R'Neko's Time
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 Dis moi, que tu n'appartiens pas ♪ [PV:Hasae Kuroi]

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Akeli Ynasuki
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MessageSujet: Dis moi, que tu n'appartiens pas ♪ [PV:Hasae Kuroi]   Dis moi, que tu n'appartiens pas ♪ [PV:Hasae Kuroi] Icon_minitimeSam 14 Avr - 10:33




    Devenir une star leçon un : monter sur les planches.

    J'étais depuis déjà longtemps, dégoûté par l'humanité, par les hybrides, par tout le monde. Voilà déjà quelques temps que je n'avais pas eu de réels contacts avec les gens, Liem me sauvait de ce tragique destin de solitude. Il était, depuis le début un objet dans le but de me distraire, pourtant je n'osais pas lui faire de mal. Son air apeuré de me procurais aucune plaisir, non, j'avais envie de le serrer contre moi comme jamais je ne l'aurais fait. Son air innocent m'attendrissais. Mais là n'est pas tellement le sujet, quoi qu'il avait prit possession de mes pensées et que ce n'était pas une bonne nouvelle du tout. Je me sentais idiot pour tout dire, oui, idiot de m'être laissé avoir par un objet. Je réfléchissais, me demandant si tout les hybrides étaient aussi adorable que Liem. Non, c'était tout simplement impossible. J'étais partis depuis déjà un moment, ma bonne vieille guitare sur le dos, laissant l'animal en cage dans ma demeure. Je marchais donc sans savoir où j'allais vraiment, je vaguais dans l'horizon avec mon étuis sur le dos, je voulais juste prendre l'air, Prendre l'air si on pouvait le dire, puisqu'à vrai dire, je ne respirais pas grand chose avec mon masque à gaz. Beaucoup de personne me dévisageais, mais je m'en fichais, après tout chacun est comme il est, et je me fiche pas mal de ce que les autres peuvent pensés. C'est une mélodie macabre que je chantonnais, une mélodie qui n'inspirait confiance à personne. Un petit chat, curieux vint se frotter à mes jambes, ce qui me fit immédiatement stopper mon parcourt. Je me baissais pour caresser la tête de l'animal, d'un air plutôt surpris. J'adorais les chats, mais la plupart me fuyaient. J'en revenais à Liem, est-ce qu'il avait peur de moi lui aussi ? Je ne pensais pourtant pas être si effrayant que cela. J'amenais à moi l'horreur du monde et tout ce qu'il y avait de sombre. Je ne vois pas vraiment où en était le mal, les choses étranges ne vous attirent pas vous ? Tant pis, vous resterez des personnes «normales» toute votre vie, et vous aurez ça sur la conscience. Ne venez pas plaindre Dieu, il ne vous répondra pas. Puisque c'est moi, le Dieu de ce monde. Comment ça, je pousse la plaisanterie un peu trop loin ? Serait-ce une blague ? Tout le monde se crois supérieur à moi, mais ce qu'ils ne savent pas, c'est qu'il ne peuvent rien contre la personne que je suis, ni contre mon mental d'acier. Je suis comme je suis, c'est à prendre ou à laisser. Vous préférez tous laisser ? Tant pis, vous n'aurez pas l’immense joie de faire connaissance avec le Dieu des ténèbres. N'est-ce pas là, un cadre fort sombre et macabre ? Moi je le trouve intéressant, et j'aimerais continuer la peinture de ce cadre intérieur plus longtemps si le temps ne m'était pas compter, mais il l'était. Je disais tout à l'heure me rendre, nul part, sans but ni loi. Mais en réalité, je devais aller travailler. Ce n'est pas que je soit une homme ponctuelle ou non, mais j'aimais jouer de la guitare, et ce n'est pas quelque chose qui me dérangeais de me rendre à ce bar. En arrivant devant la porte, je commençais à douter. Je voyais déjà ces visage déformé par ma lunette brisée, des visages qui me riaient à la figurent, ce moquant de mon art. Peut-être étais-ce plus prudent de rentrer chez moi et de continuer mon travail. Je n'étais de nature pas quelqu'un de méchant, qui faisait si peur qu'il n'y paraissait, j'étais même d'ailleurs un garçon stable qui souriait à qui voulait bien profiter de ma joie. Seulement voilà, en moi ce cachais cette personne mélancolique qui avant, depuis longtemps, perdu l'amour des femmes, qui ne pouvait plus se remettre d'une relation qui avait eu lieu il y a six ou sept ans de cela. N'est-ce pas idiot ? Complètement, et j'en avais conscience, je savais pertinemment que c'était stupide, c'est d'ailleurs pourquoi j'en parlais, mais voyez vous, mon seul moyen d'expression était la musique, ou le dessin. Je n'étais pas douer en ce qui concerne la parole, je ne suis pas un poète né, non, je suis juste un homme stupide qui joue et dessine bien. Voilà tout.

    C'est alors, aujourd'hui, l'histoire d'un homme qui ne voulant pas faire attention aux moqueries des gens, entra dans ce bar où personne ne me prêta une grande attention, quelques regards tournés, étranges, je voyais de la compassion, de la peur, de l'horreur, de l'indignation, de la joie, de la fouge, de la perversité, du regret, de l'alcoolisme, des joints, des airs taquins, du sadisme. Tout cela, tout ce beau monde qui avaient osé posé leurs regards sur moi, ne savant même pas qui j'étais, ce que j'étais, ils s'étaient seulement retournés par curiosité, ou par ennuis seulement. J'avais l'impression d'être juste un objet de décoration à ce moment précis, mais, qu'est-ce que j'y pouvais de toute façon ? La plupart des gens devaient ce mettre à imaginer la personne que j'étais, et habillé ainsi, je pense que personne ne se faisait une bonne idée de moi. Tant pis, il faudrait m'accepter tel que je suis après tout. Je m'approcha du bar où étais le gérant qui me salua du regard, attendant que le bar se vide un peu avant de s'approcher de moi. C'est fou ce qu'il y avait du monde ici, et du bruit aussi. J'étais sensible aux sons, parce que je n'aimais que la bonne musique, et pour moi, la voix humaine n'était pas une douce symphonie, surtout dans ce genre d'endroit où les gens ne savent que brailler comme des sauvages et gesticuler dans le but de bien ce faire voir. Finalement, ils me paissaient pathétique, mais j'étais pas vraiment d'humeur de soir, n'allez pas savoir pourquoi. Tout s'était pourtant bien passer avec Liem, et personne ne m'avait déranger dans le rue. Le problème ? Je suis bipolaire et quand quelque chose me prend, et bien voilà, je suis mauvais, même très mauvais.

    « Ah ! Akeli, je t'avais pas reconnu sous ton masque, suis-moi, je vais te faire faire un tour rapide. »

    Lui, c'est le gérant, il est plutôt laid mais gentil, je suis pas du genre à juger sur le physique. C'est un bon vivant et on dirait qu'il ne fait pas vraiment attention à sa ligne. Vous me direz, je n'y porte pas grande attention non plus, mais tout de même. Je suis mal placé pour juger une personne sur le physique, en plus, c'est mal. Bref, il me présenta l'endroit derrière le bar, comment tout cela fonctionnais. En faite, je m'en fichais pas mal, il cherchais quelqu'un qui voudrais bien animé son bar, me voilà, me voilou, qu'est-ce qu'il voulais de plus ? C'est dans des sourires hypocrites que j’allai dans l'ombre accorder ma bonne vieille guitare électrique. Je ne savais pas exactement comment ça allait ce passait, je trouvais ça un peu égoïste de monter sur scène et de balancer un truc narcissique, non, je devais dire quelque chose de drôle pour que le publique accroche aussitôt ! Je savais pas trop comment réagir et c'est derrière les rideaux qui me laissaient le choix de fuir ou de me battre contre moi même, que je réfléchissais à toutes sortes de choses, un peu perdu par tout cela, mais peu importe finalement, je réfléchissais juste à savoir si j'étais au point. Quelques accords et montée de voix plus tard, je m'approcha du rideau, le touchant de la main droite armé de ma guitare. Je ne savais pas si je devais passer, en faite, tout ces regards m'effrayaient, je n'avais rien à me reprocher, mais peut-être est-ce que ma place était plus dans mon bureau d'éditeur à courir après les auteurs pour les supplier de rendre leurs œuvres à temps. Mais finalement, est-ce que je ne voulais pas faire un pas de géant et pouvoir me faire connaître par un art qui étais le mien, par un style de guitare qui lui aussi était le mien. Je ne trouvais pas les mots, et je ne savais pas non plus comment me présenter, comment faire, je ne voulais pas être un homme trop formel, trop froid. J'avais quitter mon masque à gaz pour le laisser près de mes affaires, je voulais faire le bon vieux rockeur amical. J'avais à ce moment là, peur de retomber dans la drogue si jamais je voyais un joint, et vu l'odeur que ce bar dégageais, c'était un nid à drogue. Bah, peu importe finalement. Je tira violemment le rideau et laissa apparaître ma somptueuse personne. Je regardais au loin, sans pour autant fixer le regard de quelqu'un en particulier. Je ne savais toujours pas comment me présenter. J'étais un idiot, complètement idiot...

