Bienvenue Invité,dans un monde régi par le mépris.
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| | | Retour à la maison avec Yûlàïe |  |
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Jiro Rakurai
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|  Sujet: Retour à la maison avec Yûlàïe  Mer 4 Avr - 19:34 | |
| Alalah, qu’est ce que les hybrides pouvaient être compliqués ! Comment voulez vous comprendre des créatures aussi étrange mais pourtant si mignonne. Comme celle qui se trouvait actuellement devant Jiro. C’était la néko qu’il venait d’adopter car il se faisait un peu chier tout seul dans son coin de la mer. De plus, en achetant sa maison, il avait veillé à être seul, mais maintenant, il le regrette un peu. Mais peut être que maintenant, la jeune Yûlàïe allait égayer les journées à venir. Pour le moment, c’était bien parti pour. La femme et l’homme avait l’air de drôlement bien s’entendre et seulement au bout de 10 minutes. Imaginez donc après 10 heures, la relation intéressante et drôle qu’ils allaient avoir. De toute façon, il ne risquait rien avec elle ! Effectivement, on avait l’impression qu’elle était capable de se défendre toute seule, mais, c’était une femme ! Elle avait besoin d’avoir un homme fort non loin d’elle pour être protégée. Et c’était un peu le rôle de Jiro à partir d’aujourd’hui en fait.
Après les paroles de celui-ci, elle se mit à éclater de rire, attirant pas mal l’attention des gens autour. Par simple reflex, il remit sa capuche en place pour ne pas que les autres remarquent son visage. En réalité, il était un peu gêné. Il n’aimait pas subir le regard des autres sur lui malgré que se voir en compagnie d’une fille était plaisant. Il allait certainement passer pour quelqu’un faisant rire sa copine. Mais peu importe, elle se calma un peu et se mit à lui répondre avec un sourire des plus charmeurs. D’après les mots de Yu’, elle désirait rester à Jiro, pas parce qu’elle le voulait mais parce qu’elle n’était pas douée pour fuir. Certes, qu’il en soit ainsi, de toute façon elle aurait une meilleure vie en vivant sous le toit du jeune maître. Il ne réagit pas toute de suite mais il lâcha un simple sourire suivit un signe de tête. Elle faisait le bon choix en laissant Jiro la prendre sous son aile, elle allait pouvoir dormir, manger, se laver, jouer et vivre une belle vie. En effet, notre jeune maître gagnait plutôt bien sa vie parce qu’il était patron de deux boutiques et que même en ne glandant rien, il avait un très bon salaire. Et oui, comment croyez-vous qu’il avait payé sa maison ?
Alors qu’il était légèrement pensif sur ce qu’il se passait, Yu’ revint à lui en lui signalant qu’il avait l’air un peu perdu. Il était vrai qu’il était resté immobile un bon moment. Il lâcha un sourire et reprit la route en compagnie de sa fidèle « amie ». Pour répondre à sa dernière phrase, il dit :
« Oui excuse moi Yu’, j’étais un peu perdu ! Reprenons donc la route !»
Les deux s’exécutèrent donc sans un mot. La jeune femme avait l’air un peu pensive en ayant remarqué la direction dans laquelle Jiro se dirigeait. C’est sur que l’endroit faisait rêver. La mer était l’un des endroits les plus beaux du monde après tout. Surtout quand le soleil se couche. Yu’ allait pouvoir observer une chose qu’elle n’avait encore jamais vue. Il était d’ailleurs content de savoir que c’était avec lui qu’elle allait partager un moment comme celui-ci. Un sourire se dessina sur ses lèvres quand la jeune femme lui posa une question, elle voulait savoir comment était la mer. Il était normal de vouloir des informations après tout. Mais, n’était-il pas mieux qu’elle découvre par elle-même ? Si, il était mieux qu’elle ne sache rien pour le moment ! Puis, une main entra en contact avec son bras, d’ailleurs, au final, c’est un bras qui enroula le sien. Et ce n’était que le bras de Yu’ qui avait l’air de se sentir à l’aise avec Jiro. Il se mit à rire à son tour et déposa une de ses mains sur la tête de la néko en secouant légèrement c’est cheveux avant de dire :
« Tu découvriras par toi-même, nous y sommes bientôt de toute façon ! Je ne sais pas si tu vas aimer nager comme tu es une hybride avec des gènes de chat mais, tu pourras essayer ! »
Bien sur, quand il disait ça, il pensait aussi qu’avant d’aller faire mumuse dans l’eau, elle allait devoir se préparer et se changer. Le repos restait le plus important. Mais trêve de bavardage, après environ dix minutes de marche à parler, ils arrivèrent non loin de la plage et à partir de la, Jiro avait l’idée de cacher les yeux de Yûlàïe pour lui faire la surprise de la plage plus tard. Il lui lâcha un petit sourire puis lui dit :
« Désolé innocente petite néko mais je vais te cacher les yeux pour ne pas que tu vois encore la plage et l’océan. Tu le découvriras plus tard, tout d’abord, tu as des choses plus importantes à faire ! »
Sans attendre, il déposa sa main sur les yeux de Yu’ pour lui cacher la vue, il se mit à rire mais continua à avancer avec la jeune femme à ses côtés. Ensuite, il se baissa un peu et attrapa les jambes de celle-ci et la porta, un peu comme lorsqu’il avait sorti de sa cage la néko. Il avait la même position, celle de la mariée dans les bras de son mari. Mais ce n’est qu’une image, bien sur ! En fait, il se mit à la porter à cause du sable, en effet, ils arrivèrent maintenant sur le sol ensablé. Et Jiro voulait aussi qu’elle ignore la sensation du sable sous les pieds bien qu’elle pouvait entendre les bruits de pas du maître. Puis, il arriva enfin devant sa porte, le bruit autour berçait la jeune femme qui était encore dans ses bras. Pour finir, il ouvrit la porte grâce à sa clef, il poussa celle-ci puis rentra un l’intérieur en la fermant bien derrière lui avec son pied. Ensuite, il déposa délicatement Yu’ sur le sol après avoir retiré sa main. Quand celle-ci pu enfin voir, il lui lâcha un petit sourire puis lui dit :
« Nous voila dans ta nouvelle demeure demoiselle ! Fais comme chez toi ! »
Sur ces mots, il enleva sa capuche encore présente et se dirigea vers sa cuisine. C’était un peu un appât pour la néko qui allait certainement le suivre ne sachant pas ou aller. Une fois dans sa cuisine, il prit les restes de ce matin étant encore sur la table et les déposa dans le frigo. D’un seul coup, il leva ses bras en l’air, s’étira et se mit à bailler, étant toujours en face de réfrigérateur. Dans la cuisine, on pouvait y voir un comptoir avec plusieurs types de boissons derrière, une machine à faire le café, à faire la bière. En face du comptoir se trouvait la table qui était pour 4 personnes, des assiettes propres sur celle-ci et des serviettes. De chaque côté de la pièce on pouvait voir des poutres en bois qui maintenait le plafond, cela donnait un style. Le sol était aussi en bois ainsi que le comptoir. Sur l'un des murs se trouvait une grande fenêtre blanche, on pouvait y voir le sable et le soleil à travers.
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| | | | Yûlàïe Mizuki
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| | Sujet: Re: Retour à la maison avec Yûlàïe Jeu 5 Avr - 0:18 | |
| Thème d'inspiration.
