une nouvelle réussite, pauvre d'elle, elle doit être encore plus surveillée que je ne l'ai été. Finalement, ils ont stoppés les recherches à mon égard, et je suis enfin libre. Mais comme dis le dicton : Tu es libre de penser être con, mais penser être libre, c'est être con. Parce que bien vite, une animalerie m'avait coursée, voyant le paquet de fric que je vallais, mais bien vite ils ont abandonnés. La reconstruction. Ça n'a pas été tout les jours facile, non à vrai dire ça ne l'étais pas du tout. Je n'avais aucune notion du monde extérieur, puisque j'étais rester tranquillement à la maison en attendant la venu de mon maître bien aimé. Alors j'ai rejoins des clans d'hybrides rebelles, mais finalement, ça ne me semblait pas très intéressant, alors je continuais ma vie, seul. J'ai commencer par vendre de la drogue, et en consommé. Jusqu'à ce que je me rende comte de l'énorme bêtise des scientifiques. Ils ne le savaient peut-être pas encore, mais en moi régnais une défaillance depuis le début, qui à force de grandir c'est montrer au grand jour. En effet, je souffre de troubles psychologiques. Je ne peux pas me rendre chez un psychologue, alors je le fais moi même. Je ne sais pas exactement de quoi est faite cette maladie, je pense seulement que ça vient de la drogue, cette destructrice. Elle m'avait fait tellement de bien et de mal à la fois. C'est un peu relatif à ce que j'avais ressentis, quand j'étais avec ce garçon. Je me sentais bien, et mal à la fois. Comment j'ai découvert que j'étais fou ? Dans ses longues nuits à hurler de douleur, alors que rien ne me touchais, ses incroyable journée où je voyais des ombres inexistantes, j'étais seul, je ne sais si j'étais vraiment fou, dans tout les cas, je n'étais pas normal, je crois que j'ai vraiment peur d'être seul, je ne saurais jamais pourquoi, mais peut-être que ma vie devait se passer dans une gentille famille, qui sait... Non, je ne voulais pas être adopté, je ferais ce que je veux, je veux être libre, libre et con certes, mais libre quand même. Je préfère qu'on me course, je préfère passer une sale vie, passer le restant de mes jours dans la rue. Je ne veux plus connaître ça. Pour me remettre de ce qui m'avait le plus déchirer, je laissais mon argent durement gagné, dans des femmes qui voulaient bien offrir leurs corps au mien, mais finalement, je n'y trouvais presque aucun plaisir, peut-être que les hommes me convenaient mieux, j'ai alors essayer avec des hommes, mais le même effet fut produit, cette impression de drogue finalement. J'éprouvais au moment précis, un moment intense, mais ça ne m’apportais rien, et le fais de me retrouvé seul le lendemain me déchirais, c'est ainsi, que je continue ma vie à ce jour. [/i] « »

Merci Esme' ! ♥
Fiche terminée ~