    « Petit, ma mère m'a dit d'être heureux. J'ai fais ce que j'ai pu, maintenant je vais vivre, je pense, la plus belles soirée de ma vie. »

    Je ne sais pas si c'était là quelque chose d'accrocheur, je ne savais pas si les gens n'en avaient rien à foutre, mais dans tout les cas, j'avais commencer à jouer, je fermais doucement les yeux, parce que j'étais complètement dans ma musique, dans mon univers, où j'espérais que les autres me rejoindrais. Enfin les autres... Pas les hybrides, car il ne faut pas oublier que seul, Liem pouvait entrer dans mon esprit en tant que personne. Étrangement, je pensais à lui lorsque je chantais cette chanson qui, pourtant avait été écrite pour la personne que j'avais perdu il y a déjà bien longtemps. Je ne savais plus où j'en étais, et il n'y avait pas grand chose à savoir, j'étais juste en immersion totale par cette chose qu'on appelle : musique. Je voyais dans ma tête, ce visage innocent, cet air tendre, ça me faisait sourire. C'est seulement à ce moment là, que je pus ouvrir nettement les yeux. (www.)
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MessageSujet: Re: Dis moi, que tu n'appartiens pas ♪ [PV:Hasae Kuroi]   Dis moi, que tu n'appartiens pas ♪ [PV:Hasae Kuroi] Icon_minitimeSam 14 Avr - 17:03

Dis moi, que tu n'appartiens pas ♪ [PV:Hasae Kuroi] Iwantlive933062a9



    Il devait être dit qu'aujourd'hui,allait être une journée pourrie. Déjà les évènements ne me disposant pas à avoir une vie agréable,le simple fait de dormir me fait passer totalement à autre chose. Mes tendances insomniaques n'avait pas eux lieu en cette douce journée. J'avais même réussis à plutôt bien dormir,durant plusieurs heures. L'ennui ? Un rêve. Et quel rêve ? Un rêve dans le quel je me vois,moi,le sourire aux lèvres égorger mon père. Je le regarde faire,et je ne fais rien. Une fois son forfait accomplit,il lève les yeux sur moi,penchant la tête l'air amusé,mais l'air tellement doux. « Alors Hasae,tu as vu ? Nous serons tranquille maintenant.» Baissant les yeux,je souffle; « J'ai...Pas voulu ça. » Il hausse les épaules,glissant la lame du couteau ensanglanté contre sa propre joue. « Oh mais si tu l'a voulu,alors...Tu l'as eu. » Puis il se rapproche de moi,passe sa main sur ma joue,penchant la tête,fermant les yeux,l'air tellement rassurant. Il attrape une de mes mains,et resserre mes doigts sur le manche du couteau. « Tu as peur ? Pourtant,c'est toi qui a fait ça Hasae. » et puis,comme à chaque fois je nie,l'autre disparaît,je me réveille en pleurs.
    Ce n'était clairement pas la première fois que je faisais ce rêve,pour ne pas dire qu'à chaque fois que je daignait fermer l'oeil,j'en revisitais un bout.


    On était en fin de journée. Il est rare que je parvienne à dormir la nuit. Le crépuscule arrivant,les idées et pensées effrayantes se bousculent à leur tour. Non pas que j'ai peur du noir en lui même,il m'attire même plutôt. Mais c'est toujours dans ces moments là que j'ai des émotions emplies de folie. Pour ne pas dire que des images atroces me viennent en tête...Bref,autant rester actif,pour ne pas se perdre,lorsque ces moments arrivent.

    De toute manière,pas le temps de rester là à psychoter,j'avais un rendez vous. Quel était-il ?
    Deux secondes que je vous plante le décor; Un gen louche,un ruelle sombre,un autre gen louche,vêtu de noir,une capuche sur la tête,les mains dans les poches ,un échange,et un ni vu,ni connu. En gros,je devais aller voir un client,pour lui apporter sa dose. Et pour cela,je me rendis à la ville. Il était encore tôt,du moins nous n'étions encore qu'en début de soirée. Les gens commencent à sortir,et mon client est en retard. En attendant,je zieute les passants,leur tête,leur vêtements,leur poches. En gros,je repère (bien malgré moi,accordons nous là dessus) le parfait pigeon à voler. Jetant un bref regard autour de moi,je m'avança vers une femme d'âge conséquent. Vêtue d'un long manteau de fourrure,de bijoux plus qu'il n'en faut,cette cinquantenaire affichait clairement sa réussite. Son côté aisé éveilla mon instinct quelque peu cleptomane.
    Ce que je m'apprêtais à faire était une grosse erreur. D'abord parce que déjà,je devrais abandonner mon client qui risquait d'arriver à tout moment,en suite parce que vu le standing,j'avais 90 % de chances de me faire attraper. Mais peu importe,cela m’excitait...Trop. Tellement qu'un souffle s'échappa de mes lèvres; « Qu'est-ce que tu attends...Lances toi ! » Dans une impulsion,je m'avança vers ma proie,la bousculant,attrapant au passage son sac,avant de me barrer en courant. Quoi ? No comment. Je sais que cette technique est connue et reconnue,mais peu importe,c'est la plus simple. Et puis là,je n'avais pas dans l'idée de voler réellement,mais juste l'envie d'être coursé. D'ailleurs,cette charmante dame s'étant mis à crier,mon souhait fût vite exhaussé,et deux hommes se mirent à me courser. J'aurais dû m'en douter,elle n'était pas seule. En même temps,vu ce qu'elle trimbalait,c'était à prévoir.

    Mais peu importe. A présent,il fallait courir. Courir,oui. Mais l'ennuie c'est que je m'étais mis à rire comme un dératé,probablement sous l'excitation. L'ennui étant que je m’essoufflais donc bien trop rapidement. Zigzaguant entre les ruelles pour les semés,je chercha un endroit où me cacher. Car là,il ne s'agirait pas de se faire mettre en pièce par ces beaux inconnus. Et même sans ça. Me faire attraper était une promesse pour le post de police,et donc un passe retour pour l’hôpital psychiatrique.

    Sentant que bientôt,je ne pourrai plus continuer,je poussa la première porte venue. Celle-ci me fit entrer dans ce qu'il semblait être un bar...Cabaret,peut-être ? Bref,pas le temps de songer à l'endroit,il fallait que je me cache,les deux affreux ne tarderaient pas à arriver. Mais une voix m'interpella;

    « Petit, ma mère m'a dit d'être heureux. J'ai fais ce que j'ai pu, maintenant je vais vivre, je pense, la plus belles soirée de ma vie. »

    Levant les yeux,les posant sur...Un gars. Et quel gars. Il n'avait pas l'air net,et même carrément plutôt intimidant. C'est bon ça. Ni une ni deux,je m'avança vivement vers la petite scène sur laquelle il se trouvait,et grimpa,me plaçant derrière lui comme une fleur. Reprenant mon souffle,je tira sur sa veste,prenant une expression miséreuse, comme je sais si bien le faire ;

    « Hey gars...On ne se serait pas déjà vu quelque part ? »

    Truc bidon,mais il fallait que je l'ai dans la poche,celui-là.