J'ai mal & Plaisirs charnel & Carpe Diem de Keen' V Sourire tendre se dessina sur mes lèvres quand il se remit en marche en s'excusant doucement. Je me remis en marche en même temps. Je me dis que cela serait peut être super de vivre avec lui et que ma vie en elle même ne serait pas trop mauvaise avec cet humain. C'est le sourire encore présent sur mes lèvres que je réfléchissais avec ardeur sur l'endroit où on se rendait. Cette étendue d'eau appelée « Mer » ou « Océan ». Je ne savais pas comment l'appeler dans ce cas présent. M'accrochant sans gêne presque autour du bras de mon maître. Je ne savais pas quoi faire d'autre. Mais j'avais agit d'instinct en faisant ça. Posant alors la question sur l'océan ouvertement une réponse simple arrivant à mes oreilles félines. Ébouriffant mes cheveux par cette main qui venait de se poser entre ces mêmes oreilles. Me faisant faire une moue, non pas que ce geste me dérangeait mais cela faisait assez longtemps que l'on ne s'était pas soucier de moi comme il le faisait à cet instant. « Tu découvriras par toi-même, nous y sommes bientôt de toute façon ! Je ne sais pas si tu vas aimer nager comme tu es une hybride avec des gènes de chat mais, tu pourras essayer ! » Je me gratte l'arrière de la tête avec ma main libre en faisant un sourire gêné. Je ne savais pas vraiment de quoi il me parlait et je ne voulais pas lui dire ouvertement que je n'avais jamais mis les pieds dans l'eau autre que mon bain et ma douche. Je n'ai rien contre l'eau, j'aime bien quand même mais pas trop. Je n'aime pas avoir de l'eau dans les yeux et les oreilles sinon, je m'en fous du reste. Je suis vraiment impatiente de découvrir cet endroit magique. Mettant ma main sur mon ventre me disant en même temps que bientôt je pourrais bientôt enlever ce que fichu kimono trop sale maintenant. J'apprécie ce vêtement et je demanderai à Jiro si je peux le garder. Je dois suivre ces règles quand même. Il m'a gentiment acheté, fait peur à un gosse, juste pour m'avoir moi, alors, je devais le respecter. « Désolé innocente petite néko mais je vais te cacher les yeux pour ne pas que tu vois encore la plage et l’océan. Tu le découvriras plus tard, tout d’abord, tu as des choses plus importantes à faire ! » J'allais rire à son début de phrase mais sa main me fit sursauter, mais comme il m'avait prévenu, je ne fis rien que rire un peu plus. Sachant que la situation était un peu saugrenue, je continue à marcher en le suivant, restant accrochée à lui , pour ne pas chuter ni trébucher et ne pas me perdre dans ces rues trop vastes pour moi. Je le sentis se baisser un peu et un bras passa en dessous de mes genoux et il me souleva sans peine, me faisant pousser un petit cri de surprise. J'avais lâcher son bras et je les passait doucement autour de son cou pour être vraiment sur de ne pas tomber. Pas que je ne lui faisais pas confiance, c'est juste que cela faisait bizarre quand on ne voyait pas ce que l'autre faisait. Je me demandais pourquoi mon maître avait fait ça, mais cela m'importait peu à présent. J'écoute le son qui arrive à mes oreilles les agitant doucement comme pour savoir d'où vient le bruit environnant. De quel côté, il arrivait à mes oreilles, j'étais impatiente et je voulais voir ce paysage. Bougeant un peu dans les bras de mon maître en grommelant dans son cou.
J'entends une porte qui s'ouvre, un pas, pour une porte qui se referme avec un peu de violence. Je suis sur que nous sommes arrivés, la vue me revint soudainement, me faisant cligner des yeux plusieurs fois pour m'habituer à la lumière ambiante. Mes yeux vairons se posant sur mon maître quand celui me pose au sol. Nouveau grommellement se fit entendre par ma jolie gorge, j'étais plutôt bien mise. Mais bon, tout bonne chose a une fin malheureusement. « Nous voila dans ta nouvelle demeure demoiselle ! Fais comme chez toi ! » Tournant sur moi même pour fixer ma nouvelle pièce, C'est grand, très grand. Je ne suis plus vraiment habituée d'avoir autant d'espace autour de moi que cela m'étourdit. Je pose une main sur mes yeux si différent, soupirant doucement. Je déplace ma main pour la mettre sur mon front, suivant du regard, mon maître qui s'en allait dans une autre pièce. Je ne me sentais pas bien dans cette grande pièce, je n'ai vraiment plus l'habitude d'avoir de la place. Je le suivis donc en trottinant. Entrant dans la pièce qui était visiblement la cuisine. Une pièce tout aussi grande que la précédente. Fixant encore une fois, cet humain qui semblait si ouvert avec moi, ranger dans le frigidaire des restes. De petit déjeuné surement. C'est en silence que je me défais de ma lourde arme, la posant sur la petite table de cuisine. Soupirant d'aise sous la libération, même ça, je n'avais plus l'habitude, mais je ne montre pas que j'avais du mal à marcher avec elle. Je ne sais même pas quoi faire dans cette grande maison qui est la mienne aussi, maintenant. Un bâillement vint à mes oreilles les faisant s'agiter. Penchant par la même occasion la tête vers la gauche. D'un pas souple et félin, je m'approche près de mon maître avant de me faufiler entre lui et la porte ouverte du réfrigérateur, basculant le haut de mon corps vers l'avant. L'odeur de nourriture était montée à mon nez si sensible et comme j'étais affamée et je n'avais qu'une sucrerie dans le ventre, cela se comprenait.
Réalisant ce que je viens de faire, je me redresse de façon mécanique et je tourne la tête vers mon maître encore présent derrière moi et qui ne semblait pas avoir envie de bouger, aller savoir pourquoi. Un sourire se dessinant encore une fois sur mes lèvres fines. Puis-je prendre quelque chose dans votre garde manger? J'ai quand même poser la question, ne sait on jamais. Même si la phrase qu'il avait dit avant était plus que clair: Fais comme chez toi. Mais je préférais lui demander. Aucune réponse, ce maître semblait être souvent dans les nuages et ne devait pas avoir souvent les pieds sur Terre. Il semblait encore une fois de plus déconnecté du monde qui l'entourait. Une main qui passe devant ces yeux, j'arque un sourcil, pas de réponse possible. J'hausse alors les épaules et je repose mon attention sur le frigidaire, plein. Attrapant un reste de saumon fumé et de pommes de terre froide. Me relevant trop vite et trop violemment surement , je le percute, l'arrière de ma tête rencontrant avec violence son torse. Je grimace sous la douleur, je ne renverse pas l'assiette et la pose sur le plan le plus proche. Je fixe mon maître qui visiblement à le souffle coupé.