Dernière édition par Hasae Kuroi le Jeu 26 Avr - 22:53, édité 1 fois
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Akeli Ynasuki
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MessageSujet: Re: Dis moi, que tu n'appartiens pas ♪ [PV:Hasae Kuroi]   Dis moi, que tu n'appartiens pas ♪ [PV:Hasae Kuroi] Icon_minitimeSam 14 Avr - 18:31




    Devenir une star leçon deux : Virer les troubles-fêtes.

    Ce qui semblait être le plus beau jour de ma vie, me stressais plus que jamais. Finalement, je commençais à me demander si j'étais capable de réaliser mon rêve, de pouvoir faire toutes les choses que je voulais faire à la fois. Puisque je vous le dis, et je le redirais encore sûrement dans un futur proche, mais il y a plusieurs choses que j'aimerais faire. Mon travail d'éditeur était lui aussi un rêve, j'aime tout particulièrement les manga, et la bonne littérature, il était donc tout à fait normal pour moi de lire ce genre d'ouvrage et juger s'il est bon à publier ou non. Mais j'aimerais qu'on se souvienne de Mr Ynasuki pour son art du dessin, pour son bon goût littéraire, mais aussi pour son doigté incroyable à la guitare. Malheureusement, c'est trop pour un seul homme. Enfin, c'est ce que l'on m'a toujours dis, mais je n'y croyais pas une seconde, je savais très bien que j'étais capable de tels prouesses, parce que j'étais un Ynasuki, et que les Ynasuki sont des êtres puissants capable de faire tout ce qu'ils ont envie. Tout le monde m'encourage. Tout le monde, même Shio, l'auriez-vous crus , Cette idiot de Shio passant ses journées sur un ordinateur, croyez-vous qu'il eu le choix de m'encourager un jour. Eh bien oui, il m'a dit que quand je serais un artiste accomplis, il pourrait dire que je suis Akeli, parce qu'Akeli n'abandonne jamais ce qu'il fait. C'est ce qu'il disait, mais je n'en étais personnellement pas vraiment sûr. Je manquais sûrement de confiance en moi, non en faite, j'en savais trop rien, mais tout de même... Peu importe, j'y étais, je devais m'y tenir. Ne pas abandonner pour que personne ne se dise que j'étais un lâche. Parce que lâche, c'est bien la dernière chose que je voulais entendre à mon sujet. J'étais peut-être un peu hypocrite, je ne dirais jamais le contraire, mais lâche, alors ça jamais ! J'apportais à moi le sombre, le malheur et j'inspirais les ténèbres, ce genre de chose complètement stupide. Mais je n'étais pas comme ça, et finalement, il ne semblait n'y avoir que ma famille qui fut au courant de tout cela. J'étais monter sur scène, j'en avais eu le cran, et je pouvais maintenant dire que j'étais un vrai homme, quelqu'un qui va au bout de ses idée et qui tiens ses promesses qu'il s'est donné à lui même. J
    Je jouais et oubliais tout, qui j'étais, ce que j'étais, ce que j'ai vécu. Tout oublier ? Non, j'imaginais, un futur qui me donnerais joie et bonne humeur, plus que je ne le suis à ce jour. Je pensais à cette chose que j'avais ramené chez moi, ce truc du nom de Liem. Je pensais à lui, alors qu'à la base... Cette chanson, je l'avais composée pour la fille que j'avais perdue il y a bien longtemps. Une foule de question, je continuais tout de même à jouer, chanter. Je me posais tellement de chose. Aimer un homme n'était pas quelque chose qui me dérangeais, enfin... Si, un peu quand même. Je sais depuis longtemps que les hommes et les femmes m'attirent, mais.. N'est-ce pas quelque chose qui vous coupe du monde ? Je sais très bien que tout le monde n'est pas homophobe comme la plupart des personnes dans mon cas hurlerais, je savais très bien que dans ce monde, même remplis de connerie humaine, il y a avait des gens saints d'esprit, des personnes qui ne balanceraient pas que je suis quelqu'un qui ne mérites pas la vie, sous prétexte que j'aime un homme. Parce que oui, je n'avais pas encore réalisé jusqu'à présent. Ce neko, il ne me laissait pas indifférant, et si je pouvais faire quoi que ce soit pour qu'il m'appartienne un peu plus, je ne me serais pas gêné. Seulement voilà, je ne savais si quoi faire, ni quoi dire pour le lui faire comprendre. Je n'étais pas cruel avec lui comme je devrais l'être, seulement voilà, Liem était Liem et n'était plus ces choses qui m'horripiles. Non, il était seulement Liem, mon neko, et si je l'avais adopté, c'est bien parce qu'il ne me dégoûtais pas. Étranges n'est-ce pas ? Peut-être que c'est ça : le coup de foudre. J'en avais entendu parler par ces jeunes filles qui se dandines, parlant de leurs amour de star favorite, de ces groupies qui disent aimer un chanteur. Tout ça me dépassais, et je ne pensais pas qu'une chanson me fasse autant réfléchir.

    « Hey gars...On ne se serait pas déjà vu quelque part ?  »

    Une chose me tenais le bras, c'était une sensation plutôt agréable en faite. Je fis une fausse note et fut dans l'obligation de stoper la mélodie net. C'était certes une sensation agréable, mais il avait niqué ma soiré. Je grogna, le bougre il allait prendre chère. Je me tourna pour être face à ce môme, et finalement, mon bras se leva pour le guider jusqu'à la joue de l’importun, mais... Ce bloqua avant atterrissage, pourquoi ? Parce qu'il semblait perdu, et que je n'étais pas assez méchant avec les humains pour lui faire quoi que ce soit. Enfin, il faut avouer que j'ai des rencontres qui peuvent se montrer êtres compliqués et que j'use bien trop souvent de ma force naturelle. Quoi ce plus simple pour quelqu'un qui a trimer toute sa vie pour être un minimum musclé, que de s'en servir ? Mais bref, voilà que ce petit me regardait avec son air larmoyant et je ne pouvais pas résister à l'envie de le regarder, et de me montrer plutôt gentil avec lui. C'est sans transition que j'ai quitte la scène, prenant le gosse par le bras. Le gosse ? Oui, quand on a 26 ans, tout le monde est enfantin. Je grognais un peu et m'installa derrière les rideaux, rangeant doucement ma guitare, l'ignorant presque. Une vision d'horreur. J'étais dans mes réflexions amoureuses, et voilà qu'il se pointe, comme s'il avait l'intention de foutre le bordel dans mes sentiments, non, je ne me laisserais pas avoir une seconde fois. J'étais assez en colère contre lui, mais je ne le serais pas longtemps. C'est en rangeant tout cet attirail que je lui accorda un dernier regard.

    « Tu n'as pas autre choses à faire que de gâcher le boulot des autres, gamin ? »

    Dans un soupire, et une fois tout ceci ranger, je posa sur mon dos mon étuis, et le regarda de haut en bas essayant de me faire un idée de la personne qu'il pouvait bien être. Mais je ne pouvais pas le juger sur cet air qui semblait si pur, parce que s'il était venu ici, si ce n'était pas par erreur, c'est bien parce qu'il n'était pas une âme totalement innocente et qu'il se trouvais ici à boir ou à fumer je ne sais quoi, voir ce foutre des sering je ne sais ou pour se procurer je ne sais quel plaisir. Ce droguer ? Bien sûr que je sais ce que ça fait, ça vous retourne un homme, ça vous le rend heureux, mais la descente... Elle est tout de suite moins drôle. Je sortis de ma poche un paquet de Seven Stars, ma marque de cigarette, puis enfila une clope à mes lèvres, l'allumant ensuite. Je remarqua vaguement qu'il semblait essouffler, mais ça n'étais qu'un détail parmi tant d'autres. Me levant du sol où j'étais assis pour ranger tout mon bordel, je m'approcha de l'âme qui semblait pur, et ébouriffa sa brune chevelure.

    « Il ne me semble pas que l'on se soit déjà rencontrés. »

    Je le regarda plus longuement, cherchant à savoir s'il était vraiment quelqu'un qui m'étais inconnu, mais jamais son visage ne me rappelais quelque chose. En faite, je m'inquiétais seulement de savoir si quelqu'un n'allait pas me soudoyer pour que je me remette à la drogue. C'est bien la dernière chose que je voulais, sombrer dans la drogue, déjà que l'alcool avait pas un bon effet sur moi, alors imaginez si je reprend la drogue. Non, je suis un brave homme et je sais faire la part des choses, du moins je l'espère. J'ai 26 ans, je suis un type raisonnable, ce serait moche de m'y remettre, surtout que je suis heureux.
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MessageSujet: Re: Dis moi, que tu n'appartiens pas ♪ [PV:Hasae Kuroi]   Dis moi, que tu n'appartiens pas ♪ [PV:Hasae Kuroi] Icon_minitimeSam 14 Avr - 19:36





    A la base,le plan était donc;

    Je sors de chez moi,j'attends mon client en ville. Il se pointe à l'heure,je lui refile ses doses,il me donne mon argent,je rentre chez moi,et fais ma vie. Donc ça,ça aurait normalement dû être le cours normal des choses. Malheureusement,faut croire que dans me vie,rien ne devrai jamais se passer normalement. Le merveilleux destin ayant mis une vielle peau aisée sur mon chemin,sachant que je ne peux résister à ses richesses,ça fausse tout. Donc,nous étions partit sur un autre chemin qui est; on laisse tomber le client,et refaire le pickpocket. Charment. Donc,pour cela j'étais partit dans le sens totalement opposé à celui de chez moi,histoire de m'enfuir,pour échapper au gentils messieurs bien décidé à me faire payer l'objet de ma folie. Et le pire,c'est que ça m'amusais. Bon dieu que je m'énerve.

    Me voici maintenant dans un bar. Bar que je n'avais pas vraiment l'habitude de fréquenter à vrai dire. Les endroit bondés de monde ne sont pas pour moi. Pourtant celui-ci ne m'était pas totalement inconnu à vrai dire. Sans aller jusqu'à dire qu'il m'était familier,j'en avais plusieurs fois fouler le sol,lors de petit entretiens,rendez-vous et autre préparations. Mais je n'y restais pas bien longtemps. Juste histoire de régler la chose,et c'en était fini.

    Là,de toute manière,en ce jour gracieux,j'allais y rester plus longtemps que prévu,manifestement. Ayant la bonne idée de me faire courser par bien plus fort que moi,et qui plus est au nombre merveilleux de deux,je n'avais pas le choix. Le plan ? Se planquer et y rester un bon moment,ou alors trouver le parfait pigeon pour me sortir de là. Le pigeon,ne devait pas être loin. D'ailleurs,je ne fixais le parfait spécimen. Enfin,ne parlons pas trop vite. Au premier coup d'oeil,il l'air de tout,sauf d'un gars sympa. Méfiance donc. Pas pour rien que j'avais sortie ma parfaite panoplie de regard globuleux. Je sais pertinemment lorsque je ne suis clairement pas de taille. Et là,c'était le cas. Et puis,si je comptais vraiment me servir de ce gars,c'est qu'il me paraissait plus fort que les deux gorets qui ne tarderaient pas à me trouver. Donc,si il est plus fort qu'eux,il l'est clairement plus que moi. Autant ne pas faire ma forte tête,et le brosser dans le sens du poil.

    Mais...Ce n'allait pas être simple,je crois. Pourquoi ? Et bien déjà,je l'avais interrompu dans son petite spectacle. Mauvais point,et ça n'avait pas,mais alors pas du tout l'air de lui avoir plu. Tellement qu'il s'arrêta net,et se tourna vers moi. Il n'étais pas désagréable à regarder,mais faisait assez peur.
    Ne détournant pas les yeux,j'aperçue sa mains se lever jusqu'à ma joue. Si je n'étais pas aussi tordu,j'aurai juré qu'il s'apprêtait à m'en foutre une. Mais l'abaissant bien vite,je pardonna son geste.
    Et puis,cela prouvait au moins que mon petit regard miséreux marchait correctement.

    Me prenant par le bras,il me tira derrière les rideaux de la scène,et se mit à ranger son matériel. Je regarda un moment la chose,avant d'abaisser mon regard sur le sac que je tenais à la main. Celui que je venait de chiper. Avec tout ça,je n'avais même pas penser à regarder son contenue...On vera ça plus tard.

    « Tu n'as pas autre choses à faire que de gâcher le boulot des autres, gamin ? »

    Reposant mon regard sur lui,je pris une expression neutre,il en fit de même. Me zieutant de haut en bas...Charment. Moi,je me contenta de le fixer dans les yeux un instant,jusqu'à ce qu'il en fasse de même,alors,je détourna le mien,et le posa sur le paquet de cigarettes qu'il venait de glisser hors de sa poche. D'un geste vif et précis,il en glissa une entre ses lèvres. Une envie ? Lui en demander une. Plus tard,peut-être.

    Et puis il retourna à ses affaires. Recommencer à ranger ses affaires. Mais,alors que je ne m'y attendais pas,il se rapprocha de moi,et glissa sa main entre mes mèches d'encre,pour les ébouriffée. Un petit sourire se dessina sur les lèvres. Non pas que j'apprécie spécialement ce geste,mais je crois qu'on peut le qualifié « d'amical » En gros,je pouvais espérer l'avoir dans la poche,non ?


    « Il ne me semble pas que l'on se soit déjà rencontrés. »

    Alors là,non pour le coup,j'ai jamais vu un gars comme toi. Mais il me fallait bien commencer par quelque chose. Et puis,j'allais pas lui sortir « Hey gars,t'sais quoi ? J'viens de voler un sac à une vielle,du coup,j'me fais courser par deux mecs qui le veulent la peau ! Du coup,j'te connais pas,mais j'vais me servir de toi,histoire de me sortir de cette histoire ! » Mais ouiiiiiiii. Bref,je repris;

    « Euh...En fait,Y'a deux gars qui me courent après...Il veulent me voler... mon sac...? »

    Oui,avec un point d'interrogation. J'étais en train d'essayer de me persuadé moi même que c'était le mien.
    Bref,à ces mots,je remonta le sac,pointant un doigt dessus. Sublime,ce sac me direz vous. A motif léopard,avec des dentelles rouge sang...Pour un "gamin" c'est très crédible,c'est évident. Bof,si il pose trop de question,je n'aurai qu'à lui dire que j'aime le style. Il n'a pas l'air très fut' fut',il devait y croire.

    « Mais... »

    Alors que je comptais argumenter un peu plus encore,je fût stoppé par du bruis dans la salle. Je m'avança un peu,me penchant pour voir discrètement. Et là..Avalant ma salive péniblement,je reposa mon regard sur l'autre jeune homme,reprenant une fosse (pas totalement en fait) expression apeurée;

    « Et là...ils viennent d'entrer dans le bar...Ils vont me faire la peau. »


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MessageSujet: Re: Dis moi, que tu n'appartiens pas ♪ [PV:Hasae Kuroi]   Dis moi, que tu n'appartiens pas ♪ [PV:Hasae Kuroi] Icon_minitimeDim 15 Avr - 17:39




    Devenir une star leçon trois : Ressayer plus tard.