Je me sens coupable, et une teinte rouge de honte s'empare de mes joues. Je m'approche de lui et je retiens ma respiration. Je suis vraiment mal à l'aise de lui avoir fais si mal en étant trop contente de pouvoir manger quelque chose que j'appréciais. Je m'excuse, Jiro. Je suis toujours un peu brusque dans mes gestes, je suis vraiment désolée. La teinte rouge présente encore et toujours sur mes joues, ne semblait pas vouloir partir. Une faible réponse vint à mes oreilles et je pus enfin respirer. Contente qu'il n'ai rien de ma faute. Il aurait surement un gros hématome dans quelques heures ou bien demain. Même si j'avais eu une réponse positive, je reste quand même proche de lui. Encore trop inquiète pour me reculer et le laisser respirer. Je suis comme ça quand on prend soin de moi, j'offre toute mon attention et je prends soin en retour. [Ta réponse est parfaite, la preuve deux page word en me freinant  ] | |
| | | | Jiro Rakurai
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| | Sujet: Re: Retour à la maison avec Yûlàïe Jeu 5 Avr - 19:07 | |
| Les deux individus se retrouvaient enfin chez Jiro, ils avaient l’air calme et détendu. Et en plus de ça, ils étaient plus proches que jamais. La douce Yûlàïe était calée dans les bras de l’homme armé. Apparemment, cela ne la gênait pas, sinon elle l’aurait signalée, preuve qu’elle aimait bien la situation actuelle. En plus, elle n’était pas très lourde, du moins, pour le moment ! En effet, ses bras n’avaient pas l’air de souffrir tant que ça, c’était donc simple de l’amener jusqu'à la maison. Après l’avoir déposée et lui avoir dit qu’elle pouvait faire comme chez elle, Yu’ avait l’air un peu désorientée, un peu comme quand on se réveil dans un endroit que l’on ne connait pas. C’était exactement la situation en ce moment même. Mais bon, elle allait s’habituer rapidement au domicile de Jiro, surtout si elle possédait le confort nécessaire. Sans y prêter attention plus longtemps, il se dirigea vers la cuisine pour ranger un peu le bordel qu’il avait mit ce matin. Oui, le bordel, alors qu’il était tout seul chez lui. Il avait du mal à rester propre, il laisse traîner des caleçons dans sa chambre par exemple. Au moins, maintenant qu’il avait adopté une hybride, il allait pouvoir jouer de ses nouveaux droits et de demander à celle-ci de faire le ménage. Ben oui, elle est censée être une esclave, même si ce n’était pas la vision de Jiro. D’après lui, les êtres comme elle pouvaient être supérieursà la race humaine, mais que voulez-vous, pour le moment, les humains pensent être supérieurs. Derrière lui, des pas raisonnèrent, ceux de Yu’ qui courait derrière l’homme. Peut être qu’elle ne voulait pas être loin de lui dans cette grande maison.
Pendant ce temps, Jiro était devant le frigo, celui-ci était ouvert et il regardait à l’intérieur. Il y avait plusieurs menus, comme du saumon, des pâtes, des sandwichs frais et d’autres. Dans seul coup, une tête apparut devant son torse, celle de Yûlàïe qui venait fouiner à son tour devant la porte du frigidaire. Elle avait l’air de s’intéresser aux plats à l’intérieur, en fait, on aurait dit une vitrine. Puis d’un seul coup, c’est une sorte de flash qui parvenu à l’esprit de Jiro. Il avait une impression de déjà vu, mais pas n’importe laquelle. Une scène comme celle-ci c’était déjà passée auparavant. Il était totalement immobile, comme s’il était bloqué, comme s’il n’était plus maître de ses mouvements.
------ Flashback------
C’était un jour basique, Jiro sortait des cours avec des camarades de classe dont une fille. Vous savez, notre jeune ami possède un comportement plutôt étrange et celui-ci lui s'attirait souvent les foudres des autres. Exactement comme ce jour la. Il devait avoir 16 ans à cette époque et un groupe de jeunes avait réussi à coincer Jiro et ses potes dans un coin de la ville un peu isolé. Il ne s’y attendait pas du tout et c’est cinq adversaires qui s’étaient pointé pour foutre la merde. Notre jeune blond était avec deux garçons et une fille et les autres en face ? Et bah, cinq gars. Si Jiro devait se battre, il n’allait pas en sortir indemne sauf si ils étaient vraiment foireux. Puis, les hommes lancèrent :
« Bah alors Jiro, on traîne après les cours ? Tu te souviens de la dernière fois ? »
« Quand j’ai ridiculisé ton pote ? Ah oui, je m’en souviens, c’était amusant de voir ton esclave partir en courant ! »
Deux secondes après, trois des hommes s’élancèrent vers eux. Le combat débutait, malheureusement, l’un des potes à Jiro n’était pas fait pour se battre, il était taillé comme une fillette et n’aimait pas trop les bagarres, mais s’il devait le faire, il le faisait. Sauf que, il n’avait aucune aptitude particulière en combat. Et il se fit étaler très rapidement comparé à Jiro qui réussit tant bien que mal à résister à l’assaut adverse. Celui-ci saignait légèrement de la lèvre à cause des coups. Les deux groupes reculèrent, la jeune fille du groupe du blond s’occupait de l’autre qui était battu. Contre toute attente, un ennemi se mit à courir vers le maître et tenta de lui mettre un coup au visage. Celui-ci étant particulièrement simple à prévoir, Jiro se baissa puis poussa l’homme. Sauf que, c’était une grosse feinte, parce qu’une autre personne était derrière prête à mettre son coup à son tour. Celui-ci, il n’allait pas pouvoir l’esquiver et il se le prendrait obligatoirement. Sauf que, une personne se glissa devant lui et c’était la fille du groupe. L’adversaire ne pouvait même pas s’arrêter et l’homme blond ne pouvait pas bouger non plus. Au final, c’est la jeune femme n’ayant rien demandé qui se prit le coup dans le visage. Elle tomba sur Jiro qui utilisa ses bras pour la réceptionner. Prit alors d’une colère noire, il regarda autour de lui et il trouva une barre de fer sur le sol. Il déposa la jeune femme sur le sol et alla saisir la barre pour se défendre contre les autres. Même avait-il saisit celle-ci que les hommes avaient déguerpit en vitesse.
------ Fin Flashback ------
Voila à ce qu’il pensait sur le moment. Notre jeune Jiro se remémora un souvenir qui était mauvais pour lui. Et d’ailleurs, la jeune néko avait fait exactement le même geste que la jeune femme pour se mettre devant lui. Il ouvrit grand les yeux quand Yu’ lui tapa le torse avec sa tête, il avait le souffle coupé mais il avait l’impression qu’il était encore dans son flash. C’est comme s’il retenait son souffle à cause du stress. Alors qu’en réalité, il ne pouvait simplement pas respirer et cela se voyait. La jeune femme en face de lui semblait affolée, du moins, il entendait des bruits semblables à une personne qui s’agitait. En effet, il était encore dans ses pensées et ne réagit pas tout de suite. Sauf que, c’est d’un seul coup qu’il reprit conscience de la réalité et ouvrit grand les yeux. Il ne calcula pas se qu’il se passait autour de lui et il eut comme un reflex. Après s’être souvenu de la scène, il leva sa main vers Yu’ et la saisit au niveau de l’épaule pour ensuite appuyer sur celle-ci et tirer.