    J'étais venu dans le but de chanter, de devenir la personne que j'ai toujours voulu être. À croire que quelque chose s'opposait toujours à moi. Je voulais seulement être heureux moi, et sourire à la vie comme l'aurais fait n'importe quel homme qui commence à oublier une relation qui lui a été douloureuse. Je voulais juste, encore une fois pouvoir être la personne que je suis vraiment, une personne qui malgré les apparences ce trouve être une personne plutôt sensible. J'en avais marre des préjuger parce que j'étais quelqu'un de plutôt imposant, c'est vrai, je n'ai pas toujours les meilleurs rencontres, je suis plutôt violant, l'horreur est attirées par ma personne. Mais moi, je voulais juste être quelqu'un de nouveau que certaines personnes reconnaîtraient pour son talent, sa façon de jouer de la guitare, sa façon de chanter, son coup de crayon, tout ça, tout ce qui faisait que j'étais Akeli Ynasuki, un artiste un peu la tête en l'air. Le destin était contre moi. Le destin ? Je ne croyais pas à ce genre de stupidité, pourtant la réalité était là, et j'avais vraiment l'impression que tout le monde était contre moi, contre mes rêves, contre mes envies, et tout simplement contre la personne que je veux montrer. Peut-être que je n'avais pas pris le bon chemin, mais qui le prend ? Peu de personne dans tout les cas. J'avais fais une rencontre, là, au mauvais moment. En ce moment ou je sentais enfin ce cœur s'affoler dans ma poitrine, ce moment que je n'avais pas vécu depuis six ou sept ans. J'étais amoureux oui, de mon art, et seulement du mieux. N'est-ce pas une vision un peu narcissique des choses ? J'en sais rien, foutez moi juste la paix. J'ai beau demander grâce à tout ce qui voudrais bien me le donner, rien ne viens, et tout m'empêches chaque jour un peu plus de ce que je veux devenir. Peut-être que je me suis montrer beaucoup trop gentil, peut-être que je devrais comme qui dirait, resserrer la vis. Mais je ne peux tout simplement pas, pourquoi ? Parce que je suis un Homme, oui, un Homme avec un grand H. Je ne parle pas là de sexe, mais bien de la race humaine. Les Hommes sont dotés d'un cœur qu'ils le veuillent ou non. Ils ont beau se montrer froid, il y a toujours quelque chose qui lui causera un faible. Ce n'est pas parce qu'une personne ne crois plus en l'amour, qu'elle ne peut pas tomber amoureuse. Je le suis tomber, amoureux, mais ça, je venais seulement de m'en rendre compte.
    Et lui, il arrive comme ça, balayant tout ce que j'ai construis, tout les efforts que j'ai fais depuis déjà bien longtemps. Il se ramène sur scène, et me tire de mon futur possible publique. Il brise tout, en quelques mots, en quelques gestes. Il m'énerve, ouais, il m'énerve déjà. Ça n'est pas mon genre de juger avant de connaître, mais là, il allait trop loin et je savais qu'il y avait des manières à respecter, il était aller trop loin, une peu trop loin même. Mais que pouvais-je faire contre ce visage d'ange, maintenant que je réalisais que j'aimais les hommes ? De plus que l'homme que j'aimais étais sûrement un peu trop... Jeune ? Il semblait dans la même tranche d'âge que ce petit Liem, et j'avais en quelque sorte un peu peur. Peur de quoi précisément ? J'en sais rien, juste de me trouver idiot. Il me voulait quelque chose ce gosse, et j'allais bien vite savoir ce qu'il me voulait. J'allumais une cigarette, attendant le verdict, je ne voulais pas non plus me montrer trop méchant avec lui. C'est encore un enfant à mes yeux, et il a l'air fragile, du moins, ça n'est juste qu'une impression. Je ne connais pas ce môme personnellement, je ne peux pas en dire plus, mais tout de même...

    « Euh...En fait,Y a deux gars qui me courent après...Il veulent me voler... mon sac...? »

    Je regarda du coin de l’œil l'objet de tant de convoitise. C'était vraiment à lui ? Un peu trop... Féminin à mon goût. Je ne dirais pas que c'est un style des plus étranges puisque je suis pas mal dans mon genre, mais ce garçon semblait plutôt viril et un peu macho sur les bords, je ne sais si c'est vrai, je ne fais que des hypothèses intérieur après tout. Il semblait perdu, et presque même effrayer. Dans cette histoire, je ne savais pas ce qui était vrai de ce qui était faux, j'étais naïf mais jamais un degré d’intelligence tel que je pouvais pas me faire avoir par de petits tours aussi simples. Je passais outre, finalement ça ne me regardais pas. Il semblait intelligent lui aussi, pour je ne sais quel raison, il avait un air plutôt malin, comme ont cet air, les renards.

    « Mais... »

    Je le regardais d'une manière étrange parce que je n'avais pas vraiment eu le temps d'en placer une. Je ne pouvais pas, une nouvelle fois, lui répondre, puisque ça phrase se semblait pas terminée et je ne pouvais qu'attendre la suite. C'est en avalant quelques bouffées de fumé, que je patienta, attendant alors sagement la suite, pour pouvoir me faire ma petite idée. Il semblait perturbé par je ne sais quoi, des hommes étaient entrés dans le bar. J'avais pas vraiment fait le rapprochement. Pour moi c'était des potentiels futur fan. Je le regardais, paniquer comme un abruti, il semblait pourtant.. Si mignon ? Aïe, je me comporte vraiment bizarrement en ce moment on dirait. Je le fixais alors, prenant peu à peu des bouffer de fumé, attendant encore et encore la suite. Jusqu'à ce qu'il se retourne face à moi, pour finalement aboutir.

    « Et là...ils viennent d'entrer dans le bar...Ils vont me faire la peau. »

    Je soupira longuement et laissa de la cendre tomber dans un cendrier, aidée de mon doigt. Je soupira vivement, parce que tout ça me faisait chier. Ouais, affreusement. J'aimais pas les ennuis, non, je préférais les fuir à vrai dire. Les conflits, les disputes, les bagarres... Bon, d'accord, par les bagarres. Mais même, je voulais pas terminé en taule, j'y avais vu souvent le jour, entre ces barreau avec cette ambiance abominable et ces voisin de chambre qui n'étaient que des hommes tatoués de partout et qui n'avait aucune notion d’hygiène. Oh mon Dieu, j'avais vraiment l'impression d'être une gonzesse en pensant ainsi. Fallait que je me reprenne. J'aime un homme, mais je ne suis pas une femme, on est bien d'accord ! Je mis ma guitare correctement sur mon dos et lui lança un dernier regard, comme désintéressé. Je voulais pas prendre encore plus de risque, j'allais me retirer et ce serait une mauvais journée parmi tant d'autres. Je l'esquiva alors, le laissant dans son mal-être. Il n'en avait pas marre d'embêter un vieil homme ? Enfin, si on peu dire vieux à 26 ans. Peut-être que je fais un complexe par rapport à mon âge, c'est très possible finalement... Bah, peu importe maintenant. C'est en faisant un signe de main, lui tournant dos que je descendit des estrades pour me diriger vers la sortie.

    « Hey, tu n'aurais pas vu un gamin aux cheveux brun avec un sac léopard ? »
    « C'est pas mes affaires. »

    C'est quoi cette manie de m'interpeller ? Ah, j'ai une guitare donc je sais tout ! Ah, non mais les gens je vous jure... Il fronçait les sourcils, arf, il était abomifreux. Ouais, un mélange d'abominable et d'affreux. Il était plutôt grand, sec et ne semblait pas très costaud. Son pote quand à lui avait le crane rasé et n'avait pas l'air d'être très gentil, on aurait dit un ours tiens ! Que c'est drôle de ce moquer, du moment que personne ne l'entend. Le plus petit et musclé me pris par l'épaule avec violence, si j'avais dis ça, je pense qu'il comprenait que je l'avais donc vu. Mais peu m'importais finalement. Il grognait des choses qui m'étaient incompréhensible, et ça commençait vraiment à me saouler. Je soupira alors, et écrasa ma cigarette sur son crane complètement nu. Puis tapota la tête du plus grand.