« Attention ! »
S’écria t-il. C’est donc pour cette raison que la jeune néko s’envola sur quelques mètres, tombant donc sur le sol. Le choc fut assez violent et elle ne devait pas vraiment comprendre la raison de son agression. Sauf si elle était dans sa tête, mais cela m’étonnerai. Retrouvant peu à peu son esprit, il se rendit enfin compte qu’il était simplement devant le frigo en train de regarder les plats à l’intérieur. Puis, l’air de rien, il se tourna et remarqua que la jeune femme était encore sur le sol. Au début, il se demanda ce qu’elle pouvait faire ici, mais il prit rapidement conscience de son acte. Il se mit donc à marcher vers elle pour s’avoir si elle allait bien. Il ne semblait pas tout comprendre mais bon… Il mit un genou sur le sol et déposa une main sous le dos de celle-ci pour l’aider à s’assoir. Sur son visage, on pouvait voir qu’il était mal à l’aise et qu’il s’en voulait d’avoir fait ça. Mais il ne peut pas revenir en arrière, il allait donc juste devoir s’excuser et l’aider à se relever. Pour se faire, il rapprocha Yûlàïe de son torse et la souleva en même temps pour se redresser. Ensuite, il laissa son regard pénétrer celui de la néko avant de lui dire :
« Excuse moi, il vaut mieux que j’aille me coucher un peu. Si tu veux manger, vas-y. Si tu veux dormir et te doucher, tu peux aussi et c’est à l’étage. »
Il ne rajouta rien à cela, il ne s’expliqua pas sur les raisons de son mouvement et ni ce qu’il avait. Il relâcha son étreinte sur la jeune demoiselle et se mit à marcher vers les escaliers. Il monta à l’étage tranquillement et continua sa route vers sa chambre, qui était la première porte accessible quand on montait les marches. Une fois à l’intérieur, il la laissa légèrement ouverte involontairement puis enleva son épaulette métallique. Par la suite, il retira sa veste jaune ainsi que le tissu blanc. Il était maintenant torse nu, prêt à s’installer dans son lit, ce qu’il ne tarda pas à faire. Il se laissa tomber dedans, sur les draps. Jiro calla ses mains derrière sa tête puis ferma les yeux… | |
| | | | Yûlàïe Mizuki
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| | Sujet: Re: Retour à la maison avec Yûlàïe Dim 8 Avr - 18:22 | |
| J'étais passée, pris une assiette, coupé le souffle à mon maître. Posée cette même assiette sur le plan de travail et demandez mainte et mainte fois si Jiro allait bien, mais je n'avais pas eu de réponses positive ou négative. Son souffle s'était passablement remit mais semblait saccadé et rapide. Ce qu'il se passa après, je ne compris pas. Un attention hurlé par mon maître qui semblait s'être remis à vivre. Une main se posa sur mon épaule et j'appris à voler. Je fendis l'air pour atterrir dans un coin de la cuisine. Ma tête cognant contre les meubles de cuisine se trouvant contre le sol. Sonnée, je reste un moment sur le sol. Je ne savais plus quoi y penser et ma tête me faisait souffrir un peu beaucoup. Je ne savais pas pourquoi il avait réagit comme ça. Et je voulais des explications, ça s'était un truc sur et certain. Je voulais savoir pourquoi, j'avais été balancée quelques mètres en arrière.
Toujours couchée au sol, ma main posée sur le coup que je venais d'avoir. Une grimace de douleur présente sur mon visage. Je ne m'y attendais pas, c'est sur. Je ne savais pas bouger, ma tête tournait et j'avais pas les yeux en face des trous. Je fixai mon maître, les sourcils froncés. Je le vis s'approcher et se mettre à ma hauteur. M'aidant à m'asseoir par la même occasion. Je m'accroche à lui, la tête encore prise de tournis. Le coup avait été violent ou je n'avais pas la tête dur?
Je pose mon regard vairon sur lui, les sourcils encore froncé. Attendant patiemment qu'il parle. Je ne savais pas vraiment que dire ou faire. Seul le réflexe de me tenir à lui était important à ce moment là. Il se releva en m'emportant avec lui. Une fois debout,il me fixa.Plongeant sans prendre le temps de me mettre en apnée dans ces yeux. Je savais qu'il allait parler, mais je ne savais pas sa phrase.
« Excuse moi, il vaut mieux que j’aille me coucher un peu. Si tu veux manger, vas-y. Si tu veux dormir et te doucher, tu peux aussi et c’est à l’étage. »
M'accrochant au bord du meuble quand il parti en direction de l'étage. La faim avait disparue et quand il eu quitter la pièce, je remis l'assiette au frais. Suivant ces pas vers les escaliers, montant doucement. Je me dis qu'il fallait que je le laisse dormir. Ouvrant une porte découvrant une pièce vide. La refermant de suite, ouvrant une autre, trouvant alors la salle de bain. Je savais que j'étais passée devant la chambre de mon maître, mais je n'étais pas rentrée. Rentrant alors dans la salle de bain, j'avais besoin d'un bon bain. Je me sentais sale et je l'étais effectivement. Ouvrant le robinet du côté au chaude puis ouvrant le robinet du côté au froide. Retirant avec impatience mon kimono, le laissant tomber au sol tout comme mon sous vêtement. J'entre sous l'eau en miaulant de plaisir. Cela faisait pas mal de temps que je n'avais plus senti cette sensation. Me lavant avec application, me rinçant avec la même application. J'étais heureuse de pouvoir me sentir fraiche et propre. Je sortis de l'eau en ronronnant. Trouvant une serviette, enfin, deux dans une armoire blanche.
Et là en regardant mon reflet dans le miroir, une constation me sauta aux yeux. Je n'avais plus de vêtements. Restant figée devant mon moi du miroir. Je soupire et j'accroche sans conviction la serviette autour de moi et je pose l'autre serviette sur le lavabo. Je sors de la salle d'eau et je me dirige vers la première pièce où j'étais passée devant tout à l'heure. J'ouvre la porte discrètement et pose mon regard sur mon maître allongé. Je ne m'avance pas et je réfléchis à ce que je vais dire pour lui expliquer que je n'ai pas de vêtements à me mettre. Je soupire doucement et je me tiens la tête d'une main. Je suis dans une drôle de situation et je me retourne toutes les questions possible en tête. Je ne sais même pas s'il dort et combien de temps je suis restée sous la douche. Je n'en sais vraiment rien. Je soupire un seconde fois, je ne bouge toujours pas du pas de la porte. Je pose mes yeux sur mon maître et je me décide de bouger. Avançant avec douceur, je pose mes fesses sur le bord du lit et je me demande de nouveau ce que je pourrais dire. Je commence à avoir froid et je ne sais pas que faire. Je lève les yeux de mes genoux et je regarde le plafond sans conviction. | |
| | | | Jiro Rakurai
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| | Sujet: Re: Retour à la maison avec Yûlàïe Lun 9 Avr - 21:31 | |
| La scène qui s’était passée dans la cuisine précédemment avait le mérite d’être des plus étranges. Pourquoi notre jeune blond avait réagit de cette manière ? C’était une raison que seul lui connaissait, il n’avait pas prit le temps de s’expliquer avec sa nouvelle hybride. La fatigue commençait à se faire ressentir et son passé semblait revenir peu à peu. Non, pas qu’il avait des problèmes de mémoire, simplement qu’il aurait bien voulu se passer de son moment d’absence. Mais que voulez-vous, ce qui est fait est fait mais n’est plus à refaire. Il allait devoir se contrôler un peu plus en présence de la belle Yûlàïe. A vrai dire, malgré qu’il ne connait celle-ci depuis 1/2h, il appréciait sa compagnie. Elle était douce, gentille, mignonne mais un peu étrange, cependant, ce n’est pas Jiro qui allait parler sur ce point. Mais peu importe, après avoir aidé la fille à s’être relevée avec délicatesse, il fit demi tour pour se diriger vers sa chambre. Marchant tranquillement dans les marches, il entendit les bruits de pas non loin de lui. La néko devait elle aussi chercher les salles pour se reposer et se laver. Alors qu’il entrait dans sa chambre calmement, il entendit Yu’ marcher dans le couloir. Jiro ne s’inquiétait pas pour elle, celle-ci pouvait se débrouiller toute seule, sa maison n’était pas un labyrinthe non plus. C’est en même pas cinq minutes que notre jeune blond était couché, torse nu, prêt à s’endormir.