    « Vous n'êtes que des enfants on dirait. Vous n'avez pas autre chose à faire que de courir après plus faible que vous, pour prendre un bien qui est maintenant en sa possession ? C'est sûr qu'avec votre visage si agressif et votre si belle façon d'aborder les gens, vous n'êtes peut-être pas fait pour le commerce, mais qu'en ai-t-il des autres métiers, vous n'avez pas essayer ? Laissez moi devinez... Vous êtes d'ancien détenu et vous n'arrivez pas à trouver un emploie, c'est si triste. Si vous vous donniez la peine, peut-être que vous vaudriez mieux que deux abruti qui court après un butin. »

    Je n'allais pas employer ma force cette fois-ci, sûrement parce que j'étais un peu trop fatigué et que je n'avais pas envie de lever le petit doigt. Mon ami gérant fit sortir ces clients potentiels et me demanda de faire un peu moins de grabuge. Qu'est-ce que j'y pouvais moi, si je me faisais harcelé ? Je me tourna pour chercher du regard l'enfant. Finalement, je m'étais fais avoir, mais qui s'en souciais ? Personne n'avait eu d'ennuis, et je ne craignais rien, j'avais confiance en ma propre puissance, et je savais pertinemment que je n'étais sûrement pas très musclé en apparence, mais mes journées à passer dans de mauvais quartier mon aider à savoir comment me battre et comment agir dans une situation dites, critique.
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MessageSujet: Re: Dis moi, que tu n'appartiens pas ♪ [PV:Hasae Kuroi]   Dis moi, que tu n'appartiens pas ♪ [PV:Hasae Kuroi] Icon_minitimeJeu 26 Avr - 23:06






    A croire que je suis maso,mais en même temps,vu ce que je fais,n'importe qui serait en droit d'y songer. C'est vrai qu'à bien y regarder,mon malheur,je le cherche pas mal. Un brin cleptomane sur les bords,me mettre en danger pour un truc aussi futile que l’appât du gain,m'excite pas mal. Bien sûr,le gain en lui même y est pour quelque chose,quelque part. Ce sac,je ne savais pas vraiment ce qu'il y avait dedans,mais vu le standing,j'aurai de quoi me nourrir pendant un bon bout de temps. A défaut de vendre mon corps,je pourrai rester au lit.

    Moi,prendre les choses à la légère ? Evidemment. Si je devais pleurer sur toutes les choses encensés,illogique et stupides que je fais,ou qui m'arrive,je serai en dépression. Ah mais suis-je bête,c'est déjà le cas.

    En cette belle journée,ou plutôt soirée,j'avais eu la chance de tomber sur bien plus fort que moi. Un hasard ? Une belle rencontre ? Enfin deux belles...? Ou plutôt non,trois belles. Mais si en fait,derrière ces trois personne inconnues,il n'y en avait qu'une qui mériterait que je m'y intéresse ? Déjà,c'était sûr que les deux gugusses qui m'avaient couru après,dans l'espoir de me faire payer mes actes,bah eux,je n'allais pas m'y attarder. Mais le troisième. Il semble bizarre,comme possédant une autre réalité...A voir.

    Bon déjà,une bonne chose : Il n'avait pas vraiment l'air de vouloir m'aider. Alors ça,(je dois vraiment être maso),mais le fait que l'on se fiche de moi,me donne carrément envie de connaître la personne en question. Peut-être trop habitué à être plaint,l'espoir que quelqu'un ne me voit pas comme un "cas" me donne envie de sourire.

    Par contre,le truc c'est qu'autant il avait l'air désintéressé de ma situation,autant bah...Pourrais-je avoir dans l'espoir qu'il m'aide..? Toujours est-il qu'il passa à coté moi,un regard en coin,et tel un courant d'air froid,me laissa seul. C'est bizarre,mais lorsqu'il passa,juste au moment ou je sentis la froideur de son geste,j'entendis un *« démerde-toi »* singulier. Oh bien sûr,ce n'était pas de lui,mais c'était tout comme.
    D'un geste vif,je me retourne,me tournant à présent le dos,lui s'avança vers mes deux bourreaux. Je pencha la tête,légèrement inquiet. « Ainsi,il va falloir que tu te débrouille. Bien fait pour toi. » Grognant,je souffla; « C'est grâce à qui que je me retrouve dans cette situation..? » Sans attendre la réponse qui n'était qu'une futile émotion de mon esprit décalé,je m'avança un peu. Observant la salle,je chercha un moyen de me faufiler,histoire de pouvoir filer en douce,lorsqu'une voix rauque m'interpella;

    « Hey, tu n'aurais pas vu un gamin aux cheveux brun avec un sac léopard ? »

    Le jeune homme à la guitare s'était avancé vers les deux comparses. C'est vrai que vu sa carrure,bien plus imposante que la mienne,lui n'avait pas grand chose à craindre. Et puis,il ne semblait pas être le genre d'homme à qui l'ont vient chercher des problèmes. Bien pour ça que je m'étais réfugié derrière lui,d'ailleurs.

    « C'est pas mes affaires. »

    Sans m'en rendre compte,un sourire se dessina sur mes lèvres. Déjà,il ne cherchait pas à me couler,c'est déjà ça. En suite,il n'avait l'air aucunement intimidé,encore un bon point. Avec un peu de chance,j'allais vraiment pouvoir rentrer chez moi en un seul morceau.
    Reculant de quelques pas,je fis un bon,et alla me cacher derrière le premier rideau de scène venu. Une fois à l'abris des regards,je posa mes fesses par terre,le sac sur mes genoux,et commença à le fouiller,écoutant attentivement ce qu'il se passait à côté. Le jeune homme avait pris la parole,et avait vraiment de ne pas vouloir d'ennuis,sans pourtant être prêt à se laisser marcher sur les pieds.
    Quand à moi,et bien ce que je tenais entre les mains faisait bien l'objet d'autant de hâtes. Il contenait pas mal d'argent,et d'objets de valeur; Du genre un parfum à plus de 100 billets les 25ml,une montre qui ferait pâlir bien du monde,ainsi qu'un porte feuille richement (huhuh) garni. Bref,là,j'avais bien de quoi me nourrir durant un bon bout de temps. Ce n'était pas souvent que je raflais une telle chose,un petit rire satisfait se fit entendre.

    Mais bien vite,je me souvint de l'état actuel de la situation. Si je me faisais attraper,tout ceci n'aurait servit à rien. Me relevant avec agilité,je me pencha,pour regarder la salle. Ne voyant plus les deux hommes,je m'avança,jusqu'à me rapprocher à nouveau du jeune homme.
    Ayant été tellement content de mon butin,j'avais fini par ne plus trop faire attention à ce qu'il se passait. Pendant ce temps là,le patron du bah s'était chargé de faire sortir les deux excités,et avait fait quelques remontrance à mon "sauveur d'un soir".

    Semblant me chercher du regard,je me glissa jusqu'à lui,un sourire amusé,mais presque craintif aux lèvres.
    Je ne savais pas vraiment comment le remercier. Et puis,je sais que les "adultes" et les gens en général n'aiment que l'argent. C'est bête ce que je dis,car au final,j'ai fais tout ça pour,mais moi je ne l'aime pas. Il me salit,et me blesse. J'en ai juste besoin pour "vivre",si au final,on peut appeler cela "vivre". De toute manière,ce jeune homme était en train de chanter. Chanter,pour se faire connaître ? Sûrement. Et se faire connaître amène à l'argent. A tout les coups,je lui avais pourrie sa journée,il fallait me racheté.

    Ayant laisser le sac derrière le rideau,j'avais tout bien caler dans les poches de mon pull. Pull bien trop grand pour moi,mais tellement pratique. Glissant une main dans une des poches,j'en sortis quelques billets,et à leur couleurs reconnue que j'en avais donner un compte acceptable.