Après quelques minutes, des bruits retentirent dans la maison. C’était le bruit de l’eau tapant contre la baignoire indiquant par la même occasion que la jeune néko avait déjà trouvée une chambre utilisable. Peut être qu’elle allait faire de celle-ci sa chambre, qui sait ? En attendant, le bruit ne dérangea pas Jiro plus que ça, c’est après 2-3 minutes qu’il se mit à perdre conscience. Tombant peu à peu dans le monde du rêve, il n’entendit pas la porte grincer lorsque qu’une personne pénétra dans sa chambre. De toute façon, il ne pouvait pas risquer grand-chose, il avait disposé des armes à deux endroits dans sa chambre. Une dans sa table de chevet et une autre sous le sommier, mais il l’avait mit de façon à pouvoir la récupérer facilement et rapidement. Pour l’instant, il n’était pas au courant que la jeune néko avait décidée de venir rendre une visite à Jiro. Alors lui, n’en parlons pas, il colmatait à moitié dans son lit, son souffle devant un peu plus fort à chaque minute, prouvant qu’il était en train de dormir comme un gosse. Peut être qu’il n’entendait pas le bruit, mais il était capable de sentir les mouvements d’une personne. Le lit par exemple s’enfonçant lorsque que Yûlàïe s’était assisse dessus était un signe que Jiro pouvait encore ressentir. La présence sur son lit le réveilla, il ouvrit les yeux et remarqua la jeune néko assisse qui fixait le plafond, complètement immobile. Ou presque. En effet, en regardant attentivement, elle n’était vêtue que d’une serviette dévoilant les fines courbes de son corps. Ce n’était pas un spectacle dérangeant, au contraire !
Mais, je n’ai expliqué pourquoi je disais : Ou presque. Et bien oui, Yûlàïe ayant froid, se mit à trembloter légèrement. Ceci était un signe qui ne trompait pas ! Voulant bien faire et peut être cherchant un peu de réconfort, tendit sa main vers elle. Jiro, déposa une main sur son épaule et avec son autre main, tira la couverture pour se mettre en dessous de celle-ci. Puis, il fit de même avec la néko, il tira sur son épaule pour la coucher sur le lit. Ils étaient désormais tout les deux sous la couette, bien au chaud. D’habitude, le blond aimait dormir avec une grosse couverture, quelque soit le temps. Mais il doit avouer que dormir avec une femme ne lui ferait pas de mal non plus. Il tourna ensuite son regard vers elle, se demandant bien ce qu’elle pouvait vouloir même si cela semblait plutôt logique. Mais que voulez vous, il venait de se réveiller et ne cherchait pas à réfléchir. Pauvre Yu’, elle avait héritée d’un maître terriblement idiot quand il s’y mettait. Mais que pouvait-il lui dire ? Peut être lui demander ce qu’elle voulait ? Ah, mais qu’il est bête, jusqu’à preuve du contraire, elle n’avait pas de valise et donc pas de vêtement. Peut être qu’il pouvait lui prêter une chemise, ou alors lui dire qu’il pouvait lui acheter des vêtements, aujourd’hui ou demain ? Il ne savait pas encore, tout dépend de l’heure et de son courage.
« Que veux-tu ? Des vêtements ? Je suis désolé mais je ne crois pas en avoir pour le moment. Je te propose de te servir dans mon armoire, voir si un vêtement peut t’aller. Mais cela sera temporaire, on ira chercher des vêtements tout à l’heure ou demain. »
Elle avait au moins une réponse. Maintenant, c’est elle qui voyait, ils pouvaient y aller aujourd’hui, mais l’heure reste encore obscure. Vous comprenez, il est compliqué de se lever après une sieste. Comment dit-on ? La flemme ? Ah oui, la flemme ! Il pouvait oublier cette notion si la jeune Yu’ arrivait à le motiver. Mais il allait falloir être convainquant parce qu’il devait être 14h environ et que la sieste de Jiro était souvent à cette heure la. Et après celle-ci, le sport jusqu’à 15h après une pure journée de glandouille. Généralement, il allait travailler, mais il était en vacances. Et de toute façon, il était son propre gérant, il ouvrait quand il avait de le faire. Le blond pouvait donc consacrer du temps à la jeune néko. De plus, il allait même pouvoir trouver un travail à Yu’. Même si les horaires allaient être relativement cool, elle allait accompagner Jiro dans sa boutique ou son stand de tir durant les fêtes foraines. C’était deux travails lui permettant de gagner tranquillement sa vie. Si besoin, même la jeune femme allait pouvoir se faire un peu d’argent pour vivre sa vie sans son maître. Ou du moins, faire en sorte qu’il ne paye pas tout à celle-ci. Elle avait beau être une hybride, elle devait tout de même apprendre les bases de la vie. Et Jiro allait se faire un malin plaisir à lui dicter. HRP : Désolé pour le temps de réponse, mes soirées m'occupaient ! ♥ | |
| | | | Yûlàïe Mizuki
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| | Sujet: Re: Retour à la maison avec Yûlàïe Mer 11 Avr - 0:39 | |
| Quand j'avais eu fini de me décrasser, une constations m'avait sauter sans me laisser le temps de respirer, j'étais sans vêtements. J'ai hésiter un long moment avant de sortir de la salle de bain vêtue simplement d'une serviette en éponge. C'est en silence que j'avais longer le couloir pour me planter devant la porte de mon maître. J'étais finalement entrée et je m'étais assise doucement sur le pied du lit. Et j'étais restée là un moment à fixer le plafond. J'avais aussi froid, je ne voulais pas le réveillé, il semblait fatigué tout à l'heure et je sentis cependant un regard sur moi. Tournant doucement la tête pour fixer mon maître dans les yeux. Rougissant parce que je n'étais pas beaucoup vêtue. Mais je ne dis rien quand il se plaça dans les couvertures en m'attirant avec lui.
Un sourire tendre, s'afficha à mes lèvres et c'est avec bonheur que je me cale dans les bras de Jiro. Ronronnant de plaisir, cela faisait du bien d'être au chaud. J'avais vraiment froid, vu ma tenue et mes cheveux humide. Fixant mon maître un sourire aux lèvres, la queue battant contre le drap sous nous. Preuve que j'étais passablement heureuse. J'allais ouvrir la bouche pour lui demander s'il avait des vêtements pour que j'ai moins froid. Je n'avais pas vraiment envie de me balader dans les couloirs et les pièces de cette maison habillée seulement d'une serviette de bain, humide de plus. Même si je pense que mon maître ne serait pas contre. J'avais bien vu son regard quand je m'étais retournée vers lui. Mais cela ne me dérangeait pas, car je savais que je pouvais avoir confiance en lui . Frissonnant encore un peu, cherchant encore un peu de la chaleur. Bon sang qu'est ce que j'avais froid.
« Que veux-tu ? Des vêtements ? Je suis désolé mais je ne crois pas en avoir pour le moment. Je te propose de te servir dans mon armoire, voir si un vêtement peut t’aller. Mais cela sera temporaire, on ira chercher des vêtements tout à l’heure ou demain. »
Souriant un peu plus, je me relève et sors des couettes à grande vitesse, j'avais juste l'envie de retirer ce morceau de tissu froid. Ouvrant l'armoire en grand, puis je me retourne vers mon maître toujours souriante. Je prendrais un vêtement à toi, pour commencer. Cette serviette est trop humide pour que je porte plus longtemps. Pour ce qui est des vêtements, si on ne sort pas, je m'en fous, je peux restée vêtue d'un simple t-shirt et d'un dessous. Je ne suis pas vraiment pudique. Mais si on reçoit des gens, c'est autre chose. Je rigole doucement et je pose mon regard sur la pile de vêtements présent dans le meuble ouvert devant moi. Fouillant avec minutie, les morceaux de tissus, les repliant quand ceux ci ne me plaise pas. Les reposant ensuite à leur place. Je ne me préoccupe plus de mon maître encore présent dans la pièce avec moi. Je trouve enfin ma perle rare, une chemise dans les tons chaud un mélange d'orange et de rouge. Cela donnait un ton merveilleux, j'étais contente de cela. Je ne regarde pas derrière moi et regarde pour voir ce qui pourrait me servir de sous vêtements. Je n'ose plus mettre celui que j'avais quelques temps avant. Depuis le temps que...bref, je vais arrêter de penser à ça sinon, je vais me rendre malade. Je détache avec facilité ma serviette et j'enfile le dessous et la chemise que je referme en vitesse. Réalisant quand je suis habillée que je n'étais pas seule. Je suis vraiment une imbécile des fois, peut être à cause de mon éducation. Et puis, je m'en contre fiche un peu , je ne suis pas pudique. Et je lui avais dit. C'est plus ou moins vêtue correctement que je me réfugie de nouveau sous la couette en grelottant, craquant presque des dents. Je propose de rester ici, j'ai trop froid
Me voilà de nouveau accroché à mon maître, la couverture au dessus du nez. Bon sang, je suis restée trop longtemps avec un tissu humide contre la peau, je vais être malade. Je ne l'espère pas, je n'aime pas être malade. | |
| | | | Jiro Rakurai
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| | Sujet: Re: Retour à la maison avec Yûlàïe Mer 11 Avr - 14:56 | |
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| | | | Yûlàïe Mizuki
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| | Sujet: Re: Retour à la maison avec Yûlàïe Mer 18 Avr - 1:07 | |
| - Spoiler:
[Vraiment désolé pour le retard. Pour la peine, je vais faire une superbe réponse ]
Quand,j'avais eu ma réponse de ce que je pouvais mettre et ce que je pouvais prendre dans son armoire, je m'étais levée d'un bond. Et j'avais ouvert la penderie cherchant avec minutie ce que j'aurai besoin pour me vêtir. Choisissant parmi tout les vêtements de mon maître, une chemise de couleur rouge orangé et un sous vêtement à lui devenu trop petit mais qui serai pour moi parfait. Je ne suis pas bien grosse. Faisant tomber la serviette sans pudeur, ni gêne. M'habillant rapidement car j' étais presque à l'état de glaçon. Une fois, vêtue je retourne vers le lit de mon maître, rentrant sous le couverture en grelotant et en claquant des dents. Me collant par la même occasion au corps chaud pour éviter de claquer des dents. Cela faisait assez longtemps que je n'avais pas eu le droit de faire ce que je faisais, passant mes bras autour du torse, cherchant toujours plus la chaleur. Manifestant mon envie de rester au domicile de celui ci, j'avais trop froid pour aller me balader en ville. Je frisonne quand un bras chaud se colle à moi et passa une de ces mains sous le tissu de la chemise, caressant ma peau.
Ce geste pourtant si doux et si simple, me fit bizarre, pas désagréable loin de là, mais comme j'étais mi homme mi chat, un ronron doux se fit entendre. Me planquant encore plus comme pour en avoir plus. Je déteste cette partie de moi, mais je dois vivre avec. Puis, ce n'est pas tous les jours que je peux avoir ce genre d'attention, alors, j'en profite un peu. Un peu beaucoup, même. J'avais un peu plus chaud habillée comme je l'étais qu'avec cette fichue serviette. Et une nouvelle envie de rester au lit sous le tissu chaud, blottit contre mon maître était encore plus présent.
« Au fait, j’aimerai essayer un truc rapidement ? Fait moi confiance, ce ne sera pas long. »
Hochant la tête à la positive, devenant l'espace d'un instant, une poupée, me relevant avec son aide, restant cependant assisse sur le matelas, droite comme un I . Je savais que je pouvais avoir confiance et puis si quelque chose ne me plait pas, il le comprendrais vite. Alors, je me dis à ces risques et périls. Sentant de nouveau , la chaleur de mon maître dans mon dos, je me colle encore un peu plus. J'aime pas avoir froid et comme ça sans couvertures alors que j'étais bien au chaud, j'attrape vite froid. Fixant les mains devenue baladeuse le temps de l'essai. Grimaçant que celui ci déplace ma masse de cheveux entremêles. Je devrai aller les coiffer après, comme ils sont mouillés, j'ai trois fois plus de noeuds. Et ça fait un mal de chien, quel jeu de mot, quand on prenait ces doigts dedans. Posant mon regard vairon, sur les mains, qui déboutonnait à leur aise ma chemise. Restant pourtant silencieuse et ressemblant à une poupée taille réelle. Nous devions être fait pour ça à la base. Enfin, je crois.
Frissonnant de nouveau quand je me retrouve en petite tenue, claquant une fois des dents. Pour lui faire comprendre, très vite la chemise revient sur ma peau, mais comme à son habitude. Une bouton au niveau de ma poitrine. Arquant un sourcil et faisant de grands yeux, je coupe ma respiration le temps que l'essai se finisse. Je ne savais pas ce qu'il faisait mais c'était un peu bizarre comme test.
Je reste immobile, écoutant ce qu'il a me dire. Je le regarde se lever et j'accepte avec plaisir son aide. Le suivant jusqu'à l'armoire, regardant le résultat final. « C'est original, mais ce n'est pas moche. J'aime bien! » C'était sincère, cela me donnait un petit truc en plus qui n'était pas déplaisant avec mes attributs de félins. Cela faisait encore plus poupée habillée comme je l'étais maintenant. J'étais stupéfaite qu'il puisse connaître ce genre d'astuces pour ne pas être habillée comme un sac. Fixant la tête qui était apparu au dessus de la mienne. Souriant sincèrement, le résultat était parfait pour moi, je la ferai souvent cette astuce. Poussant un cri féminin quand Jiro me prit dans ces bras, telle une mariée, m'arrachant pour une seconde fois ou pour une nouvelle fois, un rougissement, m'accrochant pour ne pas paraître trop lourde à porter. Souriant de nouveau quand mon dos rencontra le matelas et que la couverture se remit sur moi. Me calant encore une fois contre le corps de mon maître, j'en profitais. Un ronronnement de plénitude fit son apparition et je m'endormis comme une masse. Me réveillant quelques heures plus tard quand je ne sentis plus la présence de l'homme qu 'était mon maître. Me relevant comme un Zombie, fixant d'un drôle d'air le réveil posé non loin de moi. « 19h... Oulala! »
Je me lève en baillant, je m'étire avant de sortir de la pièce, une drôle d'odeur me vient au nez, me réveillant complètement sur le coup. Courant sans faire attention vers la cuisine, endroit d'où venait l'odeur. Regardant avec des yeux écarquillés, le poisson, ce doux met entrain de brûler. Regardant par la suite mon maître qui n'avait pas l'air très réveiller. Concluant qu'il n'était pas dans de meilleurs jours quand il venait de se lever. Attrapant d'un geste rapide son ustensile de cuisine, lui donnant un coup de hanche pour qu'il recule.