    « Merci,grâce à toi,ce n'est pas encore ce soir que je mourrai. »


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MessageSujet: Re: Dis moi, que tu n'appartiens pas ♪ [PV:Hasae Kuroi]   Dis moi, que tu n'appartiens pas ♪ [PV:Hasae Kuroi] Icon_minitimeVen 27 Avr - 19:23




    Devenir une star leçon quatre : Error 404

    J'avais cette étrange impression d'être dans un film et que j'étais le grand méchant loup qui avait foutu une vent au pauvre petit enfant sans défense. Ce n'est pas ce qui me dérangeais vraiment, puisque de toute façon j'étais de mauvais poil. Quoi, vous osez me demander pourquoi ? Ce gosse, certes mignon, venait de pourrir une de mes chances de devenir un artiste reconnu. J'étais pas tellement d'humeur à compter les moutons, mais plutôt à tirer sur des chiens dans la rue pour calmer mes nerfs, qui étaient à fleur de peau. C'est en comptant intérieurement accomplir un acte qui semblait somme toute défoulatoir que je me fis aborder par deux hommes qui ma foi, semblait peu agréables pour ma rétine, mais encore, si ça n'était que cela ! Mon ouïe elle aussi se plaignait de tant de bêtise. Parfois, il vaudrait peut-être mieux d'être sourd et aveugle, ou tout simplement ne pas être là au moment où toute cette connerie humaine nous envahis. Seulement voilà, j'ai le don pour être dans ce genre de situation, tellement que je venais à me dire que tout le monde était affecter par ce virus que l'on appelle : la connerie humaine. Est-ce que je suis atteins moi aussi ? On devrait peut-être en faire un cabinet médicale spécialisé, ce serait de l'escroquerie, mais qu'est-ce qu'on devait en gagner du blé... Bah, c'est pas vraiment ce qui m’intéressais en faite. C'est en remettant les deux nigaud à leur place que le gérant avait viré ces abrutis. Je cherchais l'enfant du regard, puis m'installa sur un tabouret en hauteur, puis m'affala sur le comptoir en soupirant, essayant de me rappeler comment la musique m'avait sauver la vie. Je me rappelais ces longues soirées où mon père, revenant sous l'emprise de l'alcool hurlait qu'il ne valait pas grand chose, et que finalement, il allait dormir à l'hôtel parce qu'il se montrait trop violent. Je savais aussi que dans ses longues soirées, mon frère Shio venait me rejoindre dans mon lit, parce qu'il en avait marre de leurs disputes. On passait alors la nuit l'un avec l'autre, en espérant un lendemain meilleur. Je posait mes casques sur les oreilles de mon jeune frère pour qu'il n'est pas à entendre ses longues idioties. On ne méritait pas ça, on avait des problèmes d'argent. Je riais de ces personnes qui pour se la raconter sortait ce dicton bien connu de tous : l'argent ne fait pas le bonheur. Suffit de trouver un compromis. La pauvreté ne rend pas les gens heureux pour autant. L'argent rend mauvais, nous le savons tous. La plupart des personnes possédant de l'argent se sentent puissante et prenne bien trop souvent la grosse tête. L'argent enlève le voile devant la figure des autres. C'est en me servant un verre d'eau que le gérant me fit un petit sourire. Je répondis à ce sourire, par simple politesse, mais là, je n'avais pas vraiment envie de sourire. Je repensais encore et encore aux fantômes du passé. On se demande pourquoi j'ai fini par faire appel aux seringues, pourquoi j'ai commencer à boire, à jouer avec les femmes. Ah, et après on s'étonne. Finalement c'est en jetant un regard derrière mon épaule que je remarqua le faux-jeton.

    « Merci,grâce à toi,ce n'est pas encore ce soir que je mourrai. »

    Il me tendit alors des billets colorés, et je haussa un sourcil avant de soupirer et retourner la tête vers mon verre (vert!). Je soupira une fois de plus, songeant à prendre de l'alcool, mais je ne voulais pas devenir ce qu'avait été mon père pendant une période sombre. On a tous cette période aussi sombre que les ténèbres. On ne peu pas en vouloir à quelqu'un, c'est la vie qui est ainsi. C'est le jeu ma pauvre Lucette. Finalement, prenant mon verre d'eau dans la main, faisant pivoté l'endroit où étais posé mon royale postérieur, je lui fit face en balançant un peu les jambe dans le vide, vu la grandeur des sièges. Je fis un petit bond pour atterrir sur la terre ferme, en vrai petit cosmonaute que j'étais ! Je lui adressa alors un sourire hypocrite car si ça n'était pas encore imprégner dans votre cerveau, je n'étais pas d'humeur à montrer un élégant sourire sur mon visage qui inspirait pourtant l'obscurité, la pénombre. Je glissa tout de même ma main dans les cheveux du gosse, les ébouriffants doucement, avant de reprendre une cigarette et l'allumé, pensant que s'était une bonne idée pour me calmé.

    « J'ai pas besoin de ton argent sale. Si tu te montrais plus prudent, gamin, tu resterais probablement en vie. »

    Lui soufflant doucement la fumée à la figure, je regarda en l'air. J'avais entendu dans je ne sais quel film, que lorsque l'on regardais en haut en pensant, on pensait à un bon souvenir. Une réaction normale de l'être humain il me semble. Pourtant je ne pensais à rien de spéciale à l'instant présent, et c'est peut-être ce qui était une bonne chose on dirait. Me prendre la tête pour des choses inutiles... J'en avais pas marre ? Finalement, ce n'est qu'après quelques bouffées de fumé prise, l'effet de la cigarette prenant part, que je reposa mon regard sur l'enfant, avec un sourire un peu plus sincère. C'est fou le pouvoir qu'on ces petites saloperies. Qui je le rappelles sont des choses que l'on paye pour avoir le cancer... Mais bref, je ne ferais pas un monologue sur le tabac, vu que je suis un partisan de la chose. Je me demandais pourquoi il avait décider de venir ici, ça n'était pas vraiment approprié pour une personne comme lui.

    « Je pense pas que ce soit un endroit approprié pour un enfant. Tu veux que je te raccompagnes chez toi ? »
    Il ne devait pas être bien grand, je ne lui donnais même pas la majorité. J'aurais pas voulu que l'agneau se promène tout seul dans la rue. Si quelqu'un devait le manger, ce serait moi le loup. Alors je ne le laisserais pas rentrer seul. Qu'il le veuille ou non d'ailleurs. J'étais un type qui lâche pas ce qu'il a envie de faire. Je n'avais formulé cela ainsi que pour montrer une certaine politesse. Je termina mon verre et le posa sur le comptoir une fois la boisson terminée. Le gérant me fit un sourire, apparemment content de voir que je retrouvais le sourire. On était pas vraiment proche mais ça avait bien accroché. De toute façon avec moi, c'est soit on me déteste, soit on m'aime. Y a pas d'entre deux, enfin du moins je crois. Bref, pour en revenir à la grenouille, il était vraiment impossible pour moi de le laisser seul se gambader dans les rue avec les hommes qui avaient agressé ma rétine un peu plus tôt. J'avais l'impression de jouer les garde du corps, et finalement j'avais l'impression que ce gosse était un personnage important dans l'histoire, bizarre, bizarre.
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MessageSujet: Re: Dis moi, que tu n'appartiens pas ♪ [PV:Hasae Kuroi]   Dis moi, que tu n'appartiens pas ♪ [PV:Hasae Kuroi] Icon_minitimeVen 27 Avr - 21:44






    Je propose,malgré le fait que j'en ai tant besoin,et je me mange tout de même un refus. Remarquez,je n'allais pas pleurer,cet argent si gentiment (et amèrement) tendu,qu'il soit sale,propre,qu'il sente la javel ou les égouts,pour moi,la différence était nul. Je ne sais pas pourquoi les gens attachent bien trop d'attention à ces choses futiles nommées « Valeur » et « amour propre ». Ma fierté ? Bien sûr que j'en ai ! Je l'ai juste foutue au placard à partir du moment où j'ai commencer à voler,et à me prostitué pour vivre. Oui,bien sûr que c'est très très vilain tout ça,mais sans ça,je serai mort. Et oui,car n'ayant aucune rentré d'argent,comment aurai-je pût me nourrir,besoin élémentaire ? Et puis,à bien y regarder,le fier n'a rien lui. Le fourbe,aussi pourrit soit-il,dans toutes les histoires rafle la mise. Bien sûr,dans toutes les histoires aussi,il fini par payer ses pêchés,mais quand bien même. Je ne le fais pas par plaisir,mais bien parce que je n'ai pas le choix.


    J'étais posté devant lui,lui tendant quelques précieux billets. Pour les gens que l'on pourrait qualifiés de « normaux »,ceci n'était pas grand chose. De quoi se faire plaisir l'espace d'une journée,peut-être. Mais moi j'y voyais de quoi me nourrir une semaine. Et le must dans tout ça,vous savez c'est quoi ?