Je ne voulais plus passer devant lui, je ne le ferai plus, je n'ai plus envie d'apprendre de nouveau à voler comme un oiseau comble pour le chat que je suis. Abaissant la taque de gaz, retournant d'un geste expert le poisson. Soufflant en regardant l 'état. Plus de peur que de mal, le diner serait mangeable. Secouant l'humain encore dans les vapes à mes côtés. « Jiro, il est où le riz? Il me faut une marmite aussi. A moins que tu ai un cuiseur à riz? » - Spoiler:
[ J'espère que ma réponse te plait :3 Encore désolé pour le retard ]
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| | | | Jiro Rakurai
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| | Sujet: Re: Retour à la maison avec Yûlàïe Jeu 19 Avr - 1:59 | |
| La journée avait eue le mérite de passer très vite. En effet, après un achat d’hybride sur un coup de tête, Jiro avait marché jusqu’à chez lui en compagnie de Yûlàïe, jeune néko qu’il venait d’acheter. En si peu de temps, une relation se créa entre les deux personnes. Se connaissant à peine, ils adoraient sa câliner et se taquiner. Le courant passait plutôt bien entre eux à tel point que le jeune homme avait eut l’occasion de voir l’hybride nue deux fois. Mais ce n’est pas tout, après une scène un peu dérangeante ou Jiro avait saisit Yu’ et l’avait balancé par terre, ils avaient décidé de se rendre dans sa chambre parce qu’elle n’avait pas de vêtements. Quelques minutes avant de lui prêter, il s’était couché avec elle dans le lit, se collant à elle comme elle le ferait. Peu de temps après un habillage express et un petit test vestimentaire, les deux personnes ayant l’air d’un petit couple se couchèrent dans les bras l’un de l’autre. La position était bonne, la compagnie était magnifique, le lit était confortable, toute les conditions pour dormir paisiblement étaient réunis. Ce n’était qu’une question de temps avec que Jiro et son esclave s’endorment comme des gosses.
19h, les yeux s'ouvrent et le jeune homme tête dans le cul ne remarqua pas tout de suite qu’il était encore callé dans les bras d’Yûlàïe. Se retirant délicatement, il descendit à l’étage pour se préparer à manger. Il ne savait pas quoi faire au début, tournant en rond dans sa cuisine qui possédait pourtant un frigo rempli à ras bord. Une idée lui vint alors, dans sa maison dormait une magnifique hybride de type néko. Son repas préféré ? Surement les poissons… Quoi que… Les chats aiment presque tout en fait. Mais surtout les poissons. Pourquoi pas alors… Autant mettre à cuir du poisson malgré le peu de connaissance culinaire de Jiro. Les pâtes par contre, il savait faire ! Il avait mit à bouillir l’eau mais n’avait encore rien mit à l’intérieur. Les yeux à moitiés fermés, une douce odeur vint l’interrompre, celle de son esclave qui avait envie de cuisiner. Pour le réveiller un peu, elle lui donna un coup de hanche pour grosso-modo lui dire de laisser la place. Bien, la femme savait donc ce qu’elle devait faire. Haha… Hum, pardon pour la gente féminine. D’un geste souple, elle retourna le poisson, tandis que l’homme de la maison était à côté, ne bougeant pas, immobile, les yeux fermés. Scène plutôt comique à voir. D’un seul coup, il se fit secouer dans tous les sens par sa néko qui lui posa une question.
Ouvrant les yeux, il s’exécuta sur les demandes de celle-ci. Il alla chercher du riz qui était dans un placard un peu trop haut pour qu’elle puisse l’attraper qu’il déposa sur un meuble en bois non loin d’Yûlàïe. Maintenant, il fallait chercher le cuiseur à riz. Alors la, bonne chance pour le trouver. Jiro avait du s’en servir une ou deux fois, ou peut être pas du tout en fait. Mais il était presque sur d’en avoir un dans son placard. Il chercha, deux, trois, quatre minutes avant de lâcher un gros soupir en regardant sa jeune néko. Il ne savait vraiment pas où est-ce qu’il avait mit ce satané cuiseur à riz. Euh, attendez une minute… Est-ce qu’il avait déballé la grosse boite qui contenait la grosse casserole… Ah bah oui, il ne l’avait pas fait, forcément, cela allait être compliqué de le trouver. Petit sourire au coin des lèvres, il fit signe à son hybride de patienter 5 minutes. Une fois fait, il marcha dans sa maison et il arriva à sa cave. Enfin, c’était une cave vraiment immense parce qu’elle possédait un stand de tir privé. Au fond à droite, se trouvait une porte qui contenait les cartons à Jiro. Il se dirigea vers celle-ci d’un pas rapide et l’ouvrit à la recherche du cuiseur. Il poussa presque toutes les boites pour tomber sur l’objet qu’il désirait. Le déballant rapidement, il se retourna prêt à sortir de la cave. Mais passant devant son stand de tir, il ne put se retenir… Il attrapa l’un de ses flingues et se mit à tirer sur une cible. Trois balles, deux dans la tête, une dans le cœur. Avoir été commando aide énormément à la visée. Les tirs avaient du retentir dans la maison et surement effrayer Yûlàïe. C’est pour cette raison qu’il s’empressa de remonter à l’étage, arrivant comme si de rien était.
« Excuse moi pour les bruits, c’est quelque chose que tu verras dans les prochains jours ! »
Léger sourire aux lèvres, il s’avança vers elle et déposa le cuiseur sur la gainière. Jiro attrapa ensuite le fil pour le brancher à une prise électrique. Ensuite, il prit un bol d’eau et le fit couler dans la machine. Attendant environ 2-3 minutes qu’Yûlàïe gère, il s’approcha d’elle, par derrière, enroulant ses bras autour de son ventre et collant son torse contre son dos nu en haut. Il ne bougea pas, observant simplement les gestes que sa néko allait utiliser pour faire sa cuisine. Il allait pouvoir enregistrer tout ce qu’elle faisait pour le reproduire plus tard. Et oui, on peut l’avouer, il profitait un peu de la situation pour se coller à une merveilleuse femme. S’endormant presque dans la position dans laquelle il était, il approcha son visage du cou de Yu’ et déposa un baiser sur celui-ci. Il releva son visage et déposa un autre bisou au dessus de son crâne. Il avait envie de parler mais il avait une sacrée flemme en réalité. Puis finalement, il lança :
« Bon, je vais dehors rapidement, viens me chercher quand tu auras fini, d’accord ? »
Jiro recula et fit demi-tour, se dirigeant vers la porte de sortie calmement. Rapidement, il se retrouva sur la plage juste à côté de sa maison. Il retira ses chaussures et marcha, laissant le sable passer entre ses orteils. Il arriva enfin devant ses barres de tractions étant plantées dans le sol, saisissant la plus haute avec ses mains, il commença avait faire des petits exercices physiques. Au fur et à mesure, ses muscles gonflaient à cause des mouvements incessants de celui-ci. Une petite goutte de sueur glissa le long de son torse, celle ci venait du visage de notre jeune blond. Pour se distraire un peu et ne pas penser à la douleur de ses bras, il observa la mer, magnifique grâce au soleil. Celle-ci montait de plus en plus, n’étant pas loin de toucher la racine des barres de traction appartenant à Jiro. Puis d’un seul coup, alors qu’il forçait un peu sur ses bras, il décida de se dire qu’il avait terminé les exercices. Il se laissa tomber sur les jambes. Cependant, quelques secondes après, une ancienne blessure professionnelle lui fit affreusement mal, celle de sa jambe droite qui avait prit une balle. Il sautilla sur place puis sauta en avançant pour être sur de ne pas se faire toucher par l’eau. Une fois hors de portée, il se laissa tomber dans le sable, s’asseyant sur les fesses et laissant sa jambe étendue dans le sable, les mains misent sur celle-ci. - Spoiler:
[HRP : Parfaite ta réponse, j'espère que la mienne est bonne aussi ♥]
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| | | | Yûlàïe Mizuki
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| | Sujet: Re: Retour à la maison avec Yûlàïe Jeu 26 Avr - 17:23 | |
| Le réveil avait été doux, tout le début du sommeil. Un habillage et un essai vestimentaire plus tard, je me trouvais sous les couettes, contre le torse nu de mon maître. Mon attribut félin qui commençait au niveau de mon coccyx balançait sur un rythme régulier, montrant grandement ma bonne humeur et ma position confortable. M'endormant aussi rapidement que mon maître, bercée par mes propres ronronnement et la chaleur qui émanait de l'homme à mes côtés. Me réveillant car, je n'avais plus ma source de chaleur à mes côtés, c'est à dire plus précisément, mon maître avait disparu. Fixant le réveil sans grande conviction, me levant avec souplesse pour descendre à la cuisine. Sauvant de justesse, un de mes plats préférés, du poisson. Bousculant d'un coup de hanche bien placé mon maître, retournant le poisson d'un geste simple et appliqué. Posant un regard en vitesse sur mon maître, figé en plein milieu de la pièce.
Le secouant doucement, lui demandant, où se trouvait le cuiseur à riz. Il sembla reprendre vie et se mit à fouiller dans les placards. Mais sans succès, je repose mon regard sur le poisson en train de cuire doucement, mettant sur feu doux. Vu que ce fichu cuiseur semblait être quelque part dans la maison mais où. Jiro sembla savoir où il se trouvait et disparu de la pièce avec vitesse. Me laissant seule devant la cuisinière a regarder ce fichu poisson. Mon estomac me montre qu'il est encore vivant, j'ai pas manger tout à l'heure. Je soupire et sursaute à un coup de feu. Très vite, j'abaisse mes oreilles et je me retourne. Inquiète et effrayée, je me demandais surement d'où ça pouvait venir. En y réfléchissant bien, Jiro avait menacé le gosse à l'animalerie, cela devait venir de lui. Redressant les oreilles quand les coups finissent me remettant à ma place. Surveillant de nouveau, la cuisson. Vu que je m'attendais pas à entendre des coups, j'avais bondis sur mon arme blanche présente sur la table depuis à l'heure. J'avais fini par le reposer et j'avais repris ma place comme si de rien n'était .
« Excuse moi pour les bruits, c’est quelque chose que tu verras dans les prochains jours ! » Souriant d'un air innocent à mon maître, comme si je n'avais pas eu peur même si mon coeur battait encore très vite dans ma poitrine. J'aurai pus descendre pour voir ce qu'il s'était passée mais non, je suis restée ici à rester sur mes gardes. Regardant du coin de l'oeil, l'homme présent à mes côtés qui versait l'eau dans le cuiseur. Je me charge du reste, fouillant dans un armoire après le riz. Versant la quantité qu'il fallait dans l'évier pour nettoyer le riz. Une fois fait, je le place dans le cuiseur et je le met en route. Je me replace devant la casserole, souriant quand mon maître passe ces bras autour de moi et pose sa tête sur mon épaule. Frissonnant en sentant la peau froide contre la mienne, je ne fis cependant rien. Je continuais simplement et légèreté ma cuisine. Fixant en autre le cuiseur présent non loin de nous. La flemme de bouger dans celui ci clignota pour me dire qu'il manquait de l'eau. Regardant de nouveau en coin, l'homme dans mon dos qui venait de déposer un baiser dans mon cou puis sur mon front. L'envie de parler se faisait sentir mais le silence restait en maître.
« Bon, je vais dehors rapidement, viens me chercher quand tu auras fini, d’accord ? »
Hochant la tête, me retournant vers lui quand il se dirige vers la porte. Une fois qu'il fut parti, je soupire, je ne sais pas pourquoi, mais je suis en prise avec la nostalgie comme si le fait qu'il ai passer la porte de cette manière me faisait mal au coeur. Je ferme les yeux et me décide de remettre enfin de l'eau dans ce fichu cuiseur. Mon envie de nostalgie parti peu à peu et je me mis doucement à chantonner. Signe d'un bonheur naissant, il est rare pour moi de me comporter de la sorte. Signe plus que présent pour dire de façon clair : « Cette jeune fille est heureuse et le montre bien »
Je place un couvercle sur ma casserole et je coupe le feu qui cuisait cette pièce de poisson. C'est cuit, je coupe la bonne odeur qui émane de la pièce de poisson et j'éteins le cuiseur, ne sortant pas l'ingrédient. Je le ferai quand Jiro sera là. Je vais aller le chercher, vu que c'est cuit. Même si j'ai affreusement faim et que j'ai envie de manger tout de suite. Je laisse ça comme ça et je me dirige vers l'extérieur. Fixant mes pieds nus, je ne vais pas sortir comme ça si? Ben, oui! J'ouvre la porte et fixe l'étendue bleu qui s'étend jusqu'à l'horizon. Un grand sourire s'affiche sur mes lèvres, je la vois enfin la mer. Après autant de temps à m'en avoir parler. Je la vois enfin, je cherche Jiro du regard et je cours vers lui. Restant un peu étonnée de l'impression que donne le sable sur mes pieds nus. Je le vois sauter sur place et cela me fait pouffer, même si une expression de douleur marque son visage. J'arrive près de lui et pose ma main d'un geste simple sur ces cheveux. Je suis sortie habillée d'une chemise et c'est tout. Je rigole doucement et pose mes fesses entre ces jambes collant mon dos contre son torse.
Je lui dis ou pas? Si je lui dis, faudrait qu'on aille se nourrir, c'est à dire, je ne verrai plus l'eau présente devant nous. Mouais, mon ventre montre qu'il a faim une nouvelle fois, je m'empourpre. Rah, tu sais pas te taire pour une fois non? Ralala. Je lève la tête et fixe mon maître du bas, en me disant que c'est une drôle de perspective comme ça.
« Au fait, le poisson et le riz sont cuit,ils n'attentent plus que nous. »
Je replace ma tête correctement et je fixe de nouveau l'eau en face de nous. Puis je me lève, laissant surement mon maître dans la surprise, je m'avance vers cette étendue et marche dans l'eau présente au pied de ces barres de tractions. M'accrochant à l'une d'elles, posant mes fesses sur la barre la plus basse. Mes pieds toujours présents dans l'eau froide mais bon. C'était la première fois que je connaissais ça et ce n'était pas déplaisant. Restant quelques minutes comme ça, décidant finalement d'aller me nourrir avant que mon estomac ne fait encore des siennes. Me rapprochant de mon maître lui souriant.
« On y va? » - Spoiler:
Désolé pour le temps d'attente, j'espère que ma réponse te plait :3
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