    « J'ai pas besoin de ton argent sale. Si tu te montrais plus prudent, gamin, tu resterais probablement en vie. »

    Okay gars,je discute pas,moi. Haussant les épaules,je remis vivement les quelques morceaux de papiers dans ma poche,soupirant doucement. Pas que cela me fasse plaisir qu'il refuse,ça m'avait même carrément presque vexé,mais je ne le dirai jamais assez,ce foutu argent,aussi salit soit-il,j'en ai besoin.

    Remontant les yeux sur lui,il eu l’amabilité de me souffler sa fumé dans la tronche. Comme c'est agréable,me direz-vous...C'est comme tendre au travers d'une vitre,de la marijuana à un mec accroc,n'en ayant pas fumé depuis plus de deux jours. Ça me faisait la même là.
    Je n'avais pas fumé depuis un bout de temps,et le manque commençait à se faire sentir dans mon précieux esprit.
    Inspirant la fumé,je me laissa aller à fermer les yeux quelques secondes,finissant par les ré ouvrir bien vite,sur lui. Il était en train de fixer le plafond. A quoi pensait-il dans un moment pareille...? Et puis,j'y pense...Il a refusé mon argent,devrai-je le dédommager par autre chose ? L'ennui étant que je n'ai pas grand chose à lui offrir..

    Reposant ses yeux sur moi,m'offrant un petit sourire,qui me fit moi même en dessina un plus doux sur mes lèvres. Je mourrais d'envie de lui demander une clope. Et puis,il me souriait,cela démontrait bien de leur pouvoir. Mais comme on est grand,on sait se tenir,et on va pas péter un câble maintenant pour une saloperie de cigarette !

    « Je pense pas que ce soit un endroit approprié pour un enfant. Tu veux que je te raccompagnes chez toi ? »

    « Un enfant ? Hey gars,j'ai 18 ans hein. Tu dois pas être loin de mon age,alors craque pas. Et puis me raccompagner chez moi...Ouh,tu vois,j'me dis que si tu me prends pour un enfant,tu dois te prendre pour un vieux logiquement. Tu veux me raccompagner chez moi,dois-je crier "Au pédophile" ? Huhuh.. »

    C'était sur le ton de la plaisanterie,que j'avais balancer tout cela. De toute manière,soit il le prenait plutôt bien,et comprenait que mon insolence,même si c'est contradictoire,n'était qu'un signe de fierté,soit...Il me détesterai,et me prendrai pour un vrai petit con. A choix ?

    « Pourquoi tu prendrai la peine de me raccompagner ? »
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MessageSujet: Re: Dis moi, que tu n'appartiens pas ♪ [PV:Hasae Kuroi]   Dis moi, que tu n'appartiens pas ♪ [PV:Hasae Kuroi] Icon_minitimeDim 29 Avr - 2:48




    Devenir une star leçon cinq : Prendre un corde ~

    J'en avais marre de tout ça. Marre de ces jeunes qui passent leur temps à détruire ce que les autres ont fait. Écoutez moi ça, j'ai 26 ans et je parle déjà comme un vieux de 60 ans... Incroyable tout de même. J'étais juste dépasser par notre société actuelle, rien de plus, rien de moins. Je ne dis pas que ma « génération » était meilleur, non, elle était aussi moche que les autres en faite. Mais celle-ci me dégoûtait particulièrement. Pas les personnes en elle-même, seulement leur façon d'agir qui ne me plaisais pas du tout. Ah, je passe pour un vieux là, mais rendez-vous compte tout de même. L'humanité me dégoûtait à ce moment présent, alors laissez moi faire le bureau des accusations et balancer à tord et à travers ce que j'aurais bien envie de dire. C'est ainsi que tout cela marche avec moi, non mais ! Je sirotais mon verre d'eau, jusqu'à ce que le jeune homme arrive et que je me retourne face à lui, je le regardais longuement. J'étais trop naïf pour me demander s'il se foutait de ma gueule ou non. En tout cas, j'avais refuser son argent que j'avais juger « sale ». De tels affaires, pour un gosse, vu comment il est habillé il ne doit pas rouler sur l'or, ou aimer ce style... Mais ça m'étonnerais. Bref, je m'étais fais une idée sur lui alors que je ne le connaissais absolument pas. Ce n'est pas quelque chose qu j'appréciais d'ailleurs, non en faite, je m'en voulais de penser ainsi de lui, surtout après l'avoir protéger. Par les mots certes, mais s'il avait fallut utiliser les points je l'avais fait. Tout simplement parce qu'à ce moment là, je ne pensais pas à ce jeune homme, mais bel et bien à mon honneur. Finalement, je lui proposa de le ramené chez lui, histoire que je me pardonne à moi même de ces préjugés que j'avais. À en voir l’expression de son visage, il n'avait pas l'air d'apprécier la proposition. Quoi, j'avais un visage qui ne lui revenait pas, c'est pour ça ?

    « Un enfant ? Hey gars,j'ai 18 ans hein. Tu dois pas être loin de mon age,alors craque pas. Et puis me raccompagner chez moi...Ouh,tu vois,j'me dis que si tu me prends pour un enfant,tu dois te prendre pour un vieux logiquement. Tu veux me raccompagner chez moi,dois-je crier "Au pédophile" ? Huhuh.. »

    Il semblait plaisanter, et bon, je lui adressa un petit sourire malin pour lui faire comprendre que j'avais un minimum d'humour. Mais tout de même, l'image du pédophile moi me rappellais un vieux monsieur barbue un peu sale sur lui avec des yeux tout bizarre. Je ne pensais pas être ce genre d'homme, je n'étais certes pas magnifique, mais j'étais un minimum présentable. Je n'étais pas le genre de type dégueulasse sur lui, même si j'avais un style un peu rock'n'roll, mais qui m'en voudrait ? Bref, j'avais l'impression que ce type, de 18 ans, ne l'oublions pas, se foutait un peu de ma gueule, mais cherchait surtout à ce faire voir et a faire son intéressant. Il voulait seulement être aimé, non ? C'est ce qu'il me renvoyais comme image. Après, d'après la citation de je ne sait qui : les apparences sont parfois trompeuses. Soit, ne pas faire de préjuger, ça pourrait me retomber sur la figure, alors je me tais, et je tais mon esprit. Je fini ma cigarette, et lui, termina ses dires.

    « Pourquoi tu prendrai la peine de me raccompagner ? » 

    Pourquoi ? C'était pourtant simple, et d'une bonne intention. Je tenais seulement pas à regarder les informations demain et découvrir que ce jeune homme aurait quitter le bar et se serait fait agressé, jusqu'à en perdre la mort. Ce serait ridicule, je me serais mouillé pour rien. Soit, je voulais l'aider jusqu'au bout pour ne pas le regretter moi même. Ensuite, je m'ennuis incroyablement, et je n'ai rien à faire ici. Rentrer chez moi juste après ça, je pense que je serais dans un sale état demain. Non pas que j'avais des intention de suicide, ou que j'étais dépressif, mais j'allais sûrement crier, dessiné, jouer toute la douleur que j'avais coincé dans un coin de mon cœur de pierre.

    « Je n'aimerais pas que tu te fasses attrapé par les deux ignobles personnages. »

    C'est avec un petit sourire que je lui répondis. Il n'y avait là franchement rien de drôle, juste un petite pointe d'amusement, gardant tout de même un minimum l'air neutre, voir méchant. Parce que c'était dans ma nature, et que je n'aimais pas me monter trop gentil trop rapidement. On se fait bouffer après, on apprend que je suis naïf et on joue avec mes sentiments, comme les filles jouent à la poupée. Je ne veux pas qu'on fasse ce que l'on veut de moi. Je veux être maître de mes propres mouvement, et je ne voulais pas que l'on me dicte quoi que ce soit. Je n'obéirais pas aux règles, parce que de toute façon, tu j'en ai rien à faire. Alors je suis moi même, et tout devrait bien se passer.

    « Je ne pense pas que le bar soit le meilleur endroit pour un gosse de 18 ans. Puis il se fait un peu tard, tu risquerais de te faire punir mon enfant. »

    Voilà que je faisais de l’ironie, on avait toucher plus bas que terre, mais ne vous en faite pas, je continue de creusé.